(caleb) ⊰ Pulvis et umbra sumus

We are dust and shadows« Qu’est ce qu’y a ? » Elle pense qu'un danger rôde dans les alentours, elle n'a pas vraiment tore. Parce que sur le coup, le danger, c'est votre tension évidente. Néanmoins, tu file vers la cabane non loin de vous, histoire de ne pas avoir à vous exhiber devant une quelconque personne passant par là tardivement. Ou encore, risquant de vous mettre en danger face à un éventuel démon, Obscur qui serait dans le coin. Une fois la porte ouverte et refermée, tu aperçois une lueur qui éclaire la pièce grâce à la pierre de Megara. C'était une bonne idée, tu y voyais déjà plus clair. Enfin, pour ce que tu comptais faire la lumière n'était pas nécessaire. Sans attendre une seconde de plus, histoire sûrement de ne pas avoir envie de faire machine arrière, tu repars à l'attaque de ses lèvres avec une envie évidente. Elle répond rapidement à ton baiser, alors que déjà, sa main venait se loger dans ta nuque. Tu l'as fais glisser vers le sol, faisant attention à bien la retenir pour ne pas qu'elle percute le sol avec trop de force. Heureusement, elle n'est pas lourde et tu n'as donc aucun mal à venir te positionner au dessus d'elle. Vos corps se collent l'un contre l'autre, alors qu'elle se cambra vers toi, laissant ses doigts glisser le long de tes bras. Tu frissonne, ne pouvant t'en empêcher. C'est subtile, léger, mais c'est belle et bien là. Tu en meurs d'envie. Alors que tu avais opposé de la résistance au départ, là, tu ne t'opposais plus à rien. Franchement, tu n'en avais pas le courage. Après tout, tu n'es pas un super Shadowhunters. Non, tu restes un jeune homme qui, devant une fille aussi belle, ne pouvait rester insensible. Tes lèvres quittent les siennes pour gouter à sa peau, laissant résonner à tes oreilles un soupire bien plus prononcé que les précédents. Tu te surprend à aimer ça. Ca te rassure dans les gestes que tu effectues, te prouvant que tu ne fais pas mal les choses. Il faut dire que tu n'as pas des années d'expériences derrière toi.

Ses caresses subtiles et lentes ne font qu'attiser ce désir déjà bien ancré en toi. Tu es en surchauffe, c'est même pire que ça. Pourtant, tu n'es pas assuré dans tes gestes, n'osant pas spécialement commencer les choses sérieuses. Tu sembles bloquer, laissant tes mains se balader sur elles sans pour autant entrer dans le vif du sujet. Tu es pourtant l'homme dans l'histoire, mais disons que tu avais plus d'expériences et d'assurances dans le combat ou dans une bataille que dans un lit, enfin, là une cabane. Elle quitte tes lèvres et...tu la sens te tortiller sous ton corps, ce qui en soit était une vraie torture vu que ton bassin était collé au sien. Tu serres les dents, bien trop fort. Elle enlève sa veste, se retrouvant en débardeur et tu te redresses pour lui laisser le champ libre, te retrouvant à genoux et elle assise. Ton haut disparu de la circulation. Tu ne sais pas trop comment. Bon, au moins Megara était une femme entreprenante, mais elle devait se douter que tu n'étais pas du genre à coucher à droite et à gauche, du coup, fallait un peux te pousser et te montrer la voix. Pas que tu ne saches pas t'y prendre. Non, loin de là. Mais ton assurance se retrouve à deux quand il faut tomber la chemise. Tu l'observe avec attention alors que son visage est éclairée par la pierre de lune. Tu l'as trouve magnifique, sincèrement. Tu as toujours trouvé la jeune Nichols très belle. Après tout, il faut l'avouer, son regard encadré par ses cheveux en faisait tomber plus d'un. Tu la laisse parcourir ton torse, alors que tu viens déposer tes lèvres sur son épaule. Tes doigts parcoures ses hanches avec une attention particulière, remontant vers sa taille. Tu sens sa main descendre de plus en plus avant qu'elle ne s'arrête. Tu redresse la tête légèrement, croisant son regard. Tes yeux n'expriment que cette envie certaine d'aller jusqu'au bout des choses. Tu connais la réputation de Megara, tu l'as toujours connue. Pourtant, tu ne t'en formalise pas. Vous aviez tout les deux un passé certain, a quoi bon se bloquer sur ça?

Te revoilà tirer vers elle, frissonnant, soupirant sous ses baisers. Ton corps se raidit sous l'envie, sous l'excitation. Tu l'embrasses, encore et encore, ne pouvant t'arrêter. Pourtant, tu détaches tes lèvres durant un instant, glissant une main sous son haut pour le faire glisser vers le haut. Vous en êtes au même point lorsque tu jettes son débardeur près de ton propre tee-shirt. Tu reviens déposer un baiser sur ses lèvres, glissant rapidement vers son cou. Tu ne t'arrête pas là, essayant de prendre ton courage à deux mains. Après tout, ne t'avait-elle pas donné le feu vert en te débarrassant de ton vêtement? Tu déposes quelques baisers sur son épaule, laissant ta langue gouter à celle-ci d'une façon déboussolant, sensuelle. Tu effectues une descente plus entreprenant, ton menton, son cou, le haut de sa poitrine toujours protégée par son sous-vêtement pour finir sur son ventre et remonter en imitant tes baisers en sens inverse. Tu mordille son cou avec envie, alors que ta main, elle, glisse vers son pantalon pour y détacher le bouton. Tu te redresse et rapidement, tu fais glisser le vêtement le long de ses jambes. Il fini avec les autres vêtements, car déjà, tu remontais mais cette fois-ci d'une façon bien différente. Posant un baiser sur son genoux anciennement blessée, tu continuas ta remonté, prenant soin de faire ça d'une façon peut chaste. Tu remontas vers sa cuisse, passant sur son sous vêtement jusqu'à atteindre ses lèvres que tu capturas avec envie. Ta respiration est rapide alors que ton corps se colle de nouveau au sien, tu es même obligé de serrer le poing pour tenter de calmer tes ardeurs.

We are dust and shadowsMegara ne s’est jamais cachée de sa réputation, de sa tendance à fricoter avec les hommes sans que ça ne soit bien sérieux. Sa famille s’y est faite, ses amis aussi. Etant la première fille née de la famille Nichols, ses parents ont espéré la voir rapidement tomber amoureuse, se marier, fonder une famille, que ce soit avec un autre néphilim ou même une créature obscure, ses parents n’étant pas intransigeants en la matière. Et au final, ils se sont retrouvé avec une aînée incapable de même trouver une vraie relation. Pourtant, ils l’aiment quand même. Et le regard des autres, elle s’en moque. Elle n’a pas le temps de s’occuper de ça, et préfère toujours se concentrer sur ses combats, sur ses missions, sur la guerre. Sur ce point, elle n’est pas tant différente de Caleb, la différence reste que lui s’est fermé à tout type de relation. Elle sent sa tension, ses hésitations, alors qu’ils sont entrelacés sur le sol de cette cabane, et la mesure de chacun de ses gestes ne fait que séduire d’avantage la rouquine, de seconde en seconde. A vraie dire, de son côté, Megara n’en mène pas large. Quand bien même elle n’en est pas à sa première expérience avec un homme, loin de là, avec lui, c’est différent. Elle n’a rien prémédité, et elle le connaît presque depuis toujours. Les autres, elle n’a pas grand intérêt à bien faire. Avec Dimitri, effleurer ne serait-ce que ses bras du bout des doigts lui demandait de la concentration. Mais au final, elle se ressaisit, et entreprend les choses, commençant doucement en retirant sa veste, bien qu’inconsciemment, à se tortiller sous son corps, elle réalise l’impact qu’elle a sur lui, et le voit se tendre. Comme pour apaiser sa tension, tout en repoussant sa veste sur le côté, elle se cambre à nouveau en avant, pour déposer un baiser chaste dans l’angle de sa mâchoire. En même temps, elle se redresse, et il suit son mouvement, jusqu’à ce qu’elle décide de lui retirer son haut. Elle enclenche les choses, doucement.

Alors qu’elle détaille sa musculature avec minutie, elle sent son regard peser sur elle, et n’ose plus croiser son regard, sentant ses joues s’empourprer. Elle craint ce qu’il peut penser, au fond. Et en même temps, elle sait que quoi qu’il arrive, elle ne s’arrêtera pas. Puis au final, ses lèvres viennent effleurer son épaule, et sa peau se soulève, comme à chacun de ses baisers. Son dos se redresse lorsque ses doigts passent contre sa taille, et finalement, alors que sa main arrive en bas de son torse, elle finit par croiser le regard du brun. Il est déjà beau à tomber lorsqu’il prend son expression indifférente. Il est renversant lorsqu’il la regarde avec cette détermination qu’il a dans le regard. Alors, elle l’attire contre elle à nouveau, pour retrouver le sol et le contact de son corps pesant contre le sien. Leurs lèvres se croisent, leurs soufflent se mêlent dans un ballet parfait, jusqu’à ce qu’il recule, passant sa main sous le haut noir de la rousse, dont le ventre se contacta sous l’envie. Une fraction de secondes, une main qui remonte, hérissant sa peau, et finalement, elle se retrouve en soutien-gorge, toujours sous Dimitri. Doucement, elle passe une main dans ses cheveux lorsqu’il revient chercher ses lèvres, mais ses lèvres partent à l’assaut de son cou, et instinctivement, son visage bascule en arrière pour lui offrir l’accès à sa peau sur un plateau d’argent. Sauf que cette fois, il ne remonte pas directement. Elle expire bruyamment lorsque ses lèvres, sa langue goutent à la peau de son épaule. La main de Megara se tend alors pour chercher le premier objet à serrer, lequel étant sa pierre de rune. La lumière tangue, vacille, et sa seconde paume se plaque finalement contre le dos du brun pour l’étreindre avec douceur, l’encourager. Il continue sa descente, parcourant le cou, la poitrine de la néphilim, qui frissonne et inspire un coup, se tendant en le sentant aller même jusque son ventre avant de refaire le chemin inverse pour finir par venir mordre son cou. Sous l’impulsion du désir, elle finit par lâcher sa pierre de rune pour étreindre le brun, une main au niveau de sa nuque, la seconde en bas de son dos nu dont la peau est brûlante, et elle relève sa cuisse pour mieux plaquer son bassin à celui de Dimitri, manifestant son envie grandissante. Mais il n’a pas fini. Une brève expression de surprise passe sur son visage lorsqu’elle le sent venir détacher le bouton de son pantalon. Elle s’appuya sur ses coudes pour le regarder, alors qu’il retirait le vêtement pour l’envoyer avec le reste. La jeune femme attrapa sa lèvre entre ses dents pour garder le silence, alors que Dimitri, lui, remontait jusqu’à elle, embrassant son genou toujours cicatrisant, puis remontant encore. Meg plaqua une main sur ses lèvres, cessa de respirer même, et ce jusqu’à ce qu’il soit remonté jusqu’à son visage, où elle vint écraser ses lèvres contre les siennes pour étouffer sa respiration effrénée. Elle plante doucement ses ongles dans son dos, sans lui faire mal, puis doucement, elle appuie ses deux mains sur son torse, cherchant son regard pour le convaincre de se laisser faire, et de se redresser pour s’asseoir.

Alors, elle vient de nouveau s’asseoir au-dessus de lui, déposant tendrement ses lèvres dans son cou, tandis que ses mains viennent chercher fébrilement le bouton de son pantalon à son tour. Il est plus habillé qu’elle, et elle veut corriger ça. Finalement, à son tour, elle descend ses lèvres doucement, alors que son corps entier se recule, que ses mains, elles, font glisser son pantalon lentement, au même rythme que la descente de ses lèvres ou de sa langue sur son torse. Arrivée en bas de ses abdominaux, elle se redresse brièvement pour dégager son pantalon entièrement, et le pousser avec le reste sans même y jeter un regard. Le cœur battant, elle est bien trop occupée à regarder Dimitri dans les yeux, alors qu’elle embrasse son bas ventre, près, bien trop près de son dernier vêtement, qui se révèle bien fin sous les doigts tremblants de la rouquine, alors qu’elle revient monter ses lèvres sur son buste, jusqu’à regagner ses lèvres en murmurant son prénom, comme si elle cherchait à s’assurer qu’elle n’est pas victime d’une quelconque hallucination provoquée par le poison d’un Ravener. Mais non, il est bien là. Elle ferme les yeux, les rouvre, et il est toujours contre elle, à elle, sous ses caresses. Du moins, à elle.. Au moins ce soir. Au moins cette nuit.

We are dust and shadowsLa lumière vacille dangereusement mais tu n'y prête pas grande attention. Tes lèvres glissent sur son corps, explorant quelques endroits que tu n'aurais pas imaginé explorer un jour. Son ventre, ses jambes, son cou. Comme toi, son corps est recouvert de runes, montrant ainsi qu'elle faisait partie des tiens. Ton souffle est court, brisé par la sensation montante qui te surchauffait de l'intérieur. Ta peau est brûlante contre la sienne, alors que ton coeur s'emballe, ratant quelques fois un battement. Elle répond positivement à tes baisers, tes caresses, t'encourageant à continuer sur ta lancée. Ce fut ainsi que tu partis à l'attaque de son pantalon, alors qu'elle se redressait sur ses coudes. Tu sens son regard sur toi mais tu ne t'arrête pas pour autant, lui enlevant ce vêtement de trop. Tu sens son envie sous tes baisers placés ici et là alors que tu remontais. Tu visais des points bien stratégique, laissant planer l'envie du moment, cherchant à la faire monter d'un cran aussi bien chez toi que chez elle. Tu reviens vers ses lèvres, alors que ses ongles s'enfoncent dans ta peau sans pour autant te procurer une once de souffrance. Non, que du contraire, tu te surpris à adorer ça. Elle plaque ses mains sur ton torse et tu la regarde, interrogatif, alors que tu te redresse sans opposer de résistance. Tu es bien conscient que tu es plus habillé qu'elle, mais à vrai dire, ce n'était pas le principale. Quoi que, tu devais bien avouer que ton pantalon devenait trop étroit. Les joies de l'atout masculin. Tu gardes ton visage près du sien, tes lèvres frôlant les siennes par instant, alors que vos souffles ne cessent de se mélanger à un rythme qui est loin d'être normal. Les positions s'inverse et tu te retrouve avec la jolie rousse sur toi. Tu as tout le loisir de l'admirer alors qu'elle ne porte plus que ses sous-vêtement. La vision est agréable et tu te surpris à désirer lui enlever rapidement le reste. Une fois que tu commence tu as du mal à freiner tes ardeurs. Il parait que les mecs ont un surplus d'hormones, ce qui les différencies des femmes. 'est vrai, en tout cas, dans ce cas de figure.

Tu soupire en sentant ses lèvres de nouveau sur la peau de ton cou, ta main glissant dans ses cheveux, les siennes détachant ton pantalon fébrilement. Tu te crispes. Pur réflexe. C'est à son tour d'entreprendre une descende et tu fermes légèrement les yeux, profitant de cette sensation montante. Tu sens le sol dans ton dos. Si il est froid, tu n'en as pas l'impression. Une fois de plus tu serre le poing, alors que sa langue sur ton torse éveillait bien plus que de l'envie. Ce n'était plus le mot. De l'excitation serait franchement plus approprié. Tu lèvres légèrement ton bassin quand tu sens ton pantalon glisser, lui offrant tout le loisir de ne pas devoir tirer dessus, n'opposant aucune résistance. Tu sens son regard sur toi, tu lèves les yeux vers elle. Elle est bien trop près de ton sous-vêtement, cette dernière rempart qui te démarquerait d'une nudité parfaite. Tu sens ses caresses et tu soupires, serrant les dents que qu'une fois de plus, un frisson s'empare de toi telle une décharge électrique. Tu en veux plus, beaucoup plus et plus rien ne peux le masquer. Ton boxer est bien trop fin pour ça et la bosse marquée ne trompait pas sur l'excitation qui c'était installée. Tu sens enfin ses baisers. Elle murmure ton prénom. Tu la serres contre toi, incapable de dire un mot. Tu passes une main sur sa joue, venant l'embrasser de plus belle mais cette fois avec une fougue incontrôlée. La retournant, tu fais en sorte de ne pas être totalement sur elle, ton buste du moins l'est, le reste non. Ta main glisse sous son dos et, habillement, tu détaches son soutien-gorge pour le faire glisser le long de ses bras. Tes lèvres s'aventurent sur sa poitrine désormais libérée de son vêtement, y explorant la moindre partie avec des baisers, avant de revenir dans son cou. Tu as décidé d'être plus entreprenant encore. Après tout, il est temps de faire monter la pression. Tu viens plonger ton regard dans le sien durant quelques instants, venant lui voler un baiser plus tendre, plus langoureux.

Cette nuit les barrières allaient tombées. Juste cette nuit. Ta main gauche glisse dans ses cheveux, alors que la droite, elle, glisse le long de sa poitrine s'y attardant quelques instants avant de continuer sa descende. Tes doigts frôlent sa peau avec envie, passant sous son dernier tissus avec une lenteur étonnante. Tu presses un peux plus tes lèvres contre les siennes alors que ce simple geste éveilla en toi plus d'excitation que nécessaire, mais déjà, ta main disparue sous le vêtement. Tu pressas celui-ci contre son intimité, laissant échapper un soupire, te collant le plus possible à elle. Doucement, mais sûrement, tu entreprends des caresses, alors que ta main se déplace sous le tissus de Megara et que tu viens mordiller sa lèvre une fois de plus. Ton corps est sous tension, mais tu peux sentir que tu n'es pas le seul à être excité par la situation. C'est con, mais ça te rassure. Tu ne sais pas pourquoi mais tu cesses de l'embrasser, posant ton front contre le sien, les yeux grands ouverts pour observer sa réaction quand, doucement, tu laissas ton doigt entre elle, rendant tes caresses bien plus intimes.

We are dust and shadowsLeurs respirations sont tout sauf naturelles, leurs rythmes cardiaques n’ont aucune limite apparente, si bien que Megara n’entend qu’un tambourinement sourd au niveau de ses oreilles, alors qu’elle inverse sa position avec Dimitri, pour mieux lui retirer son pantalon. Et il l’y aide volontiers, l’aidant ainsi à le dénuder et à égaliser les choses avec elle, désormais bien légèrement vêtue. Alors que ses baisers et ses caresses devenaient plus sensuels, plus entreprenants, aussi, elle sentait sous la simple pression de ses doigts contre le tissu de son boxer son envie grandissante, son excitation … palpable, c’est le moins qu’on puisse dire. Puis finalement, lorsqu’elle revint contre lui, le brun la serra avec force, l’embrassant avec une fougue qu’elle lui rendait volontiers. La demie mesure s’est évaporée entre eux, à l’instant même où ils étaient entrés ici. Et la passion s’en allait crescendo, jusqu’à une limite non définie. Au final, il la retourne à nouveau, à demi allongé contre son buste, et lorsque sa main revient dans son dos, elle devine aisément ce qu’il veut faire. Meg se cambre alors, offrant la place à Dimitri pour qu’il détache son soutien-gorge pour que ses bretelles glissent jusqu’à virer le sous vêtement. Non content de libérer sa poitrine, il l’explore du bout des lèvres, et peut probablement sentir la pression de l’excitation qu’il suscite à ce contact, zone érogène de la femme qu’elle est. Son cou se retrouve encore pris d’assaut, jusqu’à ce qu’il capture son regard pour un baiser plus tendre. Doucement, la rouquine porte alors une main à sa joue, répondant à son baiser en l’effleurant du bout du pouce, mêlant sa langue à celle du brun avec douceur. Sans se douter qu’il compte pousser encore le vice.

Doucement, elle ferme les yeux au contact de sa main dans ses cheveux. Ce simple contact la transporte, et en prime son corps se soulève légèrement alors que sa seconde main glisse contre sa poitrine, s’y arrêtant un bref instant avant de reprendre sa route. Megara coupe alors son souffle, et un bref instant, elle s’immobilise alors qu’il glisse subtilement, avec une lenteur proche de la torture – une délicieuse torture – sa main à l’intérieur de son dernier tissu. Dimitri, de son côté, appuya d’avantage ses lèvres contre celles de Meg, qui sembla se réanimer pour se lover contre lui, le corps tremblant, à sa merci. A peine eut-il commencé ses caresses que déjà elle respirait difficilement, son corps entier gagné par une excitation démesurée. Si elle avait été debout, ses genoux se seraient dérobés. Elle se retrouvait consumée par l’envie, autant que faire se peut. Lorsqu’il cesse de l’embrasser, elle suit presque ses lèvres un bref instant, avant de faire retomber sa tête contre le sol en le laissant poser son front contre le sien, capturant son regard. Haletante, elle soutint néanmoins son regard sans même prendre la peine de contenir le gémissement qui lui échappe alors qu’il insère un doigt dans son intimité. Son buste se soulève juste légèrement, et sa main vient chercher son épaule pour s’y agripper à nouveau. Elle laissa alors sa seconde main s’aventurer le long de la colonne vertébrale du brun, pour aller jusqu’à la limite du tissu de son boxer, jouant avec l’élastique avant de le baisser autant qu’elle le pouvait dans cette position, dévoilant son sexe à nu. Son regard ne relâchait pas celui de Dimitri, captivée par la moindre de ses réactions lorsqu'elle dévoile sa zone la plus sensible de son anatomie, et alors que, consumée par ses caresses, elle roule des hanches non seulement pour montrer son envie, mais aussi et surtout pour coller son corps à sa virilité, qu’elle finit par venir prendre en main. Passées les premières caresses timides par-delà le tissu, emportée par sa main à l’intérieur de sa dentelle qui l'anime au delà du possible, elle entame alors des vas-et-viens qu’elle rythme sur ses propres caresses, pour faire monter la température de façon considérable, comme s’ils n’avaient pas déjà suffisamment chaud. Sans le quitter du regard, toujours, Megara commença à caresser son nez avec le sien, avant d’effleurer ses lèvres du bout des siennes, sans pour autant venir l’embrasser. Elle explorait les sensations autres que les baisers, et surtout, elle ne voulait rien manquer à ses réactions, se délectait non seulement de son propre plaisir, mais aussi de celui du jeune homme. Son cœur s’affolait, encore et toujours, si fort que jamais la jeune femme n’avait connu ça. Et quand bien même elle devrait s'en alerter, au contraire, elle se laissait emporter par tout, dans un tourbillon sans fin, une harmonie parfaite avec le jeune Lightwood.

We are dust and shadowsPassion se mélangeant à la douceur. Un baiser doux, tendre, alors que tu lui as retiré son soutien-gorge, libérant sa poitrine de ce vêtement devenu inutile. Vos langues se retrouvent, se cherchent, dansant ensemble à un rythme parfait. C'est facile. Trop facile et tu as l'impression d'avoir fait ça avec elle toute ta foutue existence. Ta main glisse sur elle, alors que son corps se soulève légèrement, mouvement naturel de ce désir qui vous anime chacun. Ta main vient se loger sous son tissus et tu peux sentir la jolie rousse respirer difficilement, tout comme toi d'ailleurs. Tu ne retiens plus ton souffle, tes lèvres pressées contre les siennes. Le souffle court, brutale, envieux. Tu la désir comme rarement tu as désiré une autre femme. Ta vie est compliqué, bien trop compliqué, pourtant, tu ne semble pas vouloir cesser d'augmenter cette facette de ton existence. Tu le sais. Demain tu te sentira con, coupable d'avoir embarqué Megara dans tes histoires de coeur. Elle n'a rien demandé, pourtant, tu ne peux pas résister. Elle t'attire, elle t'aimante comme le serait un bout de métal vers un aimant bien trop puissant. Tu laisses ta main explorer cet endroit intime, lui offrant quelques frottements bien précis. Tu trembles faiblement sous cette envie d'accélérer les choses. Tu n'as plus qu'une envie, brûler les étapes. C'est étrange venant de toi qui aime tout contrôler, prendre ton temps. Mais encore une fois, Megara a une emprise sur toi que tu ne peux décrire. Tu cesses de l'embrasser, capturant son regard avec le tien, cherchant à apercevoir ses réactions pour la suite. Ton front se colle au sien, vos souffles se mélangent d'avantage. Elle ne détourne pas les yeux et tu apprécies, mais ce qui te fit le plus frissonner, ce fut ce gémissement qui s'échappa de ses lèvres alors que tu laissais entrer un doigt en elle. Elle s'agrippe à ton épaule et tu frôle ses lèvres sans l'embrasser, laissant cette subtile caresser alimenter ce feu qui brûlait déjà en toi. Sa main glisse sur ta peau, éveillant milles et une envie, laissant sur son sillage une multitude de petits poids sous ton épiderme.

Elle joue avec l'élastique de ton boxer, elle ne te quitte pas des yeux et tu fais de même. Un soupire de plaisir s'échappa de tes lèvres. Tu l'aurais bien embrassé, sauf que tu le sais, si tu reviens chercher ses lèvres tu es foutus. Encore plus foutu que tu ne l'étais déjà actuellement. Tu continue tes caresses, laissant ton doigt glisser en elle en des vas-et-viens ni trop lents, ni trop rapides. Tu sens ton sous-vêtement glisser, dévoilant ton membre déjà bien gonflé par l'excitation que tu éprouvais actuellement. Elle roule des hanches, se collant à toi ce qui eu pour effet d'accélérer tes caresses, la pénétrant un peux plus profondément sous le plaisir. Le pire fut quand elle enchaîna elle-même, prenant ton membre en moi, commençant des vas-et-viens calés au rythme des tiennes. Nouveau soupire. Quoi que, non, ce fut plus un gémissement rogue qui s'échappa de tes lèvres, alors qu'instinctivement, ton bassin chercha à se coller à sa main. Tes doigts dans ses cheveux se refermes dedans, alors que vos corps se touchent, se trouvent, se cherchent avec une envie indescriptible. Tu déposes un baiser sur la commissure de ses lèvres, alors qu'un deuxième doigt rejoint rapidement le premier. Tes caresses se font plus profondes, plus révélatrices. Tu sens ton souffle saccadé se répercuter sur sa peau. Tu ne tiens plus, venant de nouveau chercher ses lèvres, alors que ta langue va de nouveau danser avec la sienne plus rapidement. Tu cesses tes mouvements de main pour la retirer, juste assez pour attraper son sous-vêtement et le faire glisser le plus bas possible. Heureusement tu es grands et de part ta taille, tu as de grands bras, juste assez pour que le tissus glisse au niveau de ses genoux. Tu la laisse faire le reste du travaille, attrapant ton propre boxer sans détacher tes lèvres des siennes, le faisant glisser, te démenant pour l'enlever. Bordel, les vêtements c'est chiants dans ce genre de situation! Une fois débarrassé de celui-ci, tu te retrouve aussi nu qu'un nouveau-né, mais c'était l'effet souhaité. Mordillant sa lèvre sans lui faire mal, ton bras libre vient se positionner de l'autre côté de son visage, alors que ton corps, lui, se hisse de nouveau au dessus d'elle.

Tu recules tes lèvres l'espace d'un instant, les yeux fermés, le front contre le sien. Tu respires difficilement, le coeur frappant dans ta poitrine avec une violence hors du commun alors que tu te place convenablement entre ses jambes. Ton membre durcit par l'envie glisse doucement sur elle et tu te mords la lèvre. Tu ne tiens plus. Resserrant ton emprise dans ses cheveux, tu entres en elle doucement, la respiration complètement coupé sous cette sensation. Sa y est. Les limites sont radicalement franchies. Explosées en petits morceaux. Tu gémis près de ses lèvres, alors que tu colles ton bassin au sien. T'es mouvements ne sont pas trop lents mais pas non plus rapides, ils restent néanmoins profonds et précis. Contrairement à ce que tu aurais pu laisser croire, tu savais ce que tu faisais.

We are dust and shadowsLa jeune Nichols avait perdu la notion du temps, la notion de tout. Elle pliait sous le contact des mains de Dimitri, comme un pantin à sa merci, dépendante de ses étreintes et de ses baisers. Elle le veut, juste pour elle. Elle sait que ce n’est pas possible, et que ce souhait silencieux est aussi doux que désastreux. Jamais avant ce soir elle n’avait réalisé l’emprise que le Lightwood avait progressivement gagné sur elle. Bien sûr, elle l’a toujours respecté, comme elle respecte tout Néphilim, comme elle respecte ses « supérieurs », puisque avec sa sœur ils dirigent le groupe qu’elle a décidé de rejoindre il y a déjà des années. Mais c’est plus que ça encore, et elle le réalise seulement maintenant, seulement quand elle ne peut plus faire demi-tour. Ils ont passé l’étape de l’exploration, entrent doucement dans la phase du plaisir, dans les choses sérieuses… Bien trop sérieuses. Capturant le regard de Dimitri, son front contre le sien, elle ne retint même pas le gémissement qui lui arrachait les lèvres à l’instant où il passa un doigt à l’intérieur de son intimité. Elle sentait ses tremblements, sa tension, son envie qui allait de paire avec celle de la rousse, consumée par son désir d’aller jusqu’au bout. Quitte à foncer dans le mur, autant le faire avec classe. Pire encore, elle ondulait, se tortillait, finit par le déshabiller à moitié pour mieux prendre son membre en main. Elle a perdu ses hésitations, Megara, et se focalise sur les réactions du brun, alors que d’une main, elle est toujours fermement accrochée à son épaule. Le simple fait que ses lèvres s’approchent de celles de Megara sans les rencontrer lui hérissait la peau, en prime de ses caresses de moins en moins subtile à mesure qu’elle entamait des va-et-vient sur son intimité, mouvant son corps pour rencontrer le sien et faire ainsi monter la pression, et elle sut rapidement qu’elle y parvenait en sentant son bassin s’avancer, se plaquer contre sa main, et sa main s’accrocher à sa chevelure rousse tout en laissant échapper un soupir rauque. Ses mouvements en Meg se firent plus intenses, et il poussa même le vice en passant un second doigt dans son intimité, ses lèvres effleurant le coin de sa bouche en lui arrachant un nouveau gémissement qu’elle tenta de contenir en mordant l’intérieur de sa joue. Elle voulait l’embrasser jusqu’à manquer d’air, et en même temps, se tenir. Son corps entier se retrouvait sous tension, et tout dans les réactions de Megara appelait le corps de Dimitri pour qu’il vienne en elle. Elle n’en pouvait plus, n’arrivait plus à garder un souffle correct, et ses caresses n’avaient plus rien de timides, gagnant en accélération, en sensualité, alors que doucement, elle glissait son visage dans le creux de son épaule pour y mordre sa peau sensuellement, s’y attardant avec soin, du bout de sa langue, jusqu’à ce qu’il revienne chercher ses lèvres férocement. Elle le veut, putain. Et quand sa main vient doucement se retirer de son sous vêtement, elle devine que bientôt, ils franchiront le dernier cap.

Cessant ses propres caresses, Meg souleva doucement son bassin pour l’aider à baisser la dentelle de son dernier vêtement, la caresse subtile de ses doigts le long de ses jambes la faisant frissonner. Elle joua doucement de ses jambes par la suite pour le retirer elle-même et ainsi, s’en débarrasser, devenu plus que dérangeant, tout comme son boxer que le brun entreprit également d’enlever dans la foulée. Elle sentait son corps entièrement nu tout près du sien, et à cette pensée, elle cessa de respirer. Elle sembla seulement reprendre vie lorsqu’il mordilla sa lèvre inférieure, lui arrachant un sourire doux, le cœur battant alors qu’elle le suivait du regard tandis qu’il se positionnait juste au-dessus d’elle. Tendrement, elle glissa ses deux mains sur ses épaules pour caresses ses bras, remonter jusque son dos, descendre du bout des index jusqu’à la courbe de ses fesses à nu. C’est comme si l’espace d’une fraction de secondes, le temps s’était arrêté, le front de Caleb posé contre celui de Megara, qui remonta sa cuisse le long de la hanche du jeune homme, imbriquant ainsi son corps avec celui du brun pour mieux l’épouser, et déjà, profiter de la caresse subtile de son membre durci par l’excitation contre son intimité. Elle souffle, gagnée par l’envie, par l’impatience, et lorsque finalement, il entre en elle, doucement, ses ongles se plantent à nouveau dans le bas de son dos, sa deuxième jambe remontant comme la première, et leurs lèvres se joignirent de nouveau. Megara éprouva un tel trouble qu'elle ferma les yeux pour se réfugier dans les ténèbres, ses sensations décuplées, son cœur battant à tout rompre. En sentant ainsi le poids de son corps sur le sien, elle avait la sensation qu'on lui rendait quelque chose qui lui appartenait depuis toujours et qui lui avait manqué sans qu'elle le sache jusque maintenant. Avec des gestes d'abord hésitants, elle passa une main dans ses cheveux, puis elle l'embrassa avec une fougue redoublée, tenant son visage entre ses mains tremblantes. La précision de ses gestes la font chavirer, et jamais elle n’aurait cru ressentir une telle extase, soulevant doucement ses hanches au rythme de ses mouvements de bassin pour l’accompagner. Elle ne sentait plus le sol froid dans son dos, qui avait laissé place à la chaleur du corps du Lightwood, à la douceur de son épiderme sous ses doigts baladeurs. L’odeur de bois qui trônait dans la cabane s’était même évaporée, et elle s’enivrait du parfum du jeune homme. Elle avait le vertige, ses oreilles tintaient et ses bras, comme mus par une volonté propre, attiraient Dimitri contre elle fiévreusement, ses paumes remontées contre sa peau, jusqu’en haut de son dos. Elle recula ses lèvres, pour revenir prendre d’assaut son cou, à la naissance de son torse, dans un sillon de baisers. Profite de chaque détail, même infime, pour l’imprimer dans son esprit.

We are dust and shadowsOù cela va te mener? Droit dans un mur, tu en as parfaitement conscience. Un cercle vicieux, un cercle sans fin, le serpent se mordant cruellement la queue. - c'est le cas de le dire -. Tu avais passé une soirée magique en sa compagnie dans le lac, pour par la suite, retrouver Caleb dans cette ruelle sombre. Il t'avait déboussolé et pourtant, tu étais là, laissant tes parcourir le corps de la jolie rousse sans penser à cet homme qui t'avait autrefois fait autant vibrer, qui le faisait surement encore. Mais l'heure n'était pas aux questions. Là de suite, tu avais oublié l'obscur dans les bras de la jeune femme. Gémissements, caresses, frissons. Tu ne pouvais que profiter de cet instant si spéciale, si intime. Ton corps son temps sous ses regards, ses caresses alors que tu explore sa silhouette de maintes façons. Elle est parfaite. Tu ne peux nier l'évidence. Tu t'en délecte, laissant ta propre silhouette épouser la sienne. Ses caresses sont un supplices délicieux alors que tu sens ses vas-et-viens caresser ton membre durcit, laissant échapper un soupire rogue. Vos lèvres ne se touchent pas, pourtant, elles se cherchent, se frôlent. Laissant planer cette sensation volcanique qu'est le désir. Tu continues tes caresses, ton bassin se colle à sa main, en réclamant d'avantage, bien plus que ça. Tu es tendu comme un arc, la respiration saccadée par tes émotions, ton corps réclamant le sien avec une violence inouïe. Si désirer une femme à ce point est d'une beauté étrange, elle est également violente et dangereuse. Tu goute à cette violence sans retenue, avec plaisir pour mieux le souhaiter de nouveau par la suite. Parce que oui, tu la désireras encore, c'est écrit et tu le sais. C'est ça qui sera sûrement le plus pénible pour toi. Ses dents rencontres le creux de ton cou et tu te mords avidement la lèvre, accentuant tes caresses. Pourtant, tu en as marre. Tu as envie d'elle toute entière, non plus de cette manière. Tu l'embrasse de nouveau et vous vous débattez avec vos sous-vêtements, sachant parfaitement ce qui par la suite allait inévitablement arrivé. Cette cabane sera votre repère, ce lieu qui abritera votre secret, votre première fois.

Tu te hisses sur elle, la surplombant sans grand ménagement. Ton front contre le sien, ses caresses ne sont que douceur alors qu'elle explorait une fois de plus la peau de ton dos, de tes bras. Tu frissonne de plus belle, laissant ton nez frôler le sien. Sa hanche remonte et, de ta main, tu viens l'agripper avec douceur. Tes lèvres rejoignent les siennes alors que tu entres en elle avec sureté. Tu fermes les yeux, laissant ce moment s'imprimer en toi. Tu es dans un autre monde, dans un autre espace temps. Vos baisers sont bien plus fougueux, bien plus passionnés. Tu accélères tes mouvements de bassins alors que les jambes de la jeune rousse sont enroulées autour de toi. Ta main resserre son emprise sur sa hanche. Tu retiens un gémissement. Ton visage est crispé, exprimant clairement la sensation du désir qui ne cesse d'augmenter alors que tu ne forme plus qu'un avec elle. Tu peux sentir ses caresses, son corps sous le tiens se mouvant sous ta propre cadence. Tu peux sentir ses lèvres glisser dans ton cou alors que tu soupires, venant toi-même mordiller son épaule nue avec un peux trop de passion. Tu tentes de garder ton calme, de ne pas paraître trop brutale. Malheureusement, ton corps semble ne pas en avoir décidé ainsi. Tes coups de reins deviennent plus puissants, plus fermes et tu es obligé de lâcher sa hanche pour te soutenir toi-même. - Oh bordel. Ces paroles t'ont totalement échappés sous le plaisir exaltant qui ne cesse de te faire augmenter la pression de ton bassin contre le sien. Tu plies les avant bras, les plaçant juste au dessus des épaules de Megara, l'empêchant ainsi de trop bouger par la même occasion. Revenant chercher ses lèvres, la franchise de tes coups de reins n'avaient plus rien de mesuré. Et ce fut pour ça que tu décides de passer une main dans sa nuque l'obligeant à se redresser, tout en restant en elle. Changement de position mesdames et messieurs.

Posant une main sur le bras de son dos, tu te t'assois sur le sol, faisant en sorte qu'elle se mette à califourchon sur toi. Tu pensais que cette position serait moins excitante...et bien tu avais tores. Ta main glissa dans sa nuque, alors que sournoisement, tu viens mordiller son cou. Tu soupires bruyamment, trop bruyamment. Ce n'était plus des soupires mais bien des gémissements. Si ça continuait ainsi tu n'allais pas tenir des heures, déjà que tu manquais d'entraînement à ce niveau-là. Bon, physiquement t'étais paré en tout cas endurance tu n'avais pas à craindre grand chose...logiquement. Sauf que là, la tension sexuelle est telle que tu sens déjà une légèrement couche de sueur prendre place sur ton épiderme.

We are dust and shadowsDes conquêtes, Meg en a eu, et elle ne s’en cache nullement. Mais l’intensité de cette nuit qu’elle passe avec Dimitri surpasse toutes ses espérances, tout ce qu’elle aurait pu s’imaginer dans ses songes les plus fous. D’abord, elle n’aurait jamais cru se retrouver dans pareille situation. Ensuite, elle n’aurait jamais cru éprouver pareilles sensations. Renversée en arrière, surplombée par la silhouette musclée du brun, la jeune femme se cambre, se plie sous ses gestes, ne faisant plus qu’un avec lui. Elle est loin la demi-mesure employée précédemment, laissant place à une sauvagerie sans équivoque. Lorsqu’elle veut fermer les yeux, elle se convainc de les garder ouverts. Quand bien même sa pierre de rune n’émet plus de clarté, la jeune femme l’ayant lâchée, elle peut distinguer la silhouette du brun à travers la faible lueur qui filtre par la fenêtre, passe ses doigts sur sa peau, effleure doucement ses runes comme si elle caressait une feuille fragilisée par le temps. Sa main était accrochée à la hanche de la rouquine, et elle ondulait contre son corps, au gré de ses allées et venues en elle. C’est parfait, ce moment est, malgré son contexte, malgré la douleur que pourrait engendrer le fait de penser à demain, d’un idéal sans équivoque. Et quand bien même elle sait que c’est mal, elle sait qu’il n’y a rien qu’elle ne veuille changer. La partie égoïste qui se manifeste, comme toujours.
Elle vint embrasser son cou, et il mordit son épaule en retour, soulevant des frissons dans la nuque de la jeune femme. Alors que ses mouvements se font de plus en plus intenses, de plus en plus brusques, Meg appuya son front contre la peau de Dimitri, lequel relâcha sa hanche. - Oh bordel. Il ne croit pas si bien dire. Un léger rire échappe à Megara, entrecoupé par sa respiration haletante. Ses avants bras plient, encadrant le visage de la rousse au dessus de ses épaules, la maintenant contre lui alors qu’il regagne ses lèvres. Doucement, Meg attrapa sa lèvre inférieure, avant de revenir mêler sa langue à la sienne. Mais une main glissée à l’arrière de sa nuque suspend son geste, lorsqu’elle sent Caleb se redresser sans se séparer d’elle, terminant ainsi assis, la jeune femme fermement installée à califourchon sur lui. Elle demeura immobile un bref instant, le temps de s’assurer qu’il ne comptait plus bouger, et là, elle sentit le contact de ses dents sur la peau de son cou. Son corps se tendit, tout entier, avant qu’elle ne glisse ses deux mains sur ses épaules. Il n’aurait pas dû. Ainsi positionnés, Megara le surplombait, devenait maitresse de leurs gestes. Prenant appui sur lui, elle souleva doucement ses hanches sans laisser pour autant le brun sortir d’elle, pour se serrer à nouveau contre lui, sans ménagement. Sensuelle, elle recommence, ondulant contre lui, son front appuyé contre celui du jeune homme, pour capter son regard, s’assurer qu’il éprouvait le même plaisir que celui qui la saisissait à l’instant précis, à chacun de ses allers-retours contre son membre. Sa main passant à son tour derrière sa nuque, elle revint poser ses lèvres dans son cou, passant sa langue sur sa peau tout en remontant jusque son oreille tendrement. Ses gémissements se faisaient de plus en plus prononcés, de plus en plus bruyants. Quand bien même les néphilims sont endurants et sportifs, elle ne peut s’empêcher de remarquer que ses sensations sont exacerbées, et que déjà, ses jambes tremblent légèrement sous l’intensité du plaisir.

We are dust and shadowsTu aurais aimé laisser vivre cette relation. Pourtant, tu le sais, tu es maudits de par ce sang qui coule dans tes veines. Tes ancêtres sont tombés par amour, laissant leur coeur diriger leurs actes et ça ne les avaient menés que vers une mort certaine. Orphelin, laissant ton ancêtre sans mère, sans père. Seul héritage féérique, magie subtile qui c'est dès lors transmise de génération en génération. Tu as déjà gouté à cette douce blessure cinglante qu'est l'amour, tu n'es pas prêt à laisser ça se renouveler. Elle n'est pas lui, elle ne t'abandonnera peut-être pas, mais tu en doutes. Depuis, tu doutes de beaucoup de choses dès que ça touche ton coeur. Un Chasseur d'ombre n'est pas régit par ses sentiments, tu avais appris à faire de cette phrase une philosophie de base. Mais apparemment, la leçon n'avait pas été assez ancrée en toi vu que tu te retrouvais à ne former qu'un avec la jeune Nichols. Tu la laisse parcourir ton corps, décrivant les runes qui s'étales sur ta peau, signes de nombreuses victoires. Quelques endroits contenaient des cicatrices, tu es un Néphilim, tu as des blessures de guerre. Elle ondule sous tes coups de reins qui se font de plus en plus brusques, de plus en plus forts et rapides. Tu laisses l'envie prendre le dessus. Une simple phrase s'échappe de tes lèvres, mots que tu ne peux retenir et qui la fait légèrement rire. Tu n'oublieras pas ses courbes. Cette silhouette parfaitement parfaite, ses hanches auxquelles tu t'étais accroché avec ferveur. Ses lèvres délicates et pourtant fougueuses, ses caresses aventureuses et tendre. Oui, tu n'oublieras rien de cette nuit, ça te hanteras durant bien des nuits, bien des jours alors que toi, tu chercheras à oublier pour ne pas sombrer d'avantage. Parce que oui, il est là le soucis, tu as peur. Peur de ce que cet acte peut engendrer. Tu travailles avec elle, tu vis avec elle dans cet institut ou, certainement, tu la recroisas à maintes reprises. Tu allais devoir faire attention à ton regard pour ne pas la dévorer du coin des yeux. Tu allais devoir te montrer bien plus distant qu'avant...

Tu la soulèves, faisant en sorte qu'elle se retrouve sur toi et non plus le contraire. Tu as la satisfaction de pouvoir l'observer d'avantage, laissant tes yeux glisser sur son visage. La faible lueur de la nuit vous caresses, ne laissant qu'une magie naturelle vous envahir. Elle reste immobile, mais déjà, tu viens mordre la peau de son cou avec douceur. Elle se crispe et tu souris légèrement. Tu la laisse prendre le contrôle, ce qui chez toi est franchement rare. Tu aimes garder le contrôle pour toi, anticiper, prévoir, provoquer. C'est dans ta nature, c'est sûrement ce qui fait de toi un si bon combattant. Elle glisse ses mains sur tes épaules et tu laisses ta langue tracer la courbe sensuelle de son épaule, finissant par éloigner tes lèvres de celle-ci pour l'observer durant quelques instants. Elle se soulève et tu soupire alors qu'elle se blotti contre toi. Tes bras l'enroule, une main dans sa nuque alors qu'elle ondule sur toi avec sensualité. Tu laisses à ton tour tes mains glisser le long de son doigts, frôlant sa peau du bout des doigts, arrêtant ta descente sur ses fesses, accompagnant ses mouvements. Tu la regarde droit dans les yeux. Votre désir s'y lit sans grandes complications, vos corps sembles se combler à la perfection. Tu la laisse s'occuper de ton coup, resserrant sa prise sur ses fesses quand tu sens sa langue glisser sur ta peau. Vos gémissements sont bien présents et une personne inconnue passerait devant la cabane là, maintenant, se douterait de ce qui s'y passe à l'intérieur. Elle tremble, toi aussi. Tu n'arrives même plus à déglutir, le coeur battant farouchement dans ta poitrine. Tu embrasses de nouveau son épaule, remontant vers ses lèvres, venant y chercher sa langue avec envie. Le plaisir monte bien trop rapidement. Tu enfouis ton visage dans son cou, venant plaquer une main dans sa nuque la glissant dans ses cheveux pour tirer sur ceux-ci sans jamais avoir l'intention de lui faire mal. Ton autre main était restée sur ses fesses, ton bassin accompagne ses mouvements ondulants et tu l'invites à aller plus vite en accélérant les tiens. Pourtant, tu le sais, si elle accélère tu ne sauras plus tenir.

We are dust and shadowsParfois, elle se demande comment se seraient passées les choses, dans d’autres conditions. Sans cette guerre, sans le tournant décisif qu’ont connu les néphilims il y a de cela des décennies. Peut-être qu’avec Caleb, ils auraient malgré tout grandi ensemble, auraient été entraînés soit à l’institut, soit à Idris, dans la belle académie des Chasseurs d’Ombres d’Alicante. Ils n’auraient pas eu ces craintes, ces appréhensions. Peut-être serait-il un homme moins brisé, et alors … Alors quoi ? Les choses auraient été différentes, mais comment ? Peut-être qu’au final, sans cette guerre, ils ne se seraient rapprochés. Mais ils seraient heureux sur le long terme. Alors que dans l’immédiat, tout ce qu’ils peuvent s’offrir, c’est ce bref instant d’abandon, cette nuit où ils s’appartiennent, cette nuit où ils laissent les sentiments prendre le dessus sur tout le reste. Parce que même si elle lui a dit comprendre, elle ne partage pas forcément ses convictions. Les chasseurs d’ombres contrôlent leurs émotions, oui. Mais ils ne les éradiquent pas pour autant, les parents de la jeune femme en étaient la preuve même. Et quand bien même elle n’a jamais eu ce grand frisson lié à l’amour, elle a envie d’y croire, de croire en la possibilité d’aimer, tout en luttant. Point de vue qui n’est pas celui de Dimitri. Alors, elle savait qu’à partir de demain, elle allait devoir tenir la promesse qu’elle lui a faite, appuyée contre cet arbre, dans le parc. « Je ne te parlerais plus de ça. Je n’essaierais plus de t’embrasser. S’il le faut je.. Je ne te verrais que pour les missions, si ça peut aider. » Et elle s'y tiendra, quand bien même ça lui fera un mal de chien. Mais en attendant...


En attendant, elle se retrouve assise sur lui, maitrisant ses gestes, ses mouvements de bassin contre lui. Pour une fois que le grand Caleb Dimitri Lightwood la laisse mener la danse, elle ne va pas se faire prier, loin de là. Elle le laissait promener sa langue sur la peau de son épaule, soulevant à nouveau sa peau brûlante dans quelques frissons. Puis finalement, il recula son visage pour mieux l'observer, et elle croisa son regard, reprenant ses mouvements avec un rythme soutenu, envoutant. La rouquine se courba légèrement en avant, arquant le dos au contact de ses doigts le long de la peau nue de son dos qui descendirent jusque ses fesses, pour mieux accompagner ses gestes qui devinrent, automatiquement, plus soutenus, comme encouragée par ce simple geste de la part du brun. Les mots sont inutiles, leurs regards trahissent leurs pensées silencieuses, jusqu'à ce qu'elle prenne à nouveau d'assaut la peau de son cou, y jouant de sa langue pour accompagner ses gestes, éveiller tous ses sens, les mettre en alerte. Une des mains de Megara pris appui contre le torse de Dimitri, sentant pulser sous ses doigts son coeur affolé, et à ce contact tout bête, son propre palpitant rata un battement, gagnée par l'émotion. Leurs lèvres se cherchent finalement à nouveau, et lorsqu'il place son visage dans son cou, tirant doucement sur sa crinière rousse au niveau de sa nuque, elle pencha la tête sur le côté docilement en laissant échapper un nouveau gémissement prononcé, étalé sur la longueur. Elle le sentait accélérer, l'encourager à aller plus vite encore, et elle ne se fit pas prier, soufflant deux fois plus fort, ses soupirs allant crescendo. « Je .. » Sa voix tremble. Elle a l'impression de ne pas avoir parlé depuis des heures. « Je vais plus tenir longtemps.. » Qu'elle murmure entre deux gémissements, dans un nouveau mouvement de bassin plus violent encore que les précédents, sans ménagement, alors que le visage de la belle retourne à la recherche des lèvres du brun. Quand bien même elle voudrait que cette nuit dure éternellement, elle sait bien qu'elle n'est pas sans limites.

We are dust and shadowsTu accompagnes ses mouvements, avides du plaisir qui ne cesse de t'envahir sans jamais redescendre. Tes doigts frôlent sa peau, ses lèvres glissent sur la tienne. Un échange mutuel d'attention bel et bien présente. Tu la sens ondulé sur toi, le souffle saccadé, alors que le tient l'est tout autant. Tu as chaud. Bien trop chaud. Tu as peur que cette température ne rechute avec violence à la fin de vos ébats, ne laissant qu'un froid glacial voir gênant. Tu tire sa tête en arrière alors qu'elle accélère ses mouvements, t'offrant bien de passion que tu n'aurais pu en supporté en général. « Je vais plus tenir longtemps.. » Toi non plus, pourtant son cou de bassin te coupa net le souffle face à la violence de celui-ci. Tu ne peux t'empêcher d'enfoncer tes ongles dans sa peau, alors que rapidement, tu enfouis ton visage dans son cou. Tu as tout le loisir de sentir ton odeur, collant ton corps au sien avec envie. La pression monte et tu sens tes muscles se crisper alors que ce n'est plus contrôlable. Tu fermes les yeux serrant les dents, pressant tes lèvres l'une contre l'autre alors que tu ne tiens plus. Tes coups de reins se font plus prononcés et le plaisir finir par imploser en toi comme une douleur intense et agréable. Un grognement s'échappe de tes lèvres alors que tu tente de retenir bien plus au fond de ta gorge. Tu es crispé comme pas deux, le coeur battant la chamade plus que rapidement. Tu as cessés de bouger, l'adrénaline se fait te sentir assez drogui sur le coup. Ton visage est toujours enfouis dans son cou et ton front se dépose sur son épaule alors que tu la tiens toujours contre toi avec une certaine détermination. Tu as le souffle coupé de par l'émotion, mais également pas l'effort que vous veniez de fournir.

Et c'est alors que tu ouvres doucement les yeux. Quelque chose venait de te frapper en plein gueule, une pensée que tu aurais dû avoir bien avant de commencer. Vous n'aviez pris aucune précautions et sur le coup, tu n'avais pas pensé à te retirer. Bon, bien que cela n'aille pas servit à grand chose, une fois que tu t'étais logé en elle le mal avait été fait...En même temps, tu n'avais pas prévu une partie de jambe en l'air dans cette cabane et tu étais loin d'être le mec qui se promenait avec des préservatifs sur lui vu ta vie sexuelle assez inactive. Cette fois ton pouls s'accélère sous l'angoisse. Non Caleb, ne stresse pas, ce n'est pas en une fois qu'elle risque quelque chose. Ca serait franchement ballot hein. Tu avais sentis le corps de Megara cesser de se mouvée peux de temps après le tiens. Glissant une main dans son dos, tu déposes un baiser sur son épaule, redescendant sur terre. Vas-tu mettre le sujet sur le tapis? Non, pas vraiment, inutile d'alerter la gendarmerie sur un manque évident de responsabilité sur ce coup. Puis, qui tu dis qu'elle ne se protège pas d'une autre manière. Après tout, Megara a une vie sexuelle plus active que tu la tienne. Tu avais chaud, à présent, tu frissonnes sous la froideur de la cabane. Tu es nu ce qui en soit est normal. Le désir t'avait enflammé, a présent, il ne te restait que le souvenir des évènements passés. - Il va falloir penser à rentrer. Tu n'avais pas dit ça pour la presser ou l'envoyer balader. Non, mais plus par logique. On t'avait vu quitter l'institut avec rapidité, ta soeur t'avait envoyé un message et vu l'heure avancé les questions allaient réellement fuser. Tu croises son regard durant quelques instants et tu essaye de paraître rassurant, pas trop distant.

- Sauf si tu veux que Freya me tue réellement. Tu déposes un léger baiser sur ses lèvres, bien moins passionné que ceux qui avaient précédés. Doucement, tu fais glisser Megara sur le côté te détachant d'elle par la même occasion. Tes vêtements... Tu n'y vois pas très clair mais tu vois un tas de tissus sur le côté et tu choppes ton boxer pour l'enfiler, tendant ses sous-vêtements à Megara.

We are dust and shadowsElle sent ses forces commencer à l'abandonner, ce qui est parfaitement contradictoire avec l'intensité du mouvement de bassin qu'elle fait au moment d'avouer à Dimitri qu'elle ne va bientôt plus pouvoir tenir. Elle ne sait même pas combien de temps s'est écoulé depuis qu'ils ont franchi le pas de la porte de cette cabane. Le matin doit être proche, à vraie dire, vu l'heure avancée à laquelle la rouquine avait été errer sur le Port. Les docks semblent bien loin, désormais, comme un vague souvenir, tout comme la douleur dans sa jambe qui s'était évaporée. Elle ne saurait dire à quel moment exact sa blessure avait cicatrisé. En fait, la seule certitude qu'elle avait, c'était le désir fou qui animait encore les deux néphilims entrelacés sur le sol froid de la bâtisse. Le corps de la jeune Nichols se contracta sous le coup de la pression des ongles de Dimitri dans son dos, et tendrement, elle vient embrasser son cou à la limite de sa nuque lorsqu'elle sent son visage se loger dans le creux de son épaule. La prise de Megara sur les épaules de Caleb se resserra encore un peu, et elle attrapa la peau de son épaule entre ses dents, y laissant probablement une marque, au moment où le jeune homme accentua une ultime fois ses coups de reins, jusqu'à l'assaut final. La tête de la jeune femme bascule alors en arrière dans un gémissement sonore qui fait écho au grondement rauque du brun. C'est trop, ses jambes tremblent, et elle se serre contre lui, immobile, le corps tremblant dans son entièreté. Lui, de son côté, la retient dans ses bras, et alors que le calme revient doucement, Megara réalise que c'est probablement la dernière étreinte dont elle profitera. A cette pensée, son coeur se serre douloureusement, son souffle s'entrecoupe, et son corps mince et fragile se pelotonne encore plus contre lui, imprimant dans son esprit le moindre détail de la peau de Dimitri contre celle de la rousse.

Elle redescendit sur terre au contact des lèvres du jeune homme sur son épaule, et se mouva légèrement pour mieux capter son regard. En le sentant frissonner, elle se permit d'embrasser son front, passant ses deux mains le long de ses épaules, sur ses bras. Elle ne réalisait même pas que de son côté, elle tremblait, sentant à nouveau la fraicheur de la pièce contre sa peau encore incandescente. - Il va falloir penser à rentrer. Doucement, elle hoche la tête en guise de réponse. S'il ne l'avait pas dit, elle l'aurait fait. Doucement, Megara revenait sur terre, après avoir eu la sensation étrange d'avoir eu un bref aperçu du paradis. Après tout, ne sont-ils pas en partie anges? - Sauf si tu veux que Freya me tue réellement. Les lèvres de la jeune femme s'étirèrent en un maigre sourire, à la fois sourire mélancolique et triste, mais aussi un sourire répondant à sa phrase et à son baiser. Rehaussant son visage, elle embrassa son nez de façon fugace. « Tu sais que non. » Doucement, il la fit glisser à ses côtés, et elle réalisa au passage que... Ils ne s'étaient pas protégés. Faut dire qu'elle part rarement en mission avec des préservatifs sur elle, elle n'avait pas tellement prévu de se faire un démon. Balayant cette pensée en songeant au fait qu'il y a bien des moyens de contraception, elle attrapa les sous vêtements que lui tendaient le jeune homme, les enfilant rapidement. Damn, une douche ne sera pas de trop à l'institut. A quatre pattes, à tâtons, elle cherche sa pierre de rune qui s'illumine sous sa paume. Ça sera mieux. « Hm. Ma jambe est guérie, sinon. » Elle pince les lèvres, réprimant un sourire en disant ça. Et pourtant, c'est l'expression bien sérieuse qu'elle ramassa ses vêtements et ses armes pour se rhabiller, après avoir tendu vers Dimitri ses vêtements à lui. Une fois habillée, elle se redressa, tirant doucement ses cheveux roux en arrière. Meg la bavarde ne dit plus rien, d'un coup. Une fois Dimitri habillé, elle rouvrit la porte de la cabane, remarquant à la couleur du ciel que l'aube n'allait plus tarder. « On ferait mieux de faire vite.. » Murmure-t-elle finalement, à contre coeur.