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 Press play to start [Axel & Lyall]

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Anonymous
InvitéInvité
Sujet: Re: Press play to start [Axel & Lyall]   Sam 3 Sep - 13:55


C'est qu'il me trouve drôle en plus celui-là. C'est le rire nerveux de la frustration sexuelle qui refait surface? Probablement, parce que je ne vois vraiment pas ce que j'ai dit de drôle. À moins évidemment qu'il ait eu une image quand je lui ai dit que son 'contact' pouvait bien s'occuper de lui. C'est pas du tout rassurant. Il allait probablement me dire une connerie et de l'imaginer lui a donné des idées. Il allait peut-être me filer le numéro d'une boutique érotique ou un bar de danseurs. Danseurs oui, parce que malgré toute l'innocence de mon petit bisou il doit me croire gay jusqu'à la moelle maintenant. Surtout qu'en ayant dessiné son adorable derrière dans une situation compromettante... Du moins ça c'est s'il n'est pas trop coincé pour posséder un tel numéro. On ne sait jamais. Il ne faut pas toujours se fier aux apparences. Parfois ceux qui semblent être les plus 'sages' sont les plus pervers et vicieux au lit et vice versa. Une personne un peu trop sûre d'elle même n'est pas nécessairement un dieu du pieu. Moi par exemple, j'en ai passé des gens dans mon lit depuis mes jeunes années, mais ça ne fait pas de moi un pro dans le domaine. Tant que tout le monde y prend son plaisir pourquoi est-ce qu'on devrait transformer ça en sport olympique?

Enfin, j'en ai fini de lui. Je me tire. Du moins, c'est ce que je croyais. Jusqu'à ce que je sente sa main me claquer les fesses. Alors là... Il est sérieux là? Il veut vraiment jouer à ce petit jeu avec moi? Parce que je dois admettre que je suis plus que surpris du geste. Jamais je ne me serais attendu à ça de sa part. Il faut croire que notre petit bisou innocent a eu plus d'effets que ce que je croyais sur sa personne. Enfin, plus que la paralysie temporaire qui l'a habitée jusqu'à ce que je revienne près de ma voiture dont je n'ai eu que le temps d'ouvrir la porte avant qu'il s'appuie dessus après son petit geste qui me laisse sans voix un instant. S'il veut jouer... Il ne sait pas à qui il s'attaque lui. Il va vite s'en mordre les doigts.

Je me retourne pour lui faire face de nouveau, une lueur joueuse au fond de mon regard alors qu'il croit que je veux lui proposer d'être son défouloir. Elle est bien bonne celle-là. Comme si j'allais coucher avec un crétin pareil sous prétexte qu'il a une belle gueule. L'envie de lui rire au visage me prend de nouveau, de lui demander s'il me prend pour une pute ou quelque chose comme ça. Il serait bien capable de me dire oui ce con. Alors je me retiens. J'ai un autre plan en tête. Il ne veut visiblement pas me laisser filer si vite, probablement parce qu'il prend son pied plus qu'il ne veut l'admettre, alors aussi bien jouer avec lui.

Je le laisse parler sans lui répondre, m'approchant simplement un peu plus pour me mettre au niveau de ses yeux, presque. Je suis tout de même un peu plus grand que lui. Bon, pas énormément, mais suffisamment pour me donner le petit nécessaire pour baisser légèrement les yeux vers lui. Enfin, un peu plus puisqu'il est appuyé sur la porte. Je l'observe dans les yeux toujours sans avoir prononcé le moindre mot et je laisse ce petit sourire bourré de sous-entendus venir planer sur mes lèvres. S'il croyait que j'allais me mettre en colère pour ça. C'est beaucoup plus drôle de voir à quel point je vais arriver à le mettre mal à l'aise que déterminer le niveau d'octaves que je peux atteindre à lui hurler à la gueule parce que j'en ai marre d'entendre ses conneries.

« Si ça peut t'aider à être moi con et t'apprendre les bonnes manières ça va me faire grand plaisir de t'aider à te libérer de toute cette pression... »

Et ceci étant dit, pour combiner geste et paroles... et aussi parce que j'ai une envie folle de voir sa tête cette fois, je me penche pour venir l'embrasser de nouveau, mais disons que cette fois j'y mets un peu plus de cœur... même si ce goût de beignet et de sucre me file un de ses mal de cœur presque instantané. Comment est-ce qu'on peut bouffer ses saletés je me le demande. Mon 'attaque' effectuée et tâchant tant bien que mal de ne pas simplement mourir de rire parce que je sens qu'on va se marrer, je me détache de lui et je me laisse tomber sur le siège avant de la voiture. Ce n'est pas parce qu'il n'a pas lâché la porte et m'empêche de la fermer que je vais me gêner tient. Puis il faut que je me prépare pour ce moment magique où je vais lui faire mon plus beau doigt d'honneur et me tirer après l'avoir chauffé un peu. Ça va être mémorable.

829 mots & -24h
Anonymous
InvitéInvité
Sujet: Re: Press play to start [Axel & Lyall]   Sam 3 Sep - 22:56

Il veut jouer, tu vas jouer. Il ne sait pas a qui il a affaire, et même si tu n'es pas particulièrement enclins aux jeux à connotation sexuelle - surtout avec des inconnus - tu n'es pas non plus si innocent. Il t'a provoqué, il t'as insulté, ça n'est qu'un juste retour des choses que tu t'amuses un peu avec lui. Un peu, bien sûr. T'as pas envie d'aller plus loin avec lui parce que de toute manière rien de bon ne peut en ressortir. Et puis merde c'est pas comme ça que ça fonctionne. A la base, on boit un café avec un gars, on lui renverse pas la boisson sur les pieds. D'ailleurs, tes chaussures sont enfin sèches. Elles sont bonnes pour passer à la machine, tout comme ton jeans d'ailleurs qui as eu quelques éclaboussures. Rien de bien folichon évidemment, mais ça fait quand même chier que ça soit à cause d'un con pareil. Mais t'as décidé de jouer avec lui malgré les risques, t'as décidé de tester ta chance de sortir indemne des griffes de ce pseudo-journaliste. Tu sais même pas pourquoi, t'as envie, c'est tout. T'aimerais ne jamais l'avoir rencontré, ça t'aurais évité des soucis, mais le mal est fait. Tu crois un peu au destin, au principe du rien n'arrive jamais par hasard. Et aussi au fait que le battement d'aile d'un papillon provoque des tornades de l'autre côté du globe. Tu donnerais cher pour avoir le papillon responsable de t'avoir mis ce fichu mec sur la route, histoire de lui arracher les ailes pour que la rencontre n'ait jamais lieu. Mais c'est trop tard tu ne peux pas revenir en arrière, c'est impossible de voyager dans le temps. Parfois, ce serait génial d'avoir ce pouvoir, ce serait fantastique. Mais bon, les pouvoirs magiques ça n'existe pas. La magie n'est qu'une invention pour les enfants, les anges et les démons ne sont que des représentations populaires pour désigner le bien et le mal, et non des choses tangibles et réelles. Ce sont des allégories, rien de plus. Du moins tu essayes par tous les moyens de t'en convaincre. Non, tu ne deviens pas fou, pas du tout. Tu tritures ton bracelet, l'espace de quelques secondes. Tu vérifies si il est toujours là, s'il peut toujours te protéger des monstres sous le lit. Soulagé, tu finis par amorcer le jeu, donnant une claque sur les fesses rebondies du gars, dont tu ne sais d'ailleurs toujours pas le prénom. Et l'appeler connard, même si ça t'amuses, ça va très vite te lasser. Enfin, comme tu ne comptes jamais le revoir, c'est une solution comme une autre. D'ailleurs, il ne dis rien. Tu lui as cloué le bec. Tu ne le pensais pas aussi prude, après l'effleurement de ses lèvres sur les tiennes. Tu le croyais prêt à tout, mais visiblement il n'est qu'un beau parleur. Dès qu'il s'agit d'aller plus loin dans la plaisanterie, il se débine. Quelle mauviette. T'en es presque déçu, même si son regard en dis long, tu ne le sens pas capable d'aller plus loin. En fait oui, t'es même très déçu. Tu t'apprêtais à rajouter quelque chose qu'il se met à parler, il joue le jeu finalement. Tu souris, ses lèvres se posant sur les tiennes plus longtemps qu'au précédent baiser. Tu ne t'inquiètes pas trop, si c'est la seule chose dont il est capable, il n'a absolument pas bougé sur l'échelle de ton estime. Vu son niveau d'ailleurs, il ne peut que remonter. Le contraire serait vraiment surprenant. « Il me faudrait plusieurs séances pour être moins con, j'imagine. » Tu lâches, c'est toujours bien la petite flatterie, même si elle est mal placée. Tu n'es pas débile, mais lui a l'air de le croire, et ça a l'air bien ancré, autant lui faire plaisir en admettant la chose. Ça flattes l'égo, parait-il. Il s'assied sur le siège avant, le regard toujours vrillé au tiens. Tu l'as sens l'entourloupe, tu le sens la grosse blague. Mais t'es joueur, tu vas bien voir jusqu'où il va te mener. « Tu m'donneras bien ton numéro aussi, pour les potes quand ils ont besoin d'une petite pipe, d'acc ? » Tu dis, l'insulte au bord des lèvres. « Tu connais déjà le chemin, t'auras pas de mal a retrouver le parking. » Tu continues, tu joues avec le feu. Le sourire aux lèvres, tu te décales un peu pour te rapprocher de lui. Juste assez près pour ne pas qu'il te files entre les doigts, et juste assez loin pour que tu puisses esquiver s'il te frappes.



(-24h, +800)
Anonymous
InvitéInvité
Sujet: Re: Press play to start [Axel & Lyall]   Dim 4 Sep - 0:51


Rien du tout? Il s'est vite remis de son choc celui-là. La première fois c'est à peine si je lui ai effleuré les lèvres des miennes et j'ai cru qu'il allait mourir à côté de ma voiture et la seconde fois, alors que je m'en donne à cœur joie malgré le goût écoeurant du sucre, il n'a pas la moindre once de réaction. C'est quoi son problème à ce mec enfin? Ne me dites quand même pas qu'il a aimé ça? Ça serait presque trop beau. Enfin, non que je me soucies réellement de savoir s'il a pu apprécier ce geste de ma part ou non, mais disons que... Non... Je ne sais pas en fait. Ça me perturbe un peu pour tout dire. Moi qui espérais le mettre mal à l'aise, limite lui faire monter le rouge aux joues, je suis plutôt coincé avec un mec qui ne montre pas le moindre signe d'intérêt ou de désintérêts et qui se contente plutôt de me dire qu'il aurait besoin de plusieurs 'séances' pour être moins con. Hey bien... Je ne m'attendais pas à cette réponse de sa part. À croire qu'il entre lui aussi dans le petit jeu. Je déteste lorsqu'ils font ça. Où est le plaisir d'user ne serait-ce que d'une infime dose de manipulation lorsque la personne visée n'y réagit pas du tout? Il n'y en a pas. Voilà la réponse. C'est d'un ennui de vouloir jouer à petit jeu avec quelqu'un et ne pas arriver au résultat escompté.

Il préfère en ajouter et presque littéralement me traiter de pute en proposant de donner mon numéro à ses petits copains pour que je les contente un peu de ma bouche. Alors là je l'aurais frappé, mais je ne l'ai pas fait. Je suis resté de marbre même si j'ai senti le frisson de la colère me parcourir l'échine à la suite de ses paroles. Pas tant parce qu'il a amélioré son niveau d'insulte, même si on est plutôt loin du Bugs Bunny, mais plutôt parce qu'il y a des choses qui ne se disent pas. Ce n'est pas parce que j'ai un tempérament de merde et que j'agis comme un gamin que je vais traiter toutes les personnes un peu trop entreprenantes de putes, parce qu'il y en a des gens qui ne demandent pas et se contentent de se servir. Ils vous approchent avec ce regard qui exprime ce qu'ils ne disent pas, ce regard qui vous dit que si vous ne les arrêtez pas il vous bouffe. Ils le font. Ils ne se gênent pas. Pas plus compliqué. Ils vivent à fond selon la règle du 'je veux et je prends'. Bon, je parle en connaissance de cause parce que ça m'est déjà arrivé et ouf... Ses gens-là quand ils veulent quelque chose ils savent comment s'y prendre, mais bon on comprend le principe. Ça ne fait pas d'eux des putes pour autant. Ça ne nous donne pas le droit de traiter de pute qui osera poser un doigt sur nous, même indirectement. Un peu de respect quand même! Moi tout ce que je fais c'est essayer de créer une zone de malaise qui n'est pas suffisamment définie, pas de le conduire à mon lit. Il y a une nuance très nette à faire...

Oh puis le salaud... Il veut une pute? Je vais lui en donner une pute et il va le regretter. Je me penche dans sa direction sans trop me presser et j'étire les bras pour l'attraper par le pantalon et l'attirer vers moi. Je sais précisément ce que je fais là. Je lui donne cette espèce de sensation de supériorité en me forçant à lever les yeux pour l'observer. Cette impression que monsieur est en contrôle alors que je m'affaire à déboutonner son jean, descendre la fermeture éclaire... et finalement remonter mes mains contre son torse en souriant.

« Peut-être que je devrais te donner une bonne raison de leur donner mon numéro. »

Ce que je peux me sentir salle c'est atroce à jouer la pute comme ça, mais ça fait parti du jeu alors je continue et je laisse mes doigts dessiner ses muscles par-dessus le tissu de son vêtement. Le pire dans tout ça c'est qu'il a de ses muscles le mec... Être si... si... bref. Être comme ça et être si con c'est presque triste. Puis cette horreur qu'il a au poignet donne vraiment tout sauf envie. Je l'avais à peine remarqué plus tôt, mais maintenant qu'il est plus près de moi c'est un peu plus difficile de passer à côté. Enfin, surtout maintenant que je suis davantage au niveau de son poignet et du reste qu'au niveau de ses yeux...

« Alors? Tu veux qu'on fasse la paix? On ne va tout de même pas s'est foutu sur la gueule pour rester en mauvais terme au final. On est des adultes après tout... »

Ah... ce que je peux me trouver drôle parfois...

826 mots & -24h
Anonymous
InvitéInvité
Sujet: Re: Press play to start [Axel & Lyall]   Mar 6 Sep - 21:40

Tu as bien vu que ta réaction ne lui a pas plu. Il ne s'y attendais visiblement pas, et ton petit manège n'est pas apprécié. Un large sourire sur les lèvres, tu manques d'éclater de rire devant son expression choquée. Mais tu te retiens, tu préfères continuer à l'emmerder, le traiter aussi éventuellement de catin. Du poings dans la gueule, ça passe à ça. Autant dire que le changement es surprenant et assez déroutant. Mais toi indéniablement tu t'amuses avec ces sous-entendus. T'es pas doué pour les insultes, mais en tout cas là tu as bien vu que ça avait fait mouche. Il suffit de voir son regard noir, l'espace d'un très court instant, pour en être convaincu. Le tiens pétille, le sien est sombre. Tu imagines que la gifle va tomber. Qu'il va se relever et t'en coller une, avant de partir et de ne plus jamais revenir. Tu auras en tout cas gagné, tu sortiras victorieux de ce petit duel entre vous. Sauf qu'il ne veut pas te laisser gagner. Il n'a pas dit son dernier mot et toi, tu es un peu rageur. Parce que bon, disons qu'il y a d'autres endroits pour ça, et que t'as pas envie qu'un de tes collègues ou même ton patron te découvres le pantalon aux chevilles sur le parking. La réputation, la conscience professionnelle, tout ça, c'est pas uniquement pour faire joli. Mais tu as commencé, tu as rendu le jeu plus sexuel et maintenant tu peux pas te défiler. Alors non tu vas voir jusqu'où tu peux aller avec ce type avant qu'il ne laisse tomber. Il s'accroche, il t'attire près de lui, ses mains très proche de la tirette de ton jeans, avant qu'elles ne remontent le long de ton torse. Sous ton t-shirt, même, et t'es perdu. Tu sens que ce petit jeu, tu vas pas le gagner, tu vas même le perdre. Parce que t'as pas le droit de te faire ce connard de journaliste, qu'il te chauffes ou non. Bon sang, t'as pas le droit, tu peux pas, c'est pas pro. Enfin, lui non plus n'est pas très pro. Tu pensais les journalistes très consciencieux dans leurs rapports aux autres, mais il faut croire que le fait d'être caméraman te fais baisser dans son estime. C'est pas cool, même si t'es obligé de t'y faire parce que les techniciens sont souvent mal considérés. Tu t'en plains parfois, souvent même, mais tant que ta paie tombe tous les mois tu te fiches de l'image que tu renvoies. Et puis de toute façon, sans les techniciens ça tourne pas. C'est ta petite victoire personnelle, les émissions tournent grâce à vous. Par contre, ce journaliste de pacotille incapable de prendre des notes durant une interview, c'est pas lui qui va faire la réputation du journal pour lequel il travaille. C'est pas possible qu'il ait retenu ce que la femme disait, pas alors qu'il dessinait sur son carnet. Mais c'est son problème, s'il se retrouve licencié. Ça va vite après tout. Tu ne l'as pas quitté des yeux alors qu'il passe ses mains sur toi. Tu essaies de trouver la faille, de trouver le petit truc qui le fera abandonner la lutte. Il a l'air de bien s'amuser, sourire aux lèvres, comme s'il faisait ça souvent. Tu lèves les yeux au ciel, il parle de paix alors que toi t'es entrain d'espérer autre chose. T'essayes de te sortir les images de la tête, mais il suffit que tu reposes tes yeux sur lui pour imaginer autre chose, un autre endroit, un autre contexte. T'as été con, t'as fais le con, maintenant tu paies. Son regard s'égare sur ton poignet, sur ton petit grigri. T'as pas envie qu'il te l'arraches ce con, alors tu mets ta main dans ta poche. Finalement tu ne sais même pas s'il l'a vraiment regardé, mais tu ne veux pas prendre de risque. Ce bracelet est trop important pour ta santé mentale, alors tu ne prends pas de risques. Et tu ris, nerveusement, quand il balance que vous êtes adultes. Toi, oui. Lui, c'est à peine si tu le crois. « Si tu appelles ça s'être foutu sur la gueule, c'est que tu n'as pas vécu. » Tu dis, le jugeant sur son physique de jeune voyou. Tu lui donnes même pas trente ans. « Mais oui voyons, faisons l'amour pas la guerre. » Tu ricanes, tu lèves encore les yeux au ciel. Tu aurais bien envie de lui donner ce qu'il veut, mais il joue tellement que finalement tu ne sais pas ce qu'il a envie. Un moment, tu as même cru, et c'est ce qui t'as choqué, que tu lui avais plu. Le moment suivant, tu as pensé qu'il te détestais, et puis finalement il joue le jeu malsain auquel vous vous prêtez. T'arrive pas à savoir ce qu'il veut, ça te perturbe, ça t'énerves. Toi, quand ça parle de cul, c'est simple : tu prends, tu te poses des questions après. Voire pas de questions non plus, t'es assez libéré sur le sujet et tes partenaires d'un soir ne demandent pas plus non plus. Du coup, tu décides d'être franc. « Bon. Tu veux quoi ? » Au lieu de te foutre de ma gueule comme ça, tu ajoutes presque.


(+800)
Anonymous
InvitéInvité
Sujet: Re: Press play to start [Axel & Lyall]   Mar 6 Sep - 23:52


Bon, je ne suis pas un pro en la matière... enfin pas totalement... mais j'ai la vague impression qu'il commence à réaliser l'erreur qu'il a fait en voulant jouer à ce petit jeu avec moi. Une erreur qu'il va regretter sous peu, il n'a pas idée à quel point. Je vais lui faire une finalité qui va lui donner envie de se mordre les doigts au sang. Oui, une finalité, c'est bien ce que j'ai dit. Ce n'est pas que ça ne m'amuse pas ce petit jeu, mais disons que ce qu'on a entamé ne peut pas se terminer de mille et une façon non plus. À force de pousser chacun de notre côté pour tester les limites de l'autre on ne va qu'arriver à se violer dans ma voiture et disons que ce n'est assurément pas ça que je veux faire. Il faudrait que je sois désespéré pour coucher avec un crétin pareil et ce n'est assurément pas le cas. Je me respecte un minimum quand même. Puis cette façon qu'il a de lever les yeux au ciel c'est agaçant.

« Oh tu n'as pas idée à quel point j'ai du vécu... »

Non il n'a pas idée. Je ne vais tout de même pas hurler sur les toits que je me faisais tabasser par mon père. Les rares personnes qui le savent n'en parlent simplement pas et c'est parfait comme ça. Je ne veux pas qu'on me prenne en pitié pour une connerie pareille. Puis ce n'est pas vraiment le moment de penser à ça non plus. Mieux vaux me concentrer sur cet imbécile qui croit bon de rigoler à son jeu de mots d'une qualité discutable. Faisons l'amour pas la guerre. C'était presque la phrase qui résumait mon existence quand j'étais plus jeune. Mieux valait oublier ma vie de merde entre les cuisses de quelqu'un plutôt que frapper mon père à mon tour. Enfin bref. Il se décide finalement à poser LA question, qu'est-ce que je veux.

Ce que je veux c'est simplement gagner cette petite guerre stupide qui a débuté pour une raison stupide parce que ce mec stupide a jugé bon de stupidement m'adresser la parole pour me dire les paroles les plus stupides que j'ai entendu au cours de la journée. Ça fait un beau concentré de stupidité que j'ai envie de lui enfoncer au fond de la gorge pour lui faire comprendre que parfois il vaut mieux se contenter de la fermer plutôt que dire des bêtises. Si j'aurais voulu continuer sur la lancée présentement entamée j'aurais pu lui enfoncer autre chose au fond de la gorge, mais je trouvais ça déplacé alors j'ai trouvé une autre solution pour simplement lui clouer le bec une bonne fois pour toute à ce crétin.

Je me suis donc redressé pour me placer, presque, à la hauteur de ses yeux sans délaisser son torse bien trop musclé pour ma santé mentale de mes mains qui dessinaient les dit muscles du bout des doigts. Sans même me soucier de mon veston qui est tombé par terre au passage. Il faut dire que j'avais d'autre préoccupations à l'instant et que ça aurait un peu brisé le momentum de me pencher pour le ramasser. Je l'ai fixé avec un petit sourire en le poussant doucement de mains pour le faire reculer un peu plus loin de la voiture. Ceci étant fait, je l'ai brièvement détaillé du regard en me mordillant la lèvre avant de me pencher dans sa direction pour approcher ma bouche de son oreille. Oreille que j'ai délicatement pris entre mes lèvres alors que ma main redescendait pour s'aventurer en zone interdite et jauger la marchandise.

« Je croyais que c'était évident ce que je veux pourtant. Un mec avec de si jolies fesses que les tiennes ne peux que faire des miracles au lit. »

Que je lui murmure à l'oreille en m'occupant de l'essentiel de ma main... Du moins jusqu'à ce que je termine le fond de ma pensée d'un ton plus amusé.

« Dommage que tu sois un crétin. »

On ajoute à tout ceci un gentil petit coup de genoux dans le ventre, un rapide baiser sur ses jolies lèvres, et hop je me tire en vitesse vers ma voiture dont je verrouille la porte en ricanant dès que j'ai pris place sur le siège du conducteur. J'ai essayé de faire vite pour profiter de l'effet de surprise et peut-être un minimum du coup au ventre. Bon, peut-être que je lui ai montré mon plus beau doigt par la fenêtre aussi, histoire de bien compléter le portrait de connard qu'il avait sans doute déjà dressé de moi dans sa tête. Et le veston dans tout ça? Un souvenir que je lui laisse visiblement alors que je me tire en foutant la musique à fond. Adieu crétin.

803 mots & -24h
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Press play to start [Axel & Lyall]
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