| | (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. | |
| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mer 31 Aoû - 19:46 |
| Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Léa Osborn Mission merdique. Bande de débutant sans cervelle. Je venais de me coltiner des Obscurs stupides pour une mission de routine, qui malheureusement grâce à l’incompétence de certains, avait fini par mal tourner. Pour une fois que je ne partais pas avec Florian, je me retrouvais dans une position délicate. Passant le pas de ma porte, le soleil était couché depuis une bonne heure maintenant. Une grimace sur mes lèvres, je tente d’ôter mon haut déchiré à plusieurs endroits, alors que mon sang coulait goute à goute sur le sol. Bien sûr, j’aurais pu abandonner cette bande de crétins fini à la pisse de démon, mais non. Con comme je suis, j’avais tenté d’en sauver le plus possible, envoyant valser les membres de mes ennemis. Bon, ils c’étaient débrouillés comme ils le pouvaient, d’ailleurs, ils n’étaient pas tous morts. Justement, là était le souci. Je n’avais pas achevé le boulot. Jetant mon haut à travers la pièce, je vais me planter devant mon miroir haut accroché au mur de mon salon. Je prends le temps d’examiner mon torse ouvert à plusieurs endroits, trop profondément pour que ma rune de guérison ne fonctionne entièrement. Bordel. Un objet vibra dans ma poche et je soupire, le prenant entre mes doigts couverts de sang. « C’est toi qui saigne comme ça ? Besoin d’aide ? » Mon frère, Joshua. Bien sûr, il avait dû sentir l’odeur de mon sang, étant un vampire il ne pouvait pas passer à côté…comme mon père, ma mère ou encore Léa, ma jumelle. Je pousse un long soupire, pianotant sur l’écran qui fut vite recouvert d’empreintes rouge. « Oui c’est moi. Pas besoin, je m’en occupe j’ai de quoi me soigner ici. » J’aurais très bien pu aller voir Lehr, mais sincèrement il n’était pas très marrant pour le moment. La déprime des autres non merci, très peu pour moi. Détachant mon pantalon, je le fais glisser sur le sol, repérant plusieurs blessures sur mes cuisses. Ouai bon, j’étais quand même arrangé, comme quoi, à force de me prendre pour dieu j’en payais quelques fois les pots cassés. Un sourire amusé s’affiche sur mon visage, très vite remplacé par une nouvelle grimace de douleur alors que j’allais chercher la trousse de soins. Seule chose à faire dans l’immédiat, désinfecter tout ça et attendre que ça guérisse. De toute façon, je n’allais absolument pas en crever. Posant mon gros cul sur le canapé, heureusement foncé, je commence à nettoyer les plaies à porter de mains, sauf que ben ouai, j’en avais clairement dans le dos. J’avais beau tenter de m’étirer le plus possible, je ne suis pas l’homme élastique non plus hein. Non, moi je suis plutôt l’homme chocolat, l’homme aux Twix, sauf qu’à l’heure actuelle les Twix ne peuvent pas faire grand-chose. Je balance un énième coton imbibé de sang à terre avant d’abandonner l’idée de continuer. Je fais en sorte de me foutre des pansements là où je peux, assez maladroitement d’ailleurs. Autrefois c’était Léa qui s’occupait de me soigner, mais bon, depuis que mademoiselle était devenue vampire je faisais en sorte de ne pas croiser sa route. Pas que j’aille peur, ho non, juste que cette rancœur était toujours belle et bien présent. Hors, des deux, c’est sûrement moi le plus rancunier. Passant une main sur mon visage, je ne prête pas attention au fait que je me fou du sang partout…une bonne douche est de rigueur. Me levant durement, je me traîne jusque dans la salle de bain et m’assois à terre, incapable de rester plus longtemps debout. Allumant l’eau tiède, je laisse le liquide nettoyer ma peau avant de remarquer que…oups j’ai gardé mon foutu boxer. Bof, tant pis. Je ferme doucement les yeux, laissant l’arrière de ma tête prendre appuie sur le carrelage de lu mur. C’est alors que des bruits de talons se font entendre dans les escaliers et qu’une nouvelle grimace s’affiche sur mes lèvres. Je dois vraiment apprendre à fermer la porte de chez moi… « Dehors ! » J’avais crié ses paroles avec un air franchement râleur, parce que oui, je suis loin d’être de bonne humeur ce soir. Sauf que, comme je pouvais m’en douter, le bruit ne s’éloigne pas mais se rapproche quand la porte de la salle de bain s’ouvre. Ayant une douche italienne, je peux très vite voir à qui j’ai affaire et mon regard se durcit. Léa. Mon regard froid s’accompagne d’un sourire arrogant, les yeux grands ouverts, je plonge mes yeux dans les siens. « Le soleil est couché du coup mademoiselle la vampirette peut sortir du manoir. Ais-je oublié que je t’avais invité ? » Ma voie était remplie d’ironie alors que je ne la quittais pas des yeux, laissant l’eau continuer à couler sur moi. J’étais partagé entre le fait qu’elle m’avait terriblement manqué, non, qu’elle me manquait terriblement. Ou encore, le fait de vouloir lui coller la branler de sa vie et lui exploser la tronche contre l’évier…après tout, c’est un vampire, elle guérira rapidement non ? 836 mots - post 1 © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Jeu 1 Sep - 4:13 |
| Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Gabriel Osborn '' Léa... Tu ne m’écoutes pas! Encore! '' C’est assis sur une chaise depuis presque deux heures, qui me semblent une vraie éternité; que j’essaie désespérément de me concentrer à comprendre le principe de '' faire semblant de respirer comme tout le monde''. Bien entendue, vu ma patience inouïe, je serre les poings et je sens ma mâchoire se raidir. '' Mais putain! Je fais que ça!!! Respiré m’a jamais semblé aussi difficile à comprendre bordel! '' Dis-je d’une façon désespérée et sur le bord de la crise de nerfs. Mon frère amena sa main à son visage dépité par ma tête dure comme du rock et je vois clairement qu’il se demande si je vais y arriver. Il soupire désespérément et en ce moment j’ai une simple envie, lui fracassé le crane sur la chaise, mais étonnement, il recommence. '' Ok bon... Respire doucement par le nez... PAS TROP! Juste un peu... C’est ça! Puis expire doucement par le nez... LÉA! Faut que se soit naturel, ta l’aire juste d’une retardée quand tu souffles comme ça! T'es pas un éléphant!'' Quoi?! Non il vient pas de dire ça?! Je crois que j’ai passé à deux doigts de faillir tellement j’ai envie de lui enfoncer quelque chose dans le fond de la gorge pour qu’il arrête de parler. Oup, je crois que j’ai même cassé la chaise! '' En ce moment, je fais tout pour éviter de te laisser prendre ton dernier souffle. Non attend j’ai encore mieux... et si je t’enfonçais la tête dans le cul tu crois pouvoir encore respiré comme tout le monde?! '' Je laisse soudainement voir mon regard bleu teinté d’une légère brillance de sadisme et j’imagine clairement la scène. Mon sourire accompagne mon expression euphorique et il semble limite prise de la folie, mais bon... Je reçois une claque derrière la tête qui me ramène les esprits dans le bon sens. Non, mais bon, la famille c’est la famille, mais si j’ai envie de l’égorger comme un porc à ce moment précis, ça reste que je ne lui toucherais jamais. La famille c’est beaucoup trop important pour moi, donc d’un certain sens... Il est chanceux d’être du même sang que moi. '' BA VOILÀ!'' Je caressais le derrière de ma tête, même si, avouons-le; je fais un peu du drama queen en ce moment (vive mon côté actrice! ), je sursaute presque sur son aire enthousiasme. Je regarde autour de moi en me demandant s’il a soudainement pris en flagrant délit Micky et Minnie dans une partie de jambe en l’aire, mais... non! (tout pour détruire les comptes de disney quoi!) Je ne comprends clairement pas pourquoi autant d’enthousiasme tout d’un coup. '' Quoi?! Tu as enfin découvert que tu étais homo?!'' Je vois le visage de mon aîné se fermer et il m’annonce '' Non... Tu viens de respirer normalement...'' C’est en le regardant que je réalise qu’en fait oui! J’ai l’impression de respirer normalement comme autrefois! Bon, ce n’est pas nécessaire pour moi, mais ça passe mieux au travers les gens. Je me levai soudainement, victorieuse d’avoir réussi après plus de 120 minutes de cours intensif et je lance soudainement '' BON! Après autant d’effort, je mérite une poche de sang! '' Moi qui dit un truc pareil, bordel c’est étrange, mais étrangement je sens de besoin d’en boire des litres! C’est en recevant une petite poche que j’attrape ce dernier et la dévisage, comme s’il venait de me lancer une petite sourit '' Tu es sérieux?! C’est quoi; tu me mets au régime c’est ça?? '' Je l’écoute me dire que je dois y aller doucement et je me sens soudainement comme une gamine face à une armoire remplit de bonbons celés à clé. Je me laisse tombé sur la chaise seule dans la pièce et je mords dans la poche pour aussitôt me nourrir proprement... Sous l’odeur de fer plutôt abondant, je me concentre pour en détecter l’odeur de Gabriel. Je crois que c’est à ce moment que je sens soudainement un pincement à mon cœur et à mon estomac... Enfin mon cœur... le cadavre de celui-ci, disons. C’est étrange, mais à ce moment-là, je me sens craqué, briser entre-deux; incertaine de savoir si je devrais aller le voir pour simplement l’aidé, voir et m’assurer qu’il va bien... Sauf que de l’autre côté, je lui en veux de n’avoir pas été là, de ne pas m’avoir comprit pour la première fois de notre existence à deux. Je reconnais d’une certaine façon de l’avoir blessé, mais il en était question de quelque chose d’important... Après avoir attendu que la deuxième mouche se mette à voler, je savais clairement que je n’étais pas la seule à avoir sentit Gabriel arrivé chez lui et avec mon orgueil démesuré, je marchai sur celui-ci, car avouons-le, deux semaines... C’est beaucoup trop long! Puis, ça ne concernait pas un nain vert non plus! Je m’attendais d’entendre la sortie de Josuha derrière moi d’une mine moralisatrice vu son statue de créateur... Mais non! Mes talons ne restaient pas discrets et malgré ma rapidité plus accrue, je ne l’utilisai pas pour laisser la tension monter. Je sais, je suis limite maso, mais bon, que voulez-vous, je suis quand même une Osborn! J’entrais dans la salle de bain que je connaissais dans ces moindres détails et d’une démarche agile, j’avançais sans perdre mon regard sur mon jumeau, déterminé à lui faire enfin face. Si c’est mots serait sortie d’une autre personne que Gabriel, elle aurait définitivement plus la possibilité de laisser entendre plus de deux mots à la fois. Je l’aurais certainement déjà saigné comme une fragile proie, m’enivrant du toucher de ces entrailles entre mes doigts. Mais je ne fis que sourire, d’une expression dépassée comme si ces mots ne m’atteignaient pas. '' Dis-moi, tu as pensé à ce que tu allais me dire pendant ces deux semaines où tu as simplement lâché la première chose qui t’a passé à l’esprit?'' J’adore jouer, j’adore sentir la colère montée et c’est à travers la vitre que je le regardais. Je ne pouvais jouer avec lui... C’était mon jumeau, ma moitié, il était plus important que moi-même...Alors c’est en baissant le regard un instant que je me dis de changer d’approche... Mon regard revint s’introduire dans le sien et je demandais... '' Je suis ta jumelle... Tu te rappelles?... Ce qui est à moi est à toi et vice versa... '' Je surveillais ces moindres expressions, le moindre agissement... Je le connaissais que trop bien et malgré la colère, je savais que pour nous la famille reste la famille. '' Tu ne peux pas refuser de l’aide quand même? Je suis sur que tu as bâclé cette magnifique œuvre!'' Bien entendue, je parlais de ces super blessures et du sang qui en découlait... Je dois dire que malgré mon envie de l’aidé, de régler ça, j’avais les nerfs qui étaient assoiffés de ce goût ferreux. 1161 mots - Post 4 -24h © MADE BY SEAWOLF.
Dernière édition par Léa Osborn le Mar 6 Sep - 3:13, édité 1 fois |
| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
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Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Jeu 1 Sep - 9:55 |
| Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Léa Osborn La voir ainsi éveillait bien des choses en moi. Colère, amertume, rancœur, passion, amour. Léa c’est mon double, ma jumelle. C’est avec elle que je partageais tout il y a encore de cela quinze jours, avec qui j’avais évolué que ce soit dans le monde réel ou encore, dans le ventre de notre mère. Oui, elle était celle que j’aimais d’un amour inconditionnel et pas seulement parce que c’était ma sœur, non, parce qu’elle était moi au féminin. Et puis, il avait fallu qu’elle me trahisse, me laissant seul avec une blessure sanglante à l’âme. Le jour où elle était morte, elle avait emporté une partie de moi sans vraiment le réaliser. Brisant le serment que nous nous étions fait lors de notre tendre enfance. Les Osborn sont programmés pour devenir des vampires, c’est dans nos gênes. Pourtant, nous devions passer le cap ensemble, tous les deux, elle en avait décidée autrement. Pour la première fois de notre vie nous étions différents, une différence flagrante, incalculable. Elle était morte, alors que moi, mon cœur battait encore dans ma poitrine. Et il était là le souci. Sa peau pâle me rappelait ce que j’avais perdu, celle que j’avais perdue. J’avais l’impression de ne plus rien partager avec elle, comme deux êtres à présent complètement à part. Elle était-elle, j’étais moi, alors qu’autrefois nous n’étions qu’un. C’est peut-être stupide et enfantin comme réaction, car au final, rien n’avait vraiment changé. Elle restait ma jumelle, ma Léa sauf que, ben ouai, elle était morte. '' Dis-moi, tu as pensé à ce que tu allais me dire pendant ces deux semaines où tu as simplement lâché la première chose qui t’a passé à l’esprit?'' Je hausse les épaules comme un gamin. « Tu t’attendais à quoi ? A de grands discours remplis d’amour et de tendresse…tu rêves. » Oui, quand je l’ai mauvaise ça se vit directement. Elle m’avait poignardée dans le cœur, voir dans le dos. Je le prenais comme une trahison et venant d’elle, ça faisait terriblement mal. Si seulement elle savait… Début du souvenir.Tapis dans un coin, j’observais de loin, invisible aux yeux des autres, cherchant à ne pas me faire remarquer. Joshua est là, ainsi que les parents. Ils attendent qu’elle se réveille, qu’elle se faufile à travers la terre pour vivre sa renaissance. Ils savent que je suis là, ce sont des vampires et le sang qui colle à mes vêtements ne passe pas inaperçu. Ils savent néanmoins que si je n’approche pas c’est parce que je ne veux pas qu’elle le sache, je veux juste m’assurer que la transition se passe bien. C’est plus fort que moi. Ils savent oui, ils savent que si je n’apparais pas c’est que je ne souhaite pas qu’elle me sache là. La terre tremble avant de laisser apparaître sa main. Mon cœur cœur se serre lorsqu’elle apparaît, aussi pâle qu’un mort. Mon frère lui balance des poches de sang, cinq pour être exacte, elle est affamée. Elle ne sait pas que je suis là, trop focalisée sur sa soif, encore débutante dans l’art du vampirisme. Mon cœur se serre et je baisse les yeux, me détournant pour m’éloigner rapidement. Sauf que ma mère apparait et me bloque, refermant ses bras autour de moi. Elle sent. Elle sent ma détresse, elle sent cette fissure qui s’agrandit à chaque pas que je fais. Et là, je me sens perdre pieds. Je n’ai plus de repères, ma sœur est morte, que vais-je faire ? En vingt-six ans, ce fut la première fois que je fondis en larme dans les bras de cette mère qui nous avais autrefois portés. Mais ça, Léa n’en eu jamais connaissance. Fin du souvenir.Je cligne légèrement des yeux, revenant à la réalité. Oui, j’avais été présent lors de sa renaissance, de sa nouvelle vie et j’en avais eu le cœur brisé. Durant un instant j’avais cru qu’elle n’irait pas jusqu’au bout, que face à ma réaction, elle abandonnerait l’idée de se transformer et attendrait encore quelques temps. Mais non, elle avait sauté le pas, me brisant de l’intérieur, me laissant seul avec mon amertume et ma mortalité depuis quinze longs jours désormais. Bien que pour elle, dorénavant, elle possédait l’éternité devant elle. Mon regard croise de nouveau le sien. Je ne laisse rien paraitre de mes pensées, de mes émotions. '' Je suis ta jumelle... Tu te rappelles?... Ce qui est à moi est à toi et vice versa... '' Je ricane avec une ironie certaine. « Ma jumelle…bien drôle de façon de le montrer. Une jumelle ne brise pas son serment, ne se transforme pas en vampire sans son double. Enfin, c’est ma vision des choses. » Oui, je n’allais pas lâcher l’affaire, j’étais encore bien trop en colère pour ça. La seule personne qui ne m’avait pas trahie était Florian. Lui au moins ne me tournait pas le dos, il était également l’une des raisons pour lesquels je ne m’étais pas transformé en vampire. Me faire transformer serait briser notre lien de Parabtai, c’était hors de question, je tenais trop à lui pour faire une telle chose. Peut-être qu’un jour je sauterais le pas et, peut-être que ce jour-là, Florian me suivra dans mon acte. Il faut dire que depuis que nous couchions ensemble, le lien semblait de plus en plus intense, de plus en plus présent. Je m’y raccrochais comme une foutue bouée de sauvetage face à la désertion de Léa, c’était surtout grâce à ce lien que je ne n’avais pas encore foutu la ville à feu et à sang plus qu’en général. '' Tu ne peux pas refuser de l’aide quand même? Je suis sur que tu as bâclé cette magnifique œuvre!'' Je lève les yeux au ciel, détournant les yeux vers mes pansements mouillés. Oui, sur le coup j’avais fait le con, j’aurais dû aller me laver avant de faire mes pansements…Bof, moi et l’intelligence quelques fois ça fait deux, bien que l’air de rien je possède un QI pas mal élevé bouffé par une connerie certaine. Un soupire s’échappe de mes lèvres et je finis par me redresser assez difficilement, coupant l’eau tout en sortant de la douche. Je ne prends pas la peine de m’essuyer, foutant de l’eau partout à terre. « Ouai ben j’aimerais bien t’y voir toi ! J’ai pas encore des bras extensibles qui arrivent jusque dans mon dos. » Passant à côté d’elle, je fais en sorte de simplement la frôler. Frôlement subtile qui éveille un frisson douloureux dans tout mon être, comme une caresse subtile qui fait remonter de cruels souvenirs. Elle me manque. Sa peau, son odeur, ses sourires. La dépassant pour m’asseoir dans mon lit, l’air frais de la maison me fait frissonner bien que je ne ressente pas forcément le froid qui m’enrobe délicatement. Je ne suis pas frileux, j’ai le sang chaud c’est bien connu. Posant mon regard sur ma jumelle, je plonge celui-ci dans le sien. « Ne t’avise pas de me mordre c’est clair, soit tu te contrôles, soit je t’enfonce un pieu entre les deux yeux. » Notez que je n’ai pas dit dans le cœur, parce que la tuer j’en étais littéralement incapable…lui faire du mal aussi d’ailleurs. J’ai beau faire le grand, mes paroles n’étaient que du vent. Jamais, au grand jamais je n’oserais la toucher pour tenter de la faire souffrir. Elle pouvait me briser, encore et encore, me faire souffrir, me faire pleurer, toucher mon égo et éveiller une certaine sensibilité, elle n’éveillera jamais ma cruauté vis-à-vis d’elle. 1253 mots - post 3 - 24h © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mar 6 Sep - 3:12 |
| Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Gabriel Osborn Quinze jours on passé... pour certain se serai sûrement peu, mais pour moi, ce fut sans doute pire qu’une éternité seule. Je me sentais séparé, perdant la moitié de moi-même, me sentant incompléte, impatiente et totalement incontrôlable. Ces journées m’ont paru à vif, infranchissables et totalement insurmontables. Tous croient qu’en étant vampire on se sent surhumain, on se sent au-dessus, plus fort, plus rapide, mais en réalité, je me demandais si ce fut le bon choix, si tout ça en valait la peine. Je ne souhaitais qu’être auprès de mon sosie pour toujours et à jamais, mais je n’avais que gagné sa colère et sa distance... Je me sentais affamé, pas simplement de sang, mais de la présence de Gabriel. Depuis que nous étions dans le ventre de notre mère, nous avons tout partagé, mais maintenant, séparé de la sorte, frustré, inconsolable, j’étais déchiré entre deux choix... Pleuré toutes les larmes de mon corps sous cette perte qui était pire que m’enlever ma propre âme ou alors faire un massacre pour essayer d’étancher cette soif qui en serait sans fin... Je roulais des yeux alors qu’il souhaitait que me mette sa colère sous le nez. '' Je t’avouerais que je m’attendais à un bouquet de roses, mais laissons faire le romantisme...'' Toujours le mot pour dédramatiser, même au pire moment... Le revoir dans sa douche sa peau lacérée de blessure, mais son expression presque inaccessible me donnait envie de venir le rejoindre, l’aidé, même si je sais qu’en ce moment il ne m’accueillerait pas comme avant, mais pourtant, je savais qu’il ne pouvait me repousser... Je restai là, devant lui la rancœur et l’incompréhension apparaissaient sur ces traits et je comprenais... Au premier abord, j’aurais sûrement réagi de la même façon, mais il ne savait pas pourquoi j’avais fait ce choix. Je me sentais soudainement jugé par le seul qui me prenait toujours comme j’étais sans me demander quoi que se soit. Ces mots en fût presque aussi poignant que la douleur que je ressentais malgré l’arrêt de mon cœur et malgré mon soupir, il savait pertinemment comment me faire mal. Je croisai mes bras, signe qu’une certaine fermeture et adossa mon côté droit sur la douche. Je serrais la mâchoire me retenant de lui lancer en pleine figure tout ce que je ressentais, le pourquoi que j’avais franchi le capte sans lui brisant soudainement notre promesse à contrecœur. Pour Gabriel, je me contenais avec difficulté... J’étais venu en premiers lieux pour l’aider, mais aussi pour savoir comment il allait et malgré nos différents, nos frustrations, je savais que notre discussion allait s’enflammer. Nous n’avions jamais l’habitude de nous confronté, mais aujourd’hui allait certainement être la première, tout comme avoir décidé de ne pas se voir pendant quinze interminables journées. '' Tu ne peux pas refuser de l’aide quand même? Je suis sur que tu as bâclé cette magnifique œuvre!'' C’est sans doute la première fois que je dévie une conversation, mais c’était pour pas qu’on se prenne la tête au tout début de nos retrouvailles... Alors qu’il se mit à sortir, je fis un sourire en coin et désignant '' Tu as quand même un bras extensible, mais d'après moi, il ne t'es pas bien utiles en ce moment... Heureusement que tes pas un x-men, comme ça tu pourras toujours profité de mes doigts de fée pour ce genre de truc. '' Il ne fit que passer, mais son frôlement me semblait le geste des plus délicats déclenchant une série de frémissement inhumain plus intense que je ne l’avais jamais ressenti. Joshua m’avait averti que mes sens en étaient développés, mais ce simple frôlement m’a semblé comme une caresse de velours sur mon âme, me retenant de respirer, même si j’en avais pas réellement besoin. Je pris un léger moment avant de me remettre de tout ce renouveau, je soufflais, retenant mes pulsions de me laisser emporté par l’envie d’en sentir davantage, de le retrouvé dans mes bras, le sentir contre moi, retrouvant sa chaleur, son souffle; lui. Ce souvenir douloureux me donna une seconde sensation de lourdeur et je me détachais en attrapant une serviette, puis la trousse que je traînais jusqu’à son lit. De haut, je le regardais et lui fouta la serviette sur la tronche pour ensuite la faire glisser sur ces épaules. Il était chanceux d’être mon jumeau, sinon il aurait sûrement fini en brochette pour le barbecue '' Si j’avais à te mordre, je l’aurais déjà fait avec l’odeur aguichante de sang que tu dégages depuis ton arrivé... '' le tissu glissa le long de son dos et je la ramenai sur son épaule droite, caressant et séchant son bras, puis ensuite l’autre. Un genou au sol, je la glissais sur son torse et la laissa tombé au bas de celui-ci alors qu’il était nu comme un ver. Je l’examinais et laissa entendre ... '' Un vrai débutant!'' Ma main se déposa sur son torse, ressentant cette chaleur que j’avais abandonnée tout comme mon dernier souffle. '' Ça risque de pincer.'' Je retirai le pansement et une légère goutte rosée glissa le long de son torse et subtilement je me mordis la lèvre inférieure comme j’en avais l’habitude à chaque fois que je me concentrais. Je me tournais vers la trousse et attrapa un coton imbibé pour le désinfecté. J’apportai alors des pansements adaptés à ces blessures. C’est en mettant le dernier des bandages que je laissais échappé '' Tu ressembles à un dalmatien! Bientôt tu vas te licher les bijoux de famille et t’aura une gamelle avec ton nom dessus! Tu veux un biscuit? '' Je me mis à rigolé silencieusement et licha mes lèvres en pensant à l’odeur de son sang sur les bandages. L’envie était présente, mais je devais me retenir pour paraître le moins changé possible. Refermant la boîte blanche, je levais les yeux un moment et plongea mon regard dans celui de celui pour qui j’avais choisi de changer. Je regardais chaque détail de son visage, de son expression que je semblais connaître par coeur, lisant dans son regard qu’il semblait avoir perdu quelque chose, triste de ce que j’étais devenue. J’aurais pu mit perdre mille et une fois, faisant quoi que se soit pour que ce simple regard puisse sourire de nouveau. Ces mèches de cheveux encore humides me donnaient envie de les caressés et sûrement de lui dire que tout allait, même si en réalité ce n’était pas vrai. J’ouvris la bouche, souhaitant peut-être lui demandé excuse, mais ce n’était pas dans mes habitudes et je ne savais pas comment faire. J’avais toujours été différente envers lui, il était le seul que j’aimais plus que tout, que je me montrais sous mon vrai joue, Gab était le seul qui attendrissait mon coeur dur et sadique. '' Gab... '' Je respirais, même si je n’en avais pas besoin et alors que j’allais dire un truc, je déviais mon regard et attrapa les choses pour allé les jetés et estompé l’odeur. C'est au bout de la pièce que je pensais à tout ça et malgré que j'essayais de retenir mon caractère explosif, je ne savais pas par quoi commencé, par quoi dire... M'excuser ou alors lui éclaté tout en pleine poire comme le ferai un vieux couple. Je me tournais vers le lit et lui dit '' Bon aller... on va évité le sujet toute la soirée comme deux nanas ou tu vas me faire la gueule pour le reste de notre existence?'' 1256 mots - post 4 © MADE BY SEAWOLF. |
| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mar 6 Sep - 10:32 |
| Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Léa Osborn Elle ne peut pas savoir à quel point elle m’a blessée, à quel point je me sens perdu depuis sa transformation. Elle avait brisé quelque chose en moi que seul Florian pouvait estomper. Cette rage de l’abandon, ce cruel sentiment qui ne me quittait jamais malgré les apparences. J’ai appris à ne rien laisser paraitre, à me jouer de mes émotions, les ignorant quelques fois pour mieux les supporter. J’ai beau être ce que je suis, je n’en reste pas moins une personne pourvue d’émotions. Certes, je n’en avais pas beaucoup et je n’en éprouvais que rarement et en de rares occasions, mais Léa était l’une des rares à pouvoir me blesser, me briser comme elle l’avait fait il y a quinze jours. Elle avait toujours été tout pour moi, grandissant à mes côtés, faisant ses premiers pas avec moi dans la vie. Comment avait-elle osé me laisser ? M’abandonner ? Je n’arrivais pas à comprendre ni même à me résoudre face à cette évidence. C’était comme accepter un choix que je n’aurais pas fait, comme accepter une trahison impardonnable. Non, ce n’était même pas envisageable, pas maintenant. Je gardais toute ma rancœur en moi, ne faisant que lui en vouloir tout en la pleurant silencieusement. Mon corps regrettait le sien, mon âme voulait retrouver cette partie arrachée à sa mort. Parce qu’au final elle l’était, morte. Son palpitant ne battait plus, sa respiration sonnait fausse, sa peau blanchâtre ne laissait aucuns doutes sur sa nouvelle nature. Autrefois si semblables, physiquement nous ne l’étions plus. Le sang circulant dans mes veines rendait ma peau rosée, alors que la sienne n’avait plus rien de naturelle. Son regard mort ne laissait plus apparaître celle que j’avais autrefois aimer. En elle, je ne retrouvais plus rien de ce qui avait été ma jumelle, mon double. '' Je t’avouerais que je m’attendais à un bouquet de roses, mais laissons faire le romantisme...'' Je plisse les yeux devant ses conneries. Bordel, j’avais devant moi mon double exact de réflexions et remarques débiles. Parfois, je me demandais comment les autres faisaient pour me supporter, surtout dans des moments pareils. J’avais envie de l’étrangler sur le coup, de lui dire que ses remarques elle pouvait se les foutres au cul. Quoi que, je mettrais bien autre chose, mais là n’est pas la question du jour… Je n’étais pas spécialement d’humeur à coucher avec elle dans l’immédiat, pas dans une telle conversation et encore moins face à ce qu’il c’était passé il y a quinze jours. Entendons-nous bien, coucher avec un vampire ne serait pas une première, mais là il ne s’agissait pas de n’importe quel vampire. Bon, coucher avec ma jumelle ne serait absolument pas une première non plus, je ne compte plus les fois où nous avions couchés ensemble. C’était devenu naturel, normal entre nous. Notre proximité était telle, que nos corps s’épousaient à la perfection. Autant je lui appartenais d’une certaine façon et vice-versa, autant elle ne me possèderait jamais entièrement. Florian avait clairement sa place plus qu’évidente dans ma vie, même si Léa ne s’en est jamais douté, pas de cette façon-là en tout qu’à. Il faut dire qu’entre Parabtai, la proximité est normale, mais la nôtre dépassait les lois de la logique même. Oui, les Osborn sont de vrais lapins en puissance, je me demande d’ailleurs comment Léa à fait pour ne pas tomber enceinte après toutes ses parties de jambes en l’air ensemble. Il est évident que les préservatifs je ne connais absolument pas, c’est chiant et ça enlèves tout le plaisir. Puis, je doutais que ma jumelle prenne la pilule, non, j’en suis certains. Heureusement dans un sens, je me voyais mal dire à mes parents ; yo maman j’ai foutu ma jumelle en cloque, vous allez être grands-parents…Ils ne l’auraient pas forcément bien pris je crois. '' Tu ne peux pas refuser de l’aide quand même? Je suis sûr que tu as bâclé cette magnifique œuvre!'' « La fermes Léa. » J’avais dit ça dans un grognement certain. Je n’étais pas d’humeur à supporter ses plaisanteries douteuses, d’ailleurs, je n’étais pas d’humeur tout court. J’étais partagé entre trop d’émotions pour dire de répliquer d’autres paroles, de me prêter à son jeu. Non, je n’en avais pas envie. J’aurais juste aimer lui dire ses quatre vérités. Généralement je suis un homme d’une grande franchise, ne me gênant pas pour dire ce que je pense. Hors, avec elle, je pesais souvent mes mots. Elle n’était pas n’importe qui. Sauf qu’à présent je ne reconnaissais pas ma sœur, comme une étrangère chez moi. Je n’avais qu’une envie, lui demander où était passée Léanna, ma Léanna. ''Tu as quand même un bras extensible, mais d'après moi, il ne t'es pas bien utiles en ce moment... Heureusement que tes pas un x-men, comme ça tu pourras toujours profité de mes doigts de fée pour ce genre de truc. ' » « N’importe quoi, il t’arrive de la fermer ? » Oui, je me montre froid et cassant, mais elle le mérite après tout. Pourtant, je frôle celle-ci, comme si mon corps réclamait un contact aussi subtil qu’il puisse être. Foutue aimantation corporelle de merde. Je vais me mettre dans le lit, prenant place sur celui-ci en grognant légèrement. J’aurais bien eu besoin de Florian là, histoire qu’il m’applique des runes pour me soigner plus rapidement. C’est bien connu, les runes de son parabatai agissent plus vite que celle qu’on s’applique directement. Je fais en sorte d’enlever mon boxer trempé, pas par provocation mais juste par confort. Léa m’a déjà vu nu, ça ne la choquera pas et moi encore moins. Ma sœur vient rapidement me rejoindre, me jetant une serviette sur la gueule. Je me débats légèrement alors qu’elle commence à me sécher. Mais merde, on dirait une infirmière personnelle. Finalement, j’abandonne l’idée de me débattre. De un c’est trop douloureux, puis je commençais à avoir froid… . '' Si j’avais à te mordre, je l’aurais déjà fait avec l’odeur aguichante de sang que tu dégages depuis ton arrivé... '' Ben ouai, mes fesses. N’oublions pas que mademoiselle est une apprentie vampire hein, que mon corps est un putain de buffet à volonté et qu’elle aurait pu faire de moi son repas. Bon, je me serais clairement défendu, mais je ne suis pas con, Léa est devenue plus forte que moi. Ça aussi c’est très frustrant… En faisant la gueule, je la laisse me sécher, une moue boudeuse et sombre sur le visage, essayant de ne pas me focaliser sur ses gestes, ses frôlements. Malheureusement, mon corps réagissait naturellement, frissonnant ici et là au passage de ses doigts. Elle me dit que j’étais un débutant et je lui lance un regard sombre, elle m’enlève mes pansements et je ne bronche pas. Elle oubliait peut-être que je n’étais pas vraiment douillet et qu’il m’en fallait plus pour hurler à la mort. Elle commence à refaire mes bandages et je la laisse faire en silence, ne souhaitant pas prendre la parole. Ouai, je suis têtu et pas qu’un peu, du coup, elle n’avait qu’à faire son job et surtout elle avait intérêt à le faire convenablement et sans me mordre. Pourtant, du coin de l’œil je l’observais, la dévorant du regard. Saloperie. Mes parents ne pouvaient pas faire de laids enfants ! '' Tu ressembles à un dalmatien! Bientôt tu vas te licher les bijoux de famille et t’aura une gamelle avec ton nom dessus! Tu veux un biscuit? '' « Un conseil Léa, tes blagues à deux balles tu vas te les garder, surtout pour le moment. Parce que tu vas ramasser ma main dans la gueule et tu verras qui voudra un biscuit ! » Oui, me traiter de chien n’était pas forcément une bonne idée à l’heure actuelle, elle devrait peut-être réfléchir avant d’ouvrir sa grande gueule. Je plonge mon regard dans le sien, ne souriant pas, un regard mort, morne, neutre voir en colère. Lorsqu’elle s’éloigner, je bouge légèrement pour détendre mes muscles, l’observant jeter mes anciens pansements. Lui dire merci ? Jamais. Je ne lui avais rien demandé au final, puis, elle ne méritait pas de remerciements et j’étais encore moins homme à en faire… '' Bon aller... on va évité le sujet toute la soirée comme deux nanas ou tu vas me faire la gueule pour le reste de notre existence?'' Je lèves les yeux très doucement vers elle, posant sur elle un regard assassin. Pour elle c’était un jeu ? Elle ne semblait absolument pas affectée par la situation. ] « Il n’y a absolument rien à dire. Tu as fait ton choix, brisant notre promesse. Tu m’as trahi pour devenir un vampire, point. T’es qu’une conne hypocrite, une menteuse et je peux plus voir ta gueule en peinture. Ça te va comme explication ? Puis, même si ça ne te convient pas c’est la vérité ! Et ne me lâche pas d’excuses à deux balles, tu avais fait une promesse et tu as été incapables de la tenir. Point. Je peux te pardonner beaucoup de choses, mais ça, non. Puis, t’as l’air de prendre ça à la légère, comme si c’était normal… » Ma voie avait augmenté d’un cran alors que je sentais la rage m’envahir. Sans peur, je me lève et j’approche d’elle, me plantant devant elle, plongeant mon regard dans le siens. Elle voulait que je lui prête de l’attention ? Que je lui dise ce que j’avais sur le cœur ? Et bien allons-y, j’allais me lâcher, mais qu’elle ne vienne pas pleurer après. « Tu m’as abandonné Léa et pourquoi ? Une immortalité qu’on était censé partager… T’as pas pu attendre quelques années de plus hein. Mais tu sais quoi, au final Léa, tu as gagné une vie de vampire, mais t’as perdu ton frère. Dis-moi, y gagnes-tu au change ? » 1621 mots - post 5 - 24h © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mar 6 Sep - 12:04 |
| Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Gabriel Osborn En ce moment je ressentais limite la destruction de mon âme, même si en réalité je n’en avais plus j’avais réussi à me contenir jusqu’ici, à paraître aussi normal que possible. J’ai toujours eu ce don de caché tout ce que je ressentais et malgré qu’en réalité, ces paroles dépassant sa pensé me touchait si douloureusement que j’avais l’impression de me fermer d’avantage. Je glissais mes bras croisés sur ma poitrine alors que je me sentais littéralement incomprise pour la première fois par mon jumeau, mais aussi me sentent attaquer de toute part. S’il avait été autre que Gabriel, il sera certainement mort sur le champ à la première phrase non dite, mais la différence du moment aurait été qu’il m’aurait irrité et non blessé. Alors qu’il se levait s’approchant de moi, je vis la scène au coin des yeux et je me tournais vers lui alors qu’il revenait à la charge... Non... Pourquoi tu me fais ça Gab?! Il me prenait de face alors que je sentais cette tristesse agonisante et ce mélange de feu de colère. Je posais à mon tour un regard des plus assassins, me demandant si je devais parler ou le laissé se vider de tout ce qu’il ressentait... Cette deuxième partie de rentra dedans et ces mots me semblaient comme un boomerang grandeur nature qui attaqua l’intérieur de moi-même traversant sans peine cette carapace que je m’étais forgée toutes ces années. J’eux les larmes aux yeux, mais étrangement, ceux-ci me piquaient beaucoup plus qu’autre fois. Je devais les retenir, car je savais que ce détail détruirait le peu d’images humaines que je pouvais essayer de laisser paraître. J’éclatais à la fin de ces mots '' C’est une blague là?! Tu crois vraiment que j’ai décidé ça sur un coup de tête sans raison valable?! Tu seras que j’y es réfléchi à deux fois, me demandant réellement si je devais ou non faire le pas. Tu seras Gabriel que j’ai dû me déchirer en deux pour pouvoir passer le cap et tu sais quand j’ai décidé de le faire?? Quand j’ai passé à deux doigts de mourir! '' Je ressentis la pire de tous les frémissements à cet instant. Joshua avait été le seul à m’avoir retrouvé par l’odeur abondant de sang. Sans m’en rendre compte, je le poussais pour qu’il me laisse de l’air. Je ne donnai pas toute ma force, mais assez pour le faire dégager alors que la douleur faisait éruption. Je lui en voulais de m’avoir laissé seul cette soirée-là, je sentais la douleur vive revenir à la charge. '' Tu m’as laissée toute seule alors que j’avais besoin de toi! Je me suis surpris à presque me noyer dans mon sang, sentant le froid me prendre de toute part et sincèrement j’ai cru en mourir seule sans toi et pourquoi?! Pour ton foutu compagnon de combat! '' J’ai toujours eu une certaine rancoeur envers ce mec qui prenait trop de place dans la vie de Gabriel à ma place. Je le sentais à chaque fois me glisser entre les doigts et je refusais de sentir une telle chose. Je respirais rapidement afin de m’aider à ne pas éclater en sanglots, afin de ne pas le frapper de rage. Je respirais bruyamment et je sentais mon regard le fusiller, l’électrocuté. '' Je me convainquais intérieurement que c’était sûrement la meilleure chose, de mourir là sans personne, sans toi et je me réconfortais qu'au moins Flo était là pour me remplacer... Mais tu sais quoi?! En réalité, c’était la pire de toutes les souffrances. Je me suis dit que s’y je m’en sortais vivante, alors que mes derniers souffles étaient comptés, je ne voudrais plus jamais ressentir cette douleur ouverte. Le fait de penser être séparé de toi, être séparé de la personne que j’aime le plus au monde était sans doute pire que la mort elle-même! '' Je serrais la mâchoire et le pointa, car en réalité je ne pouvais levé la main sur lui et lui dite d’un sourire presque douloureux. '' J ’ai fait ça pour toi! Pour ne plus jamais te quitter, pour ne plus jamais quitter cette terre sans toi, pour ne plus jamais être séparé définitivement de la moitié de mon âme! '' Ce fut d’un mélange de rage et de douleur que je me décrochai de son regard. Je lui dis tout ce que j’avais sur le coeur, lui en voulant encore de m’avoir abandonné à mon triste sort. Me retournant, je poussais un de ces meubles, car ce dernier était sûrement trop proche de moi. La surprise m’avait poussé à me défouler, le faisant valser au mur latéral dévoilant d’une certaine façon ma force qui en était que décuplé et me défoulant. Je serrai les poings, surprise par moi-même et je me mis légèrement à tremblé. Je levais mes mains ouvrant ceux-ci à ma bouche pour retenir un cri que j’avais envie de faire entendre. Je refermais les yeux et me mit a tremblé alors que j’essayais comme je le pouvais de me retenir de faire du mal à qui que ce soit. Je n’étais pas encore habitué à toute cette force que j’avais et je devais faire attention pour ne pas mettre la vie en danger de celui que j’aimais. Je ne savais pas si je devais partir pour éviter tous gestes incontrôlés de ma part. Étant humaine j’avais déjà de la difficulté à me contrôler alors je ne vous parle pas en tant que vampire. J’étais une bombe sur pied et quand j’explosais, je faisais beaucoup plus de dégât que je le voudrais et c’est à ce moment que je me surpris à pensé à toutes les fois ou j’étais sur le bord de pété un câble que Gabriel venait à la charge pour me retenir de tous gestes que je pourrais regretté par la suite. Malgré que l’oxygène ne faisait rien à mon corps, je me surpris à respirer si rapidement qu’on aurait dit une crise de panique. Ma respiration bloquer entre mes mains, j’essayais de retenir mes tremblements et mes larmes qui ne souhaitait que surgir. Mais malgré les signes; je continuais, car j’étais bloqué sur cette tristesse qui me consumait depuis plus de quinze jours. '' J’ai détruit se serment que pour toi, j’ai fait ça dans l’unique but de m’assurer de resté sur cette terre, te protégeant de tout danger éventuel, pour protéger tes fesses, ta vie, cette partie de moi qui est encore humaines... '' dis-je alors que je glisse mes mains de ma bouche et me tourne de nouveau vers lui. Je lui faisais de nouveau face, mais je tenais à peine sur un fil... Un doigt a pleuré, à renvoyer tout autour de moi, à détruire, exprimer toute colère et tristesse. Moi qui aurais cru qu’en vampire, les émotions seraient estompées, mais non... Ils étaient encore plus intense qu’autre fois, encore moins facile à contrôler, car quand on ressent quelque chose, c’est mille fois plus fort! Mon regard le quittait alors que je me tournais douloureusement vers la porte me demandant si c’était nettement mieux de disparaître aussitôt... Était-ce pour son bien ou alors le mieux?... Difficile à répondre, mais je savais qu’il avait besoin de moi. Sauf, est-ce que j’étais assez forte? Ça faisait quand même à peine quinze jours que j’étais vampire et tout autant incontrôlable. 1226 mots - post 6 -24h © MADE BY SEAWOLF. |
| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mar 6 Sep - 13:37 |
| Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Léa Osborn Je lui explose ma rage en pleine gueule, comme un ouragan qui ne demande qu’à imploser, tout arracher sur son passage. J’ai besoin de me défouler, de lui en foutre plein les yeux. Oui, j’ai besoin qu’elle comprenne, qu’elle ressente cette détresse qui m’envahissait depuis son départ. Elle ne pouvait pas savoir à quel point sa transformation m’avait marqué, comme une blessure qui ne cessera jamais de saigner. C’était trop à supporter, surtout en l’observant ainsi pâle, sans cœur, son âme ayant quitté ce corps que j’avais tant de fois parcouru de mes lèvres. J’ai besoin qu’elle paye cette trahison, qu’elle en crève, qu’elle en souffre tout autant que moi. Oui, je n’ai pas à être le seul à en souffrir, après tout, elle n’avait qu’à en payer les conséquences. Ce n’était pas moi qui étais parti, ce n’était pas moi qui avait tout foutu en l’air. Je pensais qu’elle m’aimait autant que je pouvais l’aimer, là, de suite, je n’en étais plus véritablement certain. Quand on aime quelqu’un on ne l’abandonne pas, on ne le trahi pas, surtout pas quand il s’agit de son frère, pire, de son jumeau. J’ai envie de lui en coller une, quitte à ce qu’elle me saute dessus pour me vider de mon sang. Qu’importe, la peur n’avait jamais fait partie de mon vocabulaire, j’étais inconscient, imprévisible Florian me le disait souvent. Il n’était pas là pour me contenir, il n’était pas là pour me calmer. J’étais capable du pire sans son emprise sur moi, emprise qui empirait de jour en jour, un peu plus à chaque fois que nos corps se connectaient intimement. Je me rapproche d’elle, en oubliant mes blessures, mes maux physiques. Seul la douleur mentale prend le dessus, déclenchant toute ma colère que je déverse sur elle sans grande précaution. Je ne prends pas de gants, elle ne le mérite pas, elle n’en est plus digne. '' C’est une blague là?! Tu crois vraiment que j’ai décidé ça sur un coup de tête sans raison valable?! Tu seras que j’y es réfléchi à deux fois, me demandant réellement si je devais ou non faire le pas. Tu seras Gabriel que j’ai dû me déchirer en deux pour pouvoir passer le cap et tu sais quand j’ai décidé de le faire?? Quand j’ai passé à deux doigts de mourir! ça y est, nous y sommes, le moment des comptes a sonné. Nous voilà en pleine rancœur et ce, pour la première fois en vingt-six années de vie. Jamais nous nous étions disputés ainsi, c’était une grande première pour nous, ce qui faisait d’autant plus mal. Jamais je n’aurais imaginé en arrivé à ce point, pas avec Léa. Elle me pousse et sans pouvoir me retenir, je fais trois pas en arrière. Non mais elle se fou de ma gueule, elle use vraiment de sa force sur moi ! Je la regarde avec un air sombre et assassin, la colère envahissant mon être davantage encore. Si elle vient à vouloir ma mort, elle pourrait sans nuls doutes me tuer, non sans que je ne lui inflige de nombreux dégâts, cela va s’en dire. J’ai vécu avec des vampires toute ma foutue existence, puis, pas sûr que mes parents ou encore mon frère la laisse faire, ils interviendraient rapidement. Je suis sûr qu’ils sont aux aguets de la moindre odeur de sang nouveau. Ils ne sont pas stupides, ils savent que Léa est un jeune vampire et que, malgré notre jumellité, elle ne pourra pas forcément se retenir de me croquer. Tu m’as laissée toute seule alors que j’avais besoin de toi! Je me suis surpris à presque me noyer dans mon sang, sentant le froid me prendre de toute part et sincèrement j’ai cru en mourir seule sans toi et pourquoi?! Pour ton foutu compagnon de combat! Je baisse légèrement les yeux l’espace d’une seconde face à ses paroles. Oui, ce jour-là je n’étais pas là, bien trop occupé à coucher avec Florian pour m’occuper de ma jumelle…J’avais reçu un message de la part de mon frère, message que j’avais lu après avoir fait son affaire à mon parabatai. Je m’en voulais clairement de ne pas avoir été là pour la protéger, en-même temps, je ne pouvais pas toujours être à son cul. Léa n’était pas ma prabatai, du coup, quand je partais en mission c’était la plupart du temps avec Florian et elle, ou Florian tout court. Je reporte mon attention en soupirant, serrant les dents comme jamais mais je ne peux m’empêcher de dire furieusement. « Ne mêles pas Florian à cette histoire, il n’a rien à voir là-dedans c’est clair ! Tu sais qu’il est tout aussi important que toi à sa façon Léa ! » Oui, je défends mon Parabatai envers et contre tout et je n’avais pas hésité une seule seconde à le faire et ce, même face à ma jumelle. Beaucoup avaient toujours crus que Léa et moi serions Parabatai, jusqu’au jour où j’avais croisé Florian et que je me tourne vers lui pour partager ce lien. Léa ne l’avait d’ailleurs pas bien pris à cette époque, mais j’avais réussis à la rassurer, lui expliquant que c’était mieux ainsi. Bref, j’avais trouvé des excuses pour que la pilule passe mieux. . '' Je me convainquais intérieurement que c’était sûrement la meilleure chose, de mourir là sans personne, sans toi et je me réconfortais qu'au moins Flo était là pour me remplacer... Mais tu sais quoi?! En réalité, c’était la pire de toutes les souffrances. Je me suis dit que s’y je m’en sortais vivante, alors que mes derniers souffles étaient comptés, je ne voudrais plus jamais ressentir cette douleur ouverte. Le fait de penser être séparé de toi, être séparé de la personne que j’aime le plus au monde était sans doute pire que la mort elle-même! '' Je la défie des yeux, ne craignant pas ses tremblements, ni même sa rage. Qu’elle déballe ce qu’elle avait sur le cœur, je n’en avais rien à foutre, elle n’avait pas d’excuses valables à mes yeux. Bien sûr, comme c’est facile de dire que c’est pour moi qu’elle l’a fait, puis, c’est quoi cette manie de foutre Florian dans la conversation. Bon, j’ai toujours su qu’elle jalousait la relation que j’avais avec mon frère d’arme, mais je ne pensais pas que ça allait aussi loin. Après tout, je couchais avec elle, ce n’était pas comme si je la laissais de côté ! Putain les femmes sont franchement chiantes quand elles s’y mettent. '' J’ai fait ça pour toi! Pour ne plus jamais te quitter, pour ne plus jamais quitter cette terre sans toi, pour ne plus jamais être séparé définitivement de la moitié de mon âme! '' Je me pince l’arête du nez alors qu’elle balance un de mes meubles contre le mur. Non mais c’est bon là, ses crises de nouveau vampire elle va se les mettre au cul hein, c’est mon mobilier qu’elle bousille la meuf ! Je tente de me calmer pour mieux calmer Léa par la suite, parce que oui, des deux il fallait bien qu’il y en aille un qui reprenne ses esprits non ? Sauf que ben oui, je n’avais pas l’habitude d’être cette personne. '' J’ai détruit se serment que pour toi, j’ai fait ça dans l’unique but de m’assurer de resté sur cette terre, te protégeant de tout danger éventuel, pour protéger tes fesses, ta vie, cette partie de moi qui est encore humaines... '' Attend là…me protéger ? Non mais mort-de-rire quoi ! Cette fois-ci j’explose et ma voix également, alors que je me mets à hurler dans ma chambre, annulant la distance qui nous sépares en quelques enjambées. « Je n’ai pas besoin de toi pour protéger mon cul ! Ce n’est pas ton rôle Léa ! Le tiens était de rester Obscur et surtout de ne pas me trahir, me protéger c’est le rôle de Florian et tu le sais ! Que ça te plaise ou non, c’est ainsi ! » D’accord, ce n’était peut-être pas les bonnes paroles à adopter pour calmer les choses, je m’en rendis compte un peu trop tard. Ma respiration était tout aussi rapide que la sienne, mon regard aussi ténébreux que le sien. Nous étions tous les deux en colère et, franchement, la diplomatie ça n’a jamais été notre fort… Je détourne les yeux pour respirer un bout coup. J’allais finir par empirer les choses. Faire passer Florian en premier plan n’était pas une bonne chose, pas dans les circonstances actuelles. Je finis par poser mes mains de part et d’autre de son visage pâle, l’empêchant de me dégager s’il lui en prenait l’envie. « Tu sais que tu as toujours eu un rôle important dans ma vie, je te l’ai à maintes reprises prouvés. Mais ça n’excuse pas ton choix…je n’étais pas là, d’accord, mais je ne peux pas toujours être avec toi Léa, ce n’est pas nouveau. J’ai un boulot, des missions à effectuer. Alors, ne me tiens pas responsables de tes choix, ce choix, tu l’as fait seule ! »Oui, elle avait décidé seule de se transformer en vampire, elle ne m’a pas donné l’occasion de m’exprimer à ce sujet. Je la relâche en reculant de deux pas en secouant la tête. Je t’aime Léa, mais regardes-toi, tu n’as plus rien de cette femme que j’aimais. Rien que ton physique à changer, je ne suis même pas sûr de pouvoir retrouver le gout de ta peau comme autrefois, la douceur de celle-ci ou encore ton odeur. Tu as tout gâché… et pour ton information, autant que tu le saches, j’étais là à te renaissance alors ne me dis pas que je t’ai abandonné. Des deux, c’est toi ! »1615 mots - post 7 - 24h © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mar 6 Sep - 14:56 |
| Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Gabriel Osborn Mon corps lui criait de toute part que j’étais à deux doigts de lui fracassé le crane et utilisé ma force contre lui et malgré tout ce que je pouvais essayer de faire contre cette envie, je ne savais jamais à quel moment ça arriverait. Il s’approcha de moi d’un pas si intense que j’eus l’instinct de me reculer. Je me retrouvais piégé entre le mur et lui, mais il est suicidaire ma parole?! Me sentir bloqué de cette façon me donna envie de le repousser pour le protégé, mais je ne fis que déposer mes doigts au mur pour m’éviter de lui faire le quelconque mal. J’étais devenue dangereuse pour lui, j’étais devenue ce que j’avais redouté... « Je n’ai pas besoin de toi pour protéger mon cul ! Ce n’est pas ton rôle Léa ! Le tien était de rester Obscur et surtout de ne pas me trahir, me protéger c’est le rôle de Florian et tu le sais ! Que ça te plaise ou non, c’est ainsi ! » La douleur surgit de nouveau. Je sentais ces mots me piquer telle une explosion d’aiguille qui fit remonter mes larmes à mes yeux. Disons qu’en plus, le son de sa voix n’aidait en rien à la situation. J’avais envie de partie, fuir pour la première fois une situation, mais je ne pouvais pas. Je restais immobilisé là sur place, battant des cils pour réaliser ce qu’il venait de me dire. Il était sérieux?! Ramener ce connard dans cette situation? Je retins mes larmes et malgré la voix de ma tête qui me criait de me la fermer je lui hurlai de rage à mon tour '' Je suis ta jumelle bâtard! À la base c’est moi qui surveille ton cul! Il n’a rien a voir avec notre famille, mais moi si! Tu n’avais pas d’affaire à me remplacer pour lui! J’aurais clairement pu être ta parabatail et rien de tout ça ne sera pas arrivé! C’est moi qui devrais te protéger comme tu devais le faire pour moi! '' Je serai de nouveau les poings enfonçant littéralement mes ongles dans mes paumes pour évité de faire quoi que se soit que je regretterais le reste de ma vie. Déjà que cette situation n’était pas évidente. C’était la toute première fois qu’on s’engueulait et qu’on avait des différents, mais le problème est qu’on ait pareille, du coup je ne vous raconte pas les dégâts que ça cause. Colère et douleur semblaient être égales et je croyais que ces sentiments allaient me tuer subitement! Mais ou est la crise de coeur bordel?! À c’est vrai... je suis déjà morte bordel! Je ne pus retenir mes larmes qui se mirent à couleur sur mes joues. Une teinte de rouge glissa le long de mon visage et je réfugiais mes mains autant pour me cacher de ce changement, mais pour mieux me réfugier. Je devais m’exprimé, mais d’une autre façon que la violence. Entre nous deux, malgré nos ressemblances flagrantes, j’étais malgré tous des plus sensibles quand ça le concernait. Je me mis légèrement à gémir de douleur qui désignait les deux sens. J’aurais voulu hurler dans un oreiller comme quand j’étais gamine et que nos parents me mettaient en rogne, mais j’étais prise. Dans ce nuage sombre, je sentis une douceur glissée à mon visage. Cette chaleur qui se dégageait de lui et auquel je connaissais presque par coeur, vint prendre mon visage afin que mes mains puissent quitté celui-ci. J’avais retiré les larmes de sang avec mes paumes, mais le picotement resta malgré tout à mes yeux. Je le laissais faire, car d’une façon sa peau contre la mienne me faisait un bien fou, mais me réconfortait d’une façon incomprennable et c’est en ouvrant mes yeux que je déposais mes iris bleus azure dans les siennes. Ma respiration se fit entendre sifflante, mais il laissait croire à un calme léger qui vint abaisser ma colère. « Tu sais que tu as toujours eu un rôle important dans ma vie, je te l’ai à maintes reprises prouvé. Mais ça n’excuse pas ton choix…je n’étais pas là, d’accord, mais je ne peux pas toujours être avec toi Léa, ce n’est pas nouveau. J’ai un boulot, des missions à effectuer. Alors, ne me tiens pas responsable de tes choix, ce choix, tu l’as fait seul !Je baissais légèrement les yeux quittant son regard, la connexion qu’il semblait essayer de garder. Non, mais il bouché ou quoi?! Je lui explique le pourquoi et il ne comprend pas! Les mecs et leur manque de compréhension je vous jure! Pourquoi je n’ai pas eu une satanée jumelle, ça aurait été clairement plus facile!... OK non là je me laisse emporté, mais bordel il me fait chier pareille! Je laisse passé un soupir, car oui j’ai décidé... Mais d’une certaine façon, malgré mon envie de ne plus jamais frôler la mort, Joshua n’a pas été des plus raisonnable. Il ne pas laisser un moment pour réfléchir d’avantage et semblait presque heureux que je lui demande une telle chose alors qu’il connaissait pertinemment ma promesse envers Gabriel. '' Tu sais que... Quand tu es venu et m’as fait une scène... j’ai presque rebroussé chemin... Mais c'était devenue impossible.'' Mais Joshua a poursuivi... Ça, c’est la chose que je ne dis pas, car je sais que d’une façon il sera légèrement fâché contre ce dernier. Oui c’était mon choix, mais déjà que tout avait commencé, je ne pouvais pas annulé le tout. Quand on prend ce chemin, le retour est impossible. Puis il me quittait et je sentais que je réclamais de nouveaux sons touchés, cette chaleur que j’avais autrefois moi aussi. « Je t’aime Léa, mais regarde-toi, tu n’as plus rien de cette femme que j’aimais. Rien que ton physique a changé, je ne suis même pas sûr de pouvoir retrouver le goût de ta peau comme autrefois, la douceur de celle-ci ou encore ton odeur. Tu as tout gâché… et pour ton information, autant que tu le saches, j’étais là à te renaissance alors ne me dis pas que je t’ai abandonné. Des deux, c’est toi ! » Ce fut les mots qui m’affectaient le plus. Après m’avoir donné ce calme et cette certaine ouverture, voilà qu’il m’attaquait de nouveau... Je le regardais et je sentis les larmes montées, mais cette fois je n’en fis rien pour les retiendras. La vue de mon oeil droit se brouilla et je laissais échappée une larme qui glissa doucement le long de ma joue pour venir se réfugier à ma mâchoire. Gabriel était le seul en qui j’ai donné un amour sincère et totalement incalculable. Je n’avais jamais été capable d’aimer quelqu’un d’autre, car d’une certaine façon on vivait quelque chose de puissant. En étant pareille un de l’autre c’était comme si je m’aimais moi-même. Pour certain, cela peu paraître étrange, mais sans l’autre nous sommes incomplet... Sauf qu’il croit pertinemment que je suis éteinte, mais je ne lâcherais pas prise. C’est en fixant plus bas que je lui dis doucement '' Tu agis comme si j’étais partie, mais je suis toujours la même... J’ai les mêmes manies, la même façon de penser, la même douceur, mais ma peau est simplement plus froide et je suis plus forte pour une fois. La seule chose qui a changé est que je suis moins faible, moins propice à la mort... Je ressens toujours la même chose vis-à-vis toi et que je sois vampire ou non ça ne changera pas. '' Je pinçais les lèvres et pensait à ce qui m’avait fait changé d’idée... Je laissais couler cette fois une larme sur ma joue gauche et je remontais mon visage vers lui. D’un ton sérieux, d’un regard séparé entre tristesse et fermeture, je lui demandais soudainement '' Et si... Joshua ne m’aurait pas retrouvé ou serai arrivé que deux minutes plus tard... Comment tu aurais réagi en apprenant l’éteinte de ta soeur, de ton double alors que tu étais, je ne sais où? Comment aurais-tu réagi en apprenant que ta soeur est morte, noyé dans son propre sang sans que tu puisses faire quoi que ce soit? Car tu sais pertinemment que si, les battements de mon coeur auraient arrêté... Il n’aurait eu aucun moyen de rebrousser chemin. '' Je laissais entendre dix secondes de silence qui laissa mes mots en suspens et je remontais le visage et lui dit '' Peut importe ce que tu crois... Si j’ai réussi à rester aussi longtemps, c’est par ce que je m’accrochais à toi sans que tu ne le saches Gabriel. Donc tu diras ce que tu voudras, tu penseras comme tu le veux, mais je suis toujours la même, j’ai simplement fait en sorte de ne plus jamais ressentir cette peur de quitter cette terre. '' 1468 mots - post 8 -24h © MADE BY SEAWOLF. |
| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mar 6 Sep - 15:59 |
| Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Léa Osborn On se déchaîne, c’est une certitude. Toute cette rancœur, cette amertume nous explosait en pleine gueule, c’était prévisible dans un sens. Et moi, moi je jouais clairement avec le feu, gueulant sur ma jumelle, nouveau vampire qui se contrôlait à peine. Mon cœur tambourinait dans ma poitrine, manquant d’exploser et de me lâcher à tout instant. Je suis sûr que si elle se concentrait assez, elle pourrait sans nuls doute entendre celui-ci battre dans ma cage thoracique. Il ne bat pas de joie, non, il est animé par cette animosité, cette furieuse envie de la faire souffrir comme moi j’ai pu souffrir en la voyant s’en aller. Immortalité à la clef, elle m’avait abandonné pour un statut autre que le miens. Peut-on seulement me blâmer de lui en vouloir ? De la tenir responsable de ce qu’elle éveille en moi ? D’être la seule à l’heure actuelle à me faire sombrer dans une sombre douleur. Deux personnes étaient capables de me toucher à ce point, de me faire mal au point d’en perdre mon souffle. Elle le savait, elle en avait toujours été consciente. Pourtant, ça ne l’avait pas empêché de me poignarder dans le dos, de se détourner de nos idéaux, de nos promesses. De ce fait, je ne mâchais pas mes mots, lui explosant en pleine face que je ne l’avais pas choisie pour être ma parabatai, que c’était Florian qui l’était et qui à jamais le restera. Qu’au final, je ne lui appartiendrais jamais complètement, que pour toujours et à jamais, elle allait devoir me partager et ce d’une façon ou d’une autre. Elle n’avait pas le choix. Tentait-elle se venger ? ça m’avait traversé l’esprit l’espace d’un instant. Peut-être voulait-elle me faire payer un acte qui dure depuis dix ans, ayant pour conséquence de la relayer par moment au second rang. Si c’était le cas, elle avait trouvé une façon bien cruelle de me le faire payer. '' Je suis ta jumelle bâtard! À la base c’est moi qui surveille ton cul! Il n’a rien a voir avec notre famille, mais moi si! Tu n’avais pas d’affaire à me remplacer pour lui! J’aurais clairement pu être ta parabatail et rien de tout ça ne sera pas arrivé! C’est moi qui devrais te protéger comme tu devais le faire pour moi! '' Bâtard ? Non mais, elle s’entend là ? Nous sommes fait dans le même moule putain ! « Non mais tu t’entends parler ! Espèce de conne égoïste. Arrête avec cette histoire de Parabtai, ça t’obsède bordel ! » J’avais gueulé aussi fort qu’elle, d’une voix beaucoup plus rogue et agressive, imposant une domination que j’avais toujours exercé auprès des miens, surtout quand je perdais pieds. Pourtant, plus nous nous énervions, plus les choses allaient finir mal. Je me voyais mal me battre avec Léa. Non pas parce que j’avais peur d’elle, oh non, mais simplement parce que je ne me le pardonnerais jamais. Si à cause de moi elle venait à être blessée, je ne pourrais plus jamais me regarder en face. C’est pour ça que j’essaye de reprendre mon sang froid, tentant de calmer les battements de mon cœur, essayant de canaliser ma respiration. Chose que j’ai du mal à faire, mais bon, j’avais au moins le mérite de le faire. Elle finit par craquer alors que des larmes de sang s’écoulent de ses yeux, marquant davantage cette différence entre nous. Comment voulait-elle que je me calme si elle m’exposait sa condition de vampire ainsi. Certes, pleurer ne se contrôle pas, mais quand même, inutile de dire que ça ne me faisait absolument pas plaisir. Puis, savoir ma sœur en train de pleurer n’était absolument pas une chose agréable. '' Tu sais que... Quand tu es venu et m’as fait une scène... j’ai presque rebroussé chemin... Mais c'était devenue impossible.'' Je soupire, passant une main dans mes cheveux pour reculer et ne plus la toucher. Je ne veux rien savoir de plus, je n’en ai que faire de ses paroles, de ses excuses. Pourtant, la tension de mon corps avait diminué. Je n’avais plus envie de gueuler, à vrai dire, j’étais épuisé et lassé de crier. [color=#009999'' Tu agis comme si j’étais partie, mais je suis toujours la même... J’ai les mêmes manies, la même façon de penser, la même douceur, mais ma peau est simplement plus froide et je suis plus forte pour une fois. La seule chose qui a changé est que je suis moins faible, moins propice à la mort... Je ressens toujours la même chose vis-à-vis toi et que je sois vampire ou non ça ne changera pas. '' [/color] Je secoue négativement la tête. Elle a beau dire ses paroles, je sais qu’elle ment, elle ne peut pas ne pas avoir changé. « Tu te mens à toi-même Léa, tu n’es plus la même. La preuve en est, regardes-toi dans un miroir, regarde ce qui coule à travers tes larmes. Je n’ai aucune preuve de ce que tu m’avances. Non, tu n’es plus celle que tu étais… Dans un sens, Léa, tu es partie, tu es morte. C’est comme ça, tu ne pourras plus jamais rien y changer. » Je hausse doucement les épaules, ne la quittant pas des yeux alors qu’elle, elle regardait par instant le sol, revenant parfois vers mon visage. Que voulait-elle que je fasse ? Que je pardonne…non. Que je lui dise que rien avait changé ? Qu’elle était toujours la même ? Non. Ça serait mentir, j’aurais pu mentir, certes, mais je n’en avais pas envie. '' Et si... Joshua ne m’aurait pas retrouvé ou serai arrivé que deux minutes plus tard... Comment tu aurais réagi en apprenant l’éteinte de ta soeur, de ton double alors que tu étais, je ne sais où? Comment aurais-tu réagi en apprenant que ta soeur est morte, noyé dans son propre sang sans que tu puisses faire quoi que ce soit? Car tu sais pertinemment que si, les battements de mon coeur auraient arrêté... Il n’aurait eu aucun moyen de rebrousser chemin. Peut importe ce que tu crois... Si j’ai réussi à rester aussi longtemps, c’est par ce que je m’accrochais à toi sans que tu ne le saches Gabriel. Donc tu diras ce que tu voudras, tu penseras comme tu le veux, mais je suis toujours la même, j’ai simplement fait en sorte de ne plus jamais ressentir cette peur de quitter cette terre. '' Non mais s’entendait-elle seulement parler…Je fronce les sourcils en l’observant, comme choqué par ses mots. Doucement, j’approche d’elle, posant une main sur sa joue tracée de rouge. « Si tu aurais dû mourir ce jour-là, Léa, je serais simplement venu te retrouver. Ni plus, ni moins. » Ma main glisse dans ses cheveux et je soupire, j’hésite, je ne sais pas trop à vrai dire quoi faire… C’est comme marché en terre inconnue, comme perdre ses repères et avoir peur de les retrouver. Pourtant, doucement, je baisse le visage pour être à sa hauteur, soulevant le sien d’une pression de la main sur sa joue. Mes lèvres se posent sur les siennes avec un naturel déboussolant, ma main de libre vient se mettre au creux de ses reins, l’incitant à se coller à moi. Bon, si jamais elle me mords je suis dans la merde. 1207 mots - post 9 - 24h © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mar 6 Sep - 19:58 |
| Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Gabriel Osborn Je n’ai jamais accepté la place que Florian à prit auprès de Gabriel, mais la cause j’en sais foutrement rien. Intérieurement je souhaite être la seule digne de son attention et malgré le fait que je sais qu’il n’a que mon jumeau et non un mari ou je ne sais quoi... Ma jalousie se fait ressentir sans que je puisse seulement la retenir. Elle vient aussitôt qu’on parle de quelqu’un qui s’approche de trop près de mon double qu’il soit homme ou femme et ça la toujours été ainsi. On parle de moi en ce moment, mais je sais clairement que si la simple impression d’un homme autour de moi autre que lui ou la famille, il était le premier à me piquer une crise de jalousie et il le chassait, voir même le tuerait pour simplement avoir posé les yeux sur moi. Nous sommes des sosies, donc ce que je suis est le miroir de ce qu’il ait. Alors me dire que je fais une foutue scène et que je fais mon égoïste est justifié. Sauf que comme d’habitude, moi je ne dois rien dire, ne pas mentionner mes moindres pensées et faire tout ce que monsieur me dit! Ba non, ça ne marche pas comme ça et malheureusement il ne peut avoir domination sur moi pour cette partie. Déjà qu’à la base, Gabriel est mon jumeau et non celui de Florian, ça aurait dû être moi et personne d’autre en tant que parabatail. Peu importe, ce qu’il me dira changera mon point là-dessus! Nous sommes déjà liés par le sang et le même code génétique alors pourquoi ne pas déjà amplifier notre lien déjà foutrement unique. '' Ouin... Encore une fois c’est juste moi! '' Dis-je de façon presque ironique vis-à-vis la situation. À la base s’y serai coéquipier de bataille, nous aurions été ensemble et cette histoire n’existerait pas, mais les choix de certain donne en sorte que d’autre en fond seul comme il avait fait sous cette décision importante. Bref... Je devrais me faire à l’idée, cette décision remonte déjà à 10 ans et peut importe ce que je ne dirais rien n’y changera... Je devrais donc me faire à l’idée qu’il est là... « Tu te mens à toi-même Léa, tu n’es plus la même. La preuve en est, regarde-toi dans un miroir, regarde ce qui coule à travers tes larmes. Je n’ai aucune preuve de ce que tu m’avances. Non, tu n’es plus celle que tu étais… Dans un sens, Léa, tu es partie, tu es morte. C’est comme ça, tu ne pourras plus jamais rien y changer. » Me mentir? Je ne pouvais pas être plus franche que le fait d’être une fille et ça, même lui peut témoigner de cette foutue preuve. J’avais envie de me remettre en colère, je pouvais sentir cette rage revenir jusqu’à mes joues et s’installer dans ceux-ci. Est-ce que ça valait réellement la peine de se reprendre la tête pour une telle chose? Je lui lançais un regard incompris, soupirant comme si j’en avais marre, à bout de me mettre en colère contre mon propre frère '' Non, mais tu es têtu! Si je ne serai plus la même, je ne serai pas venue ici, je t’aurais déjà mordu et vidé de ton sang avant même avoir fini de t’aidé à te soigné! Je t’aurais laissé ici à brouiller du noir encore et encore tout en profitant de mon éternité, mais je n’ai pas fait une telle chose. Je suis venue ici malgré tous les dangers, malgré que Joshua ma dit pertinemment que c’était la pire de toutes les idées et tu sais quoi... Je suis venue non pour faire sonner ta dernière heure, mais pour te voir, savoir comment tu allais, arranger tout ça parce que ça fait des jours que je me morfonds, que ton absence est pesante... Ce n’est pas parce que je suis vampire aujourd’hui que je suis différente, certaine chose le son, mais pas moi. Je suis toujours Léana Osborn. '' Au changement de nos parents, ceux-ci n’avaient vraisemblablement pas changé. Ils étaient toujours les mêmes, mais n’avait qu’accentué leur destinée qui est la même pour Gabriel depuis sa naissance tout comme la mienne. Je lui faisais un portrait de la situation et lui demanda que si elle en était différente, comment aurait-il réagit. Je lui demandai qu’elle ait été sa réaction et peut-être lui faire prendre conscience qu’en réalité il fallait profité du moment que j’étais encore sur cette terre. Ces sens doutent pour le faire réagir, pour voir si réellement j’avais déserté son cœur comme mon âme à quitté cette terre. Je voulais savoir si j’avais toujours ma place auprès de lui, savoir si malgré mon changement, il m’aimerait malgré ces mots jetés. Je ne mâchai pas mes mots moi non plus, il était des plus sincères et peut-être laissait-il place à la véritable scène qui aurait du se passé. Ces pas se dirigèrent vers moi alors que je supportais son regard choqué. Qu’allait-il faire? Je le connaissais si bien, mais je savais qu’il était aussi imprévisible que moi, je savais qu’il pouvait autant jouer avec mes sentiments comme j’avais accidentellement joué avec les siens. Nous étions d’une certaine façon la force l’un de l’autre, mais aussi le point faible et ce n’est certainement pas un secret. Sa main me parut comme un vent chaud qui caressa ma joue devenue froide, comme si mon âme me revenait depuis quinze jours sans elle. « Si tu avais dû mourir ce jour-là, Léa, je serais simplement venu te retrouver. Ni plus ni moins. » Je n’espérais pas moins, car j’y aurais certainement dit la même chose. C’est d’une bouffé d’air que je laissais retombées les dernières rancunes qui me contenait et me laissait prendre par une légère chaleur réconfortante. Je me laissais guidé par sa main levant mon menton vers lui pour le regarder et c’est dans une hésitation que je pinçais mes lèvres. Je me rapprochais, frôlant mon nez contre le sien comme j’en avais l’habitude, sans même le quitté du regard, puis après tant de manque de Gabriel, je ressentis ces lèvres contre les miennes. Sa douceur me revenait en mémoire et j’amenais ma main jusqu’à sa nuque l’obligeant à le garder contre moi. Alors que je ressentais son contact chaud contre ma peau, je me sentais de nouveau revivre, comme si je partageais sa même âme et c’est en amplifiant notre baiser que j’en laissais sentir une brise de fougue. C’est quinze jours sans c’être retrouvé m’apporta une sorte d’impatience, d’envie de plus, c’est un peu étrange voir même totalement inconcevable d’entre ça, mais ce n’était que la pure et unique vérité. Alors que j’interrompis l’échange entre nos lèvres, c’est en me retirant doucement que je laissais passer ma langue sur sa lèvre supérieure en taquinerie digne de moi-même. D’un regard intense, je laissais paraître un sourire et glissa jusqu’à son cou déposant mes lèvres charnues contre sa peau brûlante tout en la savourant sans pour autant le croquer. Je n’en serai jamais capable de toute façon, lui faire du mal serait égale à me le faire moi-même, puis je m’en voudrais à tout jamais sinon, mais disons que le suspense est quelque peu dangereux et excitant. J’aurais bien voulu lui dire un truc con, signe de notre humour plutôt légèrement noir, mais je ne voulais pas briser ce moment. Déjà que Gabriel avait déjà du mal avec mon nouveau moi, il ne faut pas trop poussé quand même! '' Vérifie si c'est toujours moi... '' Est-ce un défi ou un agacement? Ça restera à voir, mais disons que mon sourire souhaitait l’éveil de ce Gabriel que je connaissais si bien. Après avoir agi comme un couple, réglons-le tout de même non? Laissant glisser le bout de mes doigts le long de son épaule, je le laissais prendre le chemin jusqu’à son dos et griffa sans attendre sa peau simplement pour le titiller un peu. 1312 mots - post 10 -24h © MADE BY SEAWOLF. |
| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mar 6 Sep - 21:17 |
| - Inceste? Je connais pas ce mot moi...:
Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Léa Osborn '' Ouin... Encore une fois c’est juste moi! '' Je soupire devant cette réponse franchement puérile. Très mature Léa, bravo ! ça c’est de la putain de réplique quand même, digne de ma jumelle. Je lève donc les yeux au ciel, ne prenant pas la peine de répondre face à ça. Bon, en règle générale j’aurais répliqué une connerie, mais là, je n’en avais pas envie. Ça ne méritait même pas une phrase. '' Non, mais tu es têtu! Si je ne serai plus la même, je ne serai pas venue ici, je t’aurais déjà mordu et vidé de ton sang avant même avoir fini de t’aidé à te soigné! Je t’aurais laissé ici à brouiller du noir encore et encore tout en profitant de mon éternité, mais je n’ai pas fait une telle chose. Je suis venue ici malgré tous les dangers, malgré que Joshua ma dit pertinemment que c’était la pire de toutes les idées et tu sais quoi... Je suis venue non pour faire sonner ta dernière heure, mais pour te voir, savoir comment tu allais, arranger tout ça parce que ça fait des jours que je me morfonds, que ton absence est pesante... Ce n’est pas parce que je suis vampire aujourd’hui que je suis différente, certaine chose le son, mais pas moi. Je suis toujours Léana Osborn '' Moi têtu ? Mais elle c’est regardé dans une glace ces derniers temps ? Genre, avec sa peau pâle, ses yeux vitreux, ses larmes de sang. Elle trouve vraiment qu’elle ressemble à l’ancienne Léa ? Ben pas moi…Mais soit, je n’avais plus le courage de me battre avec elle, puis, sa dernière question me fit flancher comme un putain de débutant. Je baissais les armes, ne cherchant même plus à tenir tête à ma sœur. Comment pouvait-elle me poser une telle question ? Je l’observe avec un regard rempli d’incompréhension. Elle devait savoir que si elle était morte, réellement morte, je n’aurais pas pu continuer. Certes, Florian m’aurait sûrement empêché de me bousiller à cause de notre lien, puis parce qu’il tenait un minimum à moi, mais j’aurais sûrement trouvé un moyen de rejoindre ma jumelle après avoir fait un carnage dans Chicago. De ce fait, je m’avance vers elle pour lui dire la stricte vérité, cette vérité qui n’allait pas vraiment la surprendre. Si elle mourait, je la suivrais, point finale. Nous étions venus au monde ensemble, nous quitterons définitivement cette terre ensemble. La discussion est close. C’est alors que je tente de calmer le jeu, poussé par mes instincts, par cette envie de reprendre possession de ce qui est miens depuis plusieurs années maintenant. Mes lèvres glissent doucement sur les siennes, épousant celles-ci à la perfection alors qu’elle répondait sans hésitation. J’ai l’impression de retrouver ce dont j’avais été trop longtemps éloigné. Elle. Notre baiser se fit rapidement plus fougueux alors que sa main glissait dans ma nuque. Mon cœur s’accélère une fois de plus, mais cette fois-ci pas de colère, oh non. Mon corps se colla au sien, alors que ma langue retrouvait la sienne avec tendresse et avidité, la gardant près de moi autant qu’elle me gardait près d’elle. Signe d’une monstrueuse possessivité explicite venant de deux jumeaux. Inceste ? C’est quoi ce mot ? Connais pas… Elle finit par rompre le baiser, glissant ses lèvres dans mon cou. Par instinct j’ouvre les yeux, prêts à agir si je sens ses crocs se poser sur ma gorge. Oui, d’accord, je ne suis pas spécialement rassuré sur le coup. Il ne faut pas m’en vouloir, je tiens à ma jugulaire. '' Vérifie si c'est toujours moi... ''Un sourire amusé s’affiche sur mon visage alors qu’un grognement sourd résonne dans ma gorge quand elle me griffe le dos. D’accord, là elle me cherche misère. Bon, disons que je n’ai pas grand-chose sur moi, voir rien du tout, du coup c’était plus facile pour moi. « Avec plaisir. » J’avais murmuré ses paroles, mais sans tarder, je la soulève du sol venant récupérer ses lèvres avec les miennes. Rapidement, je me dirige vers mon lit pour l’y déposer dessus. Sans douceur, je lui arrache son haut. Oui, littéralement, rien à foutre, elle aura qu’à mettre un de mes hauts pour retourner au manoir. La peau de son ventre m’apparait ainsi que son soutien-gorge assez joli avouons-le. Je viens déposer mes lèvres sur son ventre, laissant ma langue tracer un sillage à son passage alors que je remontais doucement vers son visage pour venir mordre son cou avec avidité. Mon bassin se colle au sien, s’y frottant avec envie. Je pose mes lèvres sur les siennes, baiser fougueux, passionné, endiablé. Ma main gauche vient se nicher dans ses cheveux que je tire légèrement, un sourire sur les lèvres. Ce n’est pas comme si elle était douillette. Soulevant mon bassin, ne cessant pas de l’embrasser, ma main libre vient détacher son pantalon avec rapidité et agilité. Oui, j’ai de l’expérience, plus aucuns boutons ne me résistes ! Je finis par plonger mon regard dans le sien, détachant mes lèvres des siennes. Je voulais voir son regard, je voulais juste voir si ça lui faisait toujours autant d’effets quand je la touchais de la sorte. Ma main glisse sous son pantalon, alors que mes doigts se faufilaient sous son sous-vêtement, retrouvant la chaleur de cet endroit si souvent explorer. 885 mots - post 11 - 24h © MADE BY SEAWOLF.
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| | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mar 6 Sep - 23:37 |
| - Ce contenue est un danger pour les âmes sensibles! :
Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Gabriel Osborn Malgré autant de soirées surchargées par les émotions diverses; colère, rancœur, règlement de compte, tristesse et pour finir voilà que la situation se tourna d’un côté totalement inattendue... Enfin, en regard le début du moins! On aurait crus que tout allait finir par briser dans la maison, mais non, il n’y avait que ce pauvre bureau que j’avais accidentellement renversé dans ma rage, mais par chance moi et Gabriel gardions tous deux nos têtes. Tous n’auraient jamais cru que ça finirait par se retrouvé dans les bras l’un de l’autre, terminant par réglé nos comptes par une bonne et heureuse partie de baise torride. Ça promettait ça c’était sûr! Malgré mes vêtements, je pouvais déjà sentir que nos corps s’entrent lassait à la perfection comme autrefois. Rien n’avait l’air d’avoir changé et encore moins nos petits jeux de taquineries l’un envers l’autre. Je pouvais sentir que mes lèvres qui parcouraient son cou semblaient l’inquiéter plus qu’à l’habitude et je dois avouer que cette légère crainte venant de lui me fit un certain bien. Il savait que je pouvais être désormais plus dangereux qu’autre fois, mais rien n’arriva, pas une ne goûte de sang en coula. Mes paroles firent accompagner de ma bouche qui prit possession de son lobe d’oreille que j’embrassais tendrement. Son grognement résonna contre ma bouche et je la sentis trembler jusqu’à ma gorge. J’adorais quand il faisait ça! Ça le rendrait presque animal et comme je savais clairement qu’il ne pouvait résister à un tel défi, je souris. Je glissais mes bras autour de sa nuque et me laissa soulevé emportant mes jambes à ces hanches afin qu’il m’apporte de lui-même. Je laissai sentir ma langue s’emparer de la sienne alors qu’il était déjà occupé à nous apporter au lit et serra davantage mon bassin contre le sien juste pour qu’il sente le léger frottement une fois qu’on se retrouve sur le lit. Dans les petites choses les petits plaisirs pas vrais! Je crois qu’en fait, son impatience se prit de Gabriel, car il ne prit même pas la peine de retirer mon haut, mais il me l’arracha littéralement... Adieux vêtement luxueux! Sérieusement je devrais me mettre une note; quand tu vas voir Gab prend de vieux vêtements, ça sera moins mal au garde-robe! Non mais! C’est devenu presque une habitude. Sois que c’est mon haut, a robe ou ma culotte qui m’arrache littéralement! Je vous avouerais un truc... Ne prenez pas les culottes en dentelle, car c’est les pires pour déchiré, en un mot, ça rend l’action plus agressive! Alors qu’il glissait ces lèvres brûlantes sur mon ventre, je ne pus me retenir de kidnapper rapidement une respiration sous la sensation décuplée que je pouvais ressentir. Le contrasse gonfla ma poitrine sans attendre et le laissait remonté alors que mes yeux se ferma sous l’adoration de son corps qui redécouvrait le mien. Je glissais mes pieds sur le lit emmenant mes jambes contre ces hanches et rapprocha mon bassin du sien pour en sentir son envie cessée de se former contre mon pantalon. S’il savait en ce moment à quel point il me rendait humide, envieuse de le sentir contre moi, en moi. Ma main taquine, fini par quitté les draps et se logé dans ces cheveux, passant dans ceux-ci et vint caressé l’arrête de sa colonne vertébrale en partant de son cou. Je glissais le long de celle-ci et mes doigts prirent forme sur sa fesse que j’empoignais et tapaient aussitôt. Alors que j’accompagnais un baiser des plus envieux, je sentis mes cheveux se faire tirer et j’en souris quand mon menton se leva aussitôt. Je ne vis rien venir et je me retrouvais le pantalon ouvert laissant place à ma culotte satiné d’un noir envieux. Connaissant son manège, je le laissais se séparer de moi et glissa ma langue sur mes lèvres pour prouver mon envie gourmande à un plaisir de doigté. Mon bassin bougea légèrement d’envie et quand sa main se glissa sous ma culotte, je rentrais le vendre lui laissant plus de place. Je relevais mon intimité le suppliant presque de me toucher et de sentir sa chaleur glisser jusqu’à moi. Je ne pus me retenir de refermé ma main contre le dras et serra ma main pour me raccrocher à quelque chose. Yeux fermés, je me mis à laisser passé un gémissement définitivement beaucoup plus sensible qu’à l’habitude. Je glisse mon autre main à ma bouche me mettant à mordre un de mes doigts sous la respiration accélérée. Je me cambre et bouge mon bassin dans un mouvement sec puis lentement. Je retirai l’emprise de mes dents sur mes doigts et glissa ma langue dessus en ouvrant les yeux pour en faire un jeu sensuel. Mon doigt se réfugie sur ma poitrine passant entre mes deux seins et je la faufilai sous mon soutif qui ne servait pas a grand-chose mise à par à l’empêcher de voir les caresses que je m’infligeais sortant de temps à autre celui-ci des sentiers battus. Mes doigts revint à ma bouche et je passais ma langue le long de ma main pour aussitôt la diriger sur son anaconda déjà en éveille'' Coucou toi... '' j’encerclais ma main sur celle-ci déposant ma bave pour lubrifier les mouvements de vas et viens que j’entame déjà. Ma cadence fut suivie par des mouvements de rondeur d’une façon à lui faire un beau avant goût de ce qui allait venir. Me redressant je passais mes lèvres à son menton pour ensuite prendre sa bouche d’assaut. Je serais mes doigts contre son membre gorgé de sang alors que j’apportais un baiser des plus sensuel, mais actif. Je retirai mes mains de lui, amenant à mon pantalon que je réussis à passer sous mes fesses rapidement. Je me redressais sur mes genoux pour baisser ce dernier et le passé sous ceux-ci un après l’autre sans quitter ces lèvres beaucoup trop occupé avec les miennes. Mes pantalons me quittèrent après temps d’attente et glissèrent mes lèvres contre son cou. Une envie soudaine de le mordillé me prit, mais par chance pour lui ça ne venait pas avec le lot de morsure profonde. J’amenais mes lèvres descendre le long de son pectoral et c’est arrivé à ces hanches que je ne pus me retenir de remonter jusqu’à son flanc droit en passant ma langue contre sa peau. Je souris par la suite et en levant légèrement les yeux vers lui, je redescendis mes baises et morsures à son bassin. Je sortis mes fesse pour me retrouver à genoux et main sur le lit.Collant mes lèvres contres son membre, je commençais par le bas et remontais pour ensuite laissé passé ma langue sur ces bourges et remonta. J’enveloppai mes lèvres de son anaconda et glissa le rentrant jusqu’à ce que je pouvais tout en le regardant réagir. 1158 mots - post 12 -24h © MADE BY SEAWOLF.
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| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mer 7 Sep - 1:04 |
| - Inceste? Je connais pas ce mot moi...:
Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Léa Osborn Mes lèvres sur les siennes me procure une chaleur étrange, comme un picotement léger qui très vite, se changea en feu ardent. Je ne pouvais plus m’arrêter, c’était comme vitale, comme si je retrouvais ce souffle d’oxygène qui m’avait été trop longtemps enlevé. Je respirais, j’étais de nouveau entier. Damn, que ça faisait du bien. La soulevant du sol, je ne quitte pas celles-ci, trop absorbé à jouer avec sa langue, glissant la mienne sur la sienne sans gêne. Rapidement, elle se retrouva sur le lit et moi avec. Sans plus de patience, je lui arrache son haut avec une facilité déroutante. C’est que c’est fragile ces petites choses-là. Bon, en-même temps je n’avais pas à me plaindre de ma force d’Obscur, du coup, il n’y avait pas énormément de vêtements qui me résistaient. Sa peau m’avait cruellement manquée. Si lisse, si parfaite. Ce ventre plat, cette poitrine ni trop grosse, ni trop plate, juste comme il faut. Ouai, autant dire que ma jumelle était physiquement parfaite ! Comme moi. Sa peau était plus froide qu’autrefois, pourtant, cela ne me dérouta pas plus que ça, j’étais bien assez chaud pour deux. Mes lèvres glissèrent sur la peau de son ventre, y goutant avec envie alors que la respiration de Léa s’accentuait. Je la mettais dans tous ses états, que demander de plus. Enfin, c’était réciproque cela dit, parce que moi, contrairement à elle, mon corps était déjà bien marqué par cette envie primaire. En gros, ouai, pour le plus cons, j’étais en érection. Ses hanches viennent se coller contre moi, glissant son bassin contre le mien encore protéger par ce putain de pantalon. Stupide tissue de mes deux, il allait vite finir à la poubelle ce con ! Je frisonne en sentant sa main dans mes cheveux puis dans la naissance de ma colonne vertébrale, ne demandant que plus de contacts encore. Je finis par me décoller d’elle, plongeant mon regard dans le sien alors que ma main glissait droit entre ses jambes après m’être occupé de détacher son pantalon. Sa langue passe sur ses lèvres et je souris, signe de pure perversité venant de ma jumelle. Son bassin se colle davantage à ma main et je comprends le message, n’étant pas stupide, connaissant le langage de son corps. Ni une, ni deux, ne me faisant pas plus prier, je laisse un doigt entrer en elle, l’y enfonçant le plus profondément possible. D’accord, elle en crevait d’envie aussi et ce n’était pas pour arranger mes affaires. Son excitation me donnait envie de la prendre sur le champ. Je commence à effectuer des mouvements en elle assez limité par le pantalon en question, l’observant jouer avec sa poitrine ce qui en soit me donna envie de la bouffer toute crue ! Ah ben si elle essayait de m’exciter davantage et bien, soit, elle avait clairement compris comment faire. Je viens déposer mes lèvres sur le début de sa poitrine, relâchant ses cheveux pour libérer un de ses seins, attardant mes lèvres dessus, traçant de petits sillages avec le bout de ma langue sans cesser mes mouvements en elle de plus en plus sauvages. Je sens sa main venir rejoindre ma virilité alors qu’elle s’amusait avec un Coucou toi... ''. Je secoue légèrement la tête, amusé par son comportement provocateur, abandonnant sa poitrine pour mordiller son cou, soupirant de plaisir alors qu’elle entamait des vas-et-viens. Les yeux légèrement fermés, je suis les mouvements de sa main avec mon bassin, finissant par extirper mes doigts de son intimité pour serrer brusquement sa hanche. Ma respiration est loin d’être régulière, mon souffle encore moins alors qu’elle se redresse pour laisser ses lèvres se balader sur moi, alors que ses doigts serrent davantage ma virilité déjà bien irriguée par l’envie. Léa fini par enlever son pantalon avec une certaine grâce, avouons-le, elle avait toujours été très douée pour ça. Pourtant, je la laisse entamer une descente en poussant un gémissement en sentant sa langue contre moi, les muscles crispés par ce putain de plaisir qu’elle faisait naître en moi. Je ne pus m’empêcher de passer une main dans ses cheveux lorsqu’elle entoura ma virilité de ses lèvres, levant les yeux vers moi, provocatrice. Dès qu’elle commença je ne pus que gémir de plaisir, la laissant. Une main dans ses cheveux, je suivais le mouvement de sa tête, alors que la seconde glissait le long de son dos que je griffe sans contrefaçon. Ben quoi, elle m’avait bien foutu une fessée il y a à peine quelques minutes. D’ailleurs, je pris également soins de lui détacher son soutiens gorge, le corps pris de nombreux soubresaut alors qu’elle s’occupait de moi. Ok, faut qu’elle arrête là, sinon ça sera moins marrant ! « Stop. » Ordre autoritaire que j’accompli tout en tirant sur ses cheveux pour qu’elle me lâche, la faisant remonter pour l’embrasser, occupant sa bouche à autre chose. Je la recolle brusquement au lit, n’y pouvant plus. A vraie dire, je ne lui laisse absolument pas le temps de réagir, que déjà, j’écarte furieusement ses cuisses. Calmer mes ardeurs…ouai, donnant, donnant ici c’est comme ça que ça fonctionne. Je me redresse légèrement, attrapant ses cuisses que je soulève tout en glissant vers le bras, un sourire pervers sur le visage. A elle maintenant. Mes lèvres glissent sur son genou droit, remontant doucement vers l’intérieur de sa cuisse. Du bout des doigts, j’attrape sous sous-vêtements et le fait glisser le long de ses jambes, finissant par le jeter à terre avec les autres vêtements. Une fois débarrassée de son bout de tissus, je remonte le long de sa jambe gauche, passant à l’intérieur de sa cuisse pour finir par laisser ma langue glisser le long de son intimité. 950 mots - post 13 - 24h © MADE BY SEAWOLF.
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| | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mer 7 Sep - 2:50 |
| - Ce contenue est un danger pour les âmes sensibles! :
Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Gabriel Osborn Ces mouvements en moi s’amplifiaient, s’agitait d’avantage de façon plus sauvage et je dois dire que je les ressentais au plus profond qu’il pouvait allé. Mon excitation lui coulait sur les doigts, laissant sentir à quelque reprise un serrement autour de ceux-ci sous les pulsions de l’envie que j’avais pour lui. Même si je désirais lui en entier, je dois dire qu’il me connaissait par cœur pour les préliminaires. La chaleur de sa langue contre mon sein durcit ce dernier qui se forma dans la bouche alors que je gémissais avec autant de sensation d’un coup. Mais évidemment, j’avais autant envie de le voir succomber à ce plaisir vilain, voire totalement pervers. J’amenais ma main à son intimité, caressant celui-ci bien éveiller dans une cadence variante simplement pour pas perdre son attention. Empoignant ma hanche, il enfonça presque ces doigts dans ma peau qui exprimait clairement son excitation et je m’avançais pour l’embrassé de toute part, par ces chemins que j’ai parcourus à mainte reprise sans pour autant me lasser. Sous ma descente, je ne pouvais quitté mon regard azur de lui, désirant ne pas en manquer une miens. J’étais provocatrice c’était vrai et encore plus envers lui, car je savais que d’une façon il adorait. Serrant mes lèvres autour de lui, j’entamais une série de va et viens rapide, puis lentement. Une fois au fond, je glissais ma langue sur son érection et dépassant mes lèvres pour frôlé ces bijoux de famille. C’était plutôt du gros calibre, mais bon, j’avais appris à en prendre sous les pratiques, mais ça c’est secret voyez vous. Retirant de temps à autre, je passais ma langue le long de son excitation pour lui laisser un petit courant d’air et réchauffa de nouveau ce dernier pour mieux le faire gémir encore. Il me griffa le dos et je frémissais brusquement. Puis un autre morceau de débarrassé! « Stop. » Sous ces paroles, je me stoppais, car sous sa voix d’autoritaire, j’avais appris à écouté ces moindres désirent. Dommage j’aurais adoré avalée... Je suivais son mouvement et me redressait pour atteindre de nouveau ces lèvres que je dévorais, que je profitais. Je me retrouvais en deux, trois mouvements DOS contre le matelas et voilà qu’il ouvrait mes jambes, me tirant et soulevant légèrement mon basin sous ces mouvements. Je me sentais littéralement dominé, me laissant faire comme si j’étais qu’une poupée, mais je dois avoué que ça me plaisait. Pied sur le lit, je sentis ces lèvres contre mon genou et remontait le long de ma cuisse ce qui me fit coucher littéralement contre le matelas. Une nouvelle manœuvre agile et légèrement sèche des mains de Gabriel pour retirer le dernier bout de tissus. Je souris amusé en le voyant envoyer le tissu au sol et soudain mon sourire me quitta, ouvrant légèrement la bouche et mordit ma lèvre inférieure alors qu'il s'approchait dangereusement de mon intimité. Sa langue vint si réfugier et je ne pus retenir un gémissement des plus harmonieux. Je glissais ma main à ces cheveux à mon tour, me cambrant sous le plaisir de mon étage inférieur. Mes fesses remontaient lui donnant mon intimité des plus accessibles et ma poitrine se souleva sous la respiration des plus accélérés. J'enfonçais mes doigts entre ces cheveux et refermait mes doigts sur ceux-ci afin de bien suivre le mouvement qu'il faisait. Mon bassin se mit légèrement à faire de petit mouvement, incapable de faire autrement; j'accompagnais mon jumeau pendant qu'il m'amenait littéralement ailleurs. Je crois qu'à ce moment précis, même si on se faisait prendre la main dans le sac, ce dernier semblerait être que figurant et je pleins sa tête surtout. On doit se reprendre quand même quinze jours c'est beaucoup! Je frôlais l'orgasme quand je lui ordonnais à mon tour de se retirer. Il savait pertinemment que ça ne valait rien sans le sentir en moi, même si j'avais l'habitude d'en avoir plus qu'un surtout avec Gabriel. J'attrapais le derrière de son cou, l'incitant... Non! L'obligeant sans savoir son avis d'embarquer sur moi. J'amenais vivement mes lèvres contre les siennes pour en goûter ce parfum et je glissai sur sa mâchoire, puis son lobe qui fut caressé par mes lèvres. Je pinçais ceux-ci et je lui murmurais. '' J'aimerais maintenant te sentit en moi, là tout suite. '' Mes mots sonnaient plus comme un supplice qu'un ordre. J'empoignais son flanc droit enfonçant légèrement mes doigts alors que de mon autre main je l'amenais à sa fesse gauche. C'est d'un geste limite sèche que je le sentis pénétré mon intimité encore à peine grosse comme deux doigts. Je gémis de plus belle amenant mon visage qui se réfugie à son cou l'espace d'un moment , puis retrouva ces lèvres alors que je donnai des coups épousés aux siens. Pour amplifier tout ça, je glissai ma main entre ces fesses et enfonçant un doigt dans son anus alors que je mordis la lèvre supérieure de mon amant et jumeau. Oui, oui... J'ai vraiment osée! 873 mots - post 14 -24h © MADE BY SEAWOLF.
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Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
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Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Jeu 8 Sep - 14:17 |
| - Inceste? Je connais pas ce mot moi...:
Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Léa Osborn Mains accrochant ses hanches, j’avais l’impression de redécouvrir un corps bien trop longtemps éloigné du mien. D’ailleurs, je le faisais avec un plaisir intense, sans gênes, sans honte. Je laissais ma langue glisser le long de son intimité déjà bien travaillé. Sa main dans mes cheveux, je peux sentir son bassin légèrement se mouvez contre mes lèvres. Concentrer sur ce que j’étais en train de faire, je laisse son plaisir l’envahir. Je ne m’arrête pas, continuant jusqu’à ce qu’elle me demande de me stopper, parce que oui, elle allait le faire. Pourquoi ? Parce que je le connais, un orgasme sans m’avoir en elle n’était pas ce qu’elle recherchait, puis, ce n’est pas non plus ce que je désirais. D’ailleurs, je sens son corps se crisper sous un orgasme imminent et elle me dit de m’arrêter, ce que je fais aussitôt. M’obligeant à remonter, je viens chercher ses lèvres avec les miennes. Ses lèvres viennent pincer le lobe de mon oreille et je frémi, venant moi-même mordre son épaule. Si elle elle avait interdiction de me mordre, moi ce n’était pas mon cas ! Ben oui, je ne risquais pas de lui faire bien mal, enfin, je ne buvais pas de sang à ce que je sache. '' J'aimerais maintenant te sentit en moi, là tout suite. '' Je souris légèrement dans son cou, sentant sa ses ongles s’enfoncer dans mon flan et sa main se poser sur mes fesses. Contact qui me fit frémir directement et que me poussa à accepter sa demande sans plus tarder. Oui, Léa connait mes vices les plus sombres, elle sait ce qui me met dans mes états et d’ailleurs, ma première fois avait été avec elle. Quoi de plus logique hein. D’ailleurs toutes mes premières fois avaient été avec elle. Que cela soit sexuelle, préliminaire et même sodomie. Parce que bon, faut bien tout expérimenter ! Je soulève légèrement sa hanche avec ma main gauche pour qu’elle enroule celle-ci autour de moi. Une fois fait, j’entendre en elle sans grande délicatesse, c’est un vampire après tout. Mon gémissement de plaisir se mélange au sien alors qu’elle réfugie son visage dans mon cou. Elle est toujours aussi étroite, mais bon, ça n’allait pas durer ! Mes lèvres retrouvent les siennes alors que je commence mes coups de reins en elle, le souffle saccadé par le plaisir que ça me procurait. Sauf que voilà, effectivement, Léa n’en avait pas terminée avec moi. Comme si je n’étais pas déjà assez excité comme ça, je sens un de ses doigts glisser entre mes fesses et entrer en moi. Mes lèvres s’entrouvrent sous le plaisir et sans pouvoir me contrôler, je lui donne un coup de reins brutale et violent. Elle me mord la lèvre et je ferme les yeux, enfonçant mes ongles dans sa hanche l’espace de quelques instants avant de laisser ma main remonter vers ses cheveux, tirant sa tête en arrière. Mon bassin vient rapidement percuter le siens à plusieurs reprises sous l’excitation, ne contrôlant plus ma force. Elle devait s’y attendre. Me sentir en elle avait toujours été un combo parfait, surtout qu’elle me connaissait par cœur. Mes lèvres explorent son cou, ses lèvres. Je continue durant quelques instants avant de l’obliger à retirer ses doigts, tout en me retirant d’elle rapidement. « Tournes toi. » En gros, à quatre patte femme avant que je ne m’impatiente. Bon, je ne l’avais pas dit de cette façon non plus, ma jumelle n’est pas un objet sexuel ! Même si là, de suite, ça s’en rapprochait vachement. Sans attendre, je lâche ses cheveux mais la retourne, passant une main sous son ventre pour lui indiquer la position que je souhaitais la voir adopter. Une fois positionnée comme je lui ai fait comprendre, j’entendre deux doigts dans son intimité pour humidifié ceux-ci davantage. Donnant quelques coups secs, je les retire pour laisser entrer de nouveau en elle d’une traite, laissant un gémissement sonore s’échapper de mes lèvres. Tout en recommençant mes coups de reins, je laisse un doigt glisser à mon tour entre ses fesses, la tenant fermement avec ma main libre. Oui, je comptais bien exploiter son corps en entier. Une fois que j’estime que c’est suffisant, je me retire de part et d’autre, faisant glisser ma virilité le long de son corps, écartant légèrement ses fesses. Doucement, mais sûrement, je commence à entrer en elle par à-coups. « Bordel. ». Attrapant ses hanches avec mes mains, mon corps tout entier m’intimait d’y aller brusquement, mais bon, je lutais quand même un minimum parce que cette partie est clairement plus sensible et peut s’avérer douloureuse au début. 771 mots - post 15 - © MADE BY SEAWOLF.
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| | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Dim 11 Sep - 22:00 |
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Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Gabriel Osborn Touché, effleurement se transforma rapidement en excitation entre nous deux et qui dit ça, rime souvent avec une certaine atmosphère endiablée. On se laisse souvent emporter par notre excitation, emporté par nos pulsions les plus féroces et désirant amener l’autre à se réjouir. Plus de tabous y règne et on se connaît jusqu’au bout de nos doigts, se lien comme si nos cœurs, notre esprit si commun en étaient qu’un. Bien entendu, j’avais théoriquement plus de coeur qui battait, mais c’est bien entendu une sorte de métaphore... Vous m’avez compris! Alors que je glissais un doigt jusqu’à l’intérieur de lui, je pris un grand soin de l’enfoncé au plus profond que je le pouvais, puis le ressortis presque totalement pour l’enfoncé de nouveau malgré ces coups devenus plus dure, plus passionné se laissant emportant par toutes ces émotions. La brutalité n’était pas chose que je déplaisais, mais ça donnait une certaine ambiance bestiale qui m’enivrait et j’en réagissais que de plus belle dans des gémissements limites suppliant. Obligé à remonter le menton, je me cambrais sous la force de sa poigne à mes cheveux. Je dois avouer que le mordre à ce moment précis aurait été divin, mais je me retenais pour ne pas faire sortir mes crocs. « Tourne-toi. » Je repris à peine mes esprits que j’exécutais son désir sans bronché comme une parfaite et gentille soumise. Il devait en profiter, ça n’arrivait pas très souvent! Alors que je sentais sa main se glisser sur moi, je me mis à quatre pattes et remontèrent mes fesses. Je le laissais glisser une seconde fois ces doigts en moi alors que je me mis à me mordre les lèvres passant ma tête à mon épaule et l’encourageant d’un léger coup de bassin. Alors qu’il remplaçait ces doigts par quelque chose de beaucoup plus gros - anaconda juste pour te faire rire xD- Un gémissement plus bruyant résonna dans la pièce sans que je puisse le contrôler. Bordel, je n’en reviens pas encore qu’on ne sait pas encore fait découvrir! Accompagnant mes coups de bassin au sien, je glissais ma poitrine et ma tête au lit donnant une position beaucoup plus restreinte que je ne l’étais déjà et surtout pour lui donner un meilleur accès à ces fesses. Après mon intimité, voilà que ce fut mes fesses et heureusement, car je croyais qu’il allait vraiment les tenir pour acquis. Je pouvais sentir qu’il se retenait pour ne pas trop me faire du mal et ça même si je pouvais littéralement en prendre. Je serrais les draps entre mes doigts durement alors qu’il entrait graduellement. Je me surpris même à mordre le tissu pour passer la première douleur. Puis alors qu’il exécuta son premier, va et viens. Juste pour lui rendre la tâche encore plus difficile, je glissais une main sous moi et réussie à caresser du bout des doigts ces burnes qui cognait contre mon intimité de façon presque rythmée. Entre deux gémissements, je lui laissais entendre, '' Je me rappelle que... '' et c’est à ce moment que je lui laissais sentir de léger mouvement circulaire pendant sa nouvelle pénétration '' ça, tu aimais ça...'' Je souris aussitôt écoutant ces respirations et malgré que je me trouvais en position soumise, j’accélérais le mouvement de ces pénétrations lui indiquant qu’il pouvait allé plus rapidement. Le bout de mes doigts quittait ces burnes et je glissais ceux-ci à mon intimité me caressant moi-même alors qu’il s’occupait sagement - ou durement xD - de mes fesses. J’enfonçais mes doigts dans mon intimité me délectant de cette chaleur et de cette humidité que Gabriel m’avait tant stimulée. Mes deux points étaient si stimulés que je laissais sentir à mon frère que je me crispais. '' ho Gab'' Je sais c’est limite étrange de gémir le prénom de son frère, mais au moins c’était la bonne personne au moins! Vous imaginez si je lui aurais dit un autre prénom?! Je mériterais des claques ça c’est sur! Ma respiration plus allaitante, le souffle de plus en plus court, c’est au bout de ces nouveaux coups que j’enfonçais deux de mes doigts au plus loin, touchant à mon point culminant et laissait ressentir mon orgasme des plus forts qui explosa autour de lui. Je retirai mes doigts et les amenaient sur le matelas pour ensuite me redresser. Ces d’un sourire aux lèvres que je me tournais légèrement contre lui et donna un dernier coup sec pour ensuite me retirer de lui. '' Maintenant mon tour! '' Main au derrière de son cou, je l’attirais vers moi pour l’embrasser et lui fouta la main au panier pour jouer une nouvelle fois puis, je le poussais au lit. J’embarquais sur lui et m’étira vers la petite table à côté du lit. Je mis la main sur un petit lapin rose élancé en latex et en sortit même les foulards. M’asseyant sur le bassin de mon frère je lui présentais mon foulard rouge et un de ces sourires cochons se posa sur mes lèvres.'' Ça te rappelle des souvenirs?'' Bien des souvenirs s’éveillait à leur vu et surtout quand je lui encerclais les mains pour les accroché au barreau du lit, je repensais à toutes ces expériences qu’on avait explorées ensemble sans moindre gêne. Je glissais ma bouche à ces lèvres que je me mis presque à dévorer empoignant son menton entre mes doigts, l’obligeant à assouvir mes moindres pensées. Je vous ai dit que je suis une vraie accro de sexe? Le pauvre, il allait rester éveillé pendant un bon moment l’amenant à bout de son énergie pour la nuit! Mon intimité contre sa virilité, je le titillais en bougeant doucement sur lui et glissèrent mes lèvres à sa mâchoire et son cou. Arrivé à son oreille je lui murmurais '' On va te testé jusqu’à la fin'' Je me retirais et glissais le dernier bandeau sur ces yeux pour qu’il ne soit guidé que par ces autres sens. Je relevais ces genoux, pied au lit pour glisser un doigt entre ces fesses de nouveau, je le laissais imaginer ce que j’allais faire. Le lapin rose à ma bouche, je l’humidifiais avec générosité pour ensuite le remplacer par mon doigt. J’observais ces moindres soupirs, ces moindres sensations pour lui glisser le jouet jusqu’à la base. J’attrapais mon dernier et non le moindre foulard en velours noir. Kidnappant ces lèvres, je glissais le tissu le long de son bras droit, puis le diriger à son flanc. Je me redressais et relevais mon bassin grâce à mes genoux et glissa une main vers sa virilité pour le redresser. Je le fis entré en moi lentement pour lui faire ressentis le changement de température et lâcha le bandeau pour amené une main à son cou. Je souris, car je savais qu’il aimait bien avoir un certain mal. J’exerçais une pression contrôler pour quand même ne pas l’empêcher de respiré et je commençais des mouvements de va et viens de plus en plus rapidement, sans grande douceur. Variant le mouvement en mélangeant de certain cercle, me reculant et avançant d’un moment rapide puis lentement afin de mettre ces sens à l’épreuve. 1198 mots - post 16 © MADE BY SEAWOLF.
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| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mar 13 Sep - 13:21 |
| - Ce contenue est un danger pour les âmes sensibles! :
Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Gabriel Osborn J’arrive très mal à me contrôler, alors que l’impression de mon corps complètement en feu naissait en moi. C’était comme un volcan sur le point d’entrer en irruption, me laissant aller en elle sans retenue, sans tabou. Ce qui est bien avec Léa c’est que je connais sa façon de faire, comme elle connait ma façon d’être. Il n’y a pas grands secrets physiques, voire pas du tout pour dire la vérité. Je connaissais ses courbes par cœur, je pouvais reconnaitre ma jumelle dans une foule d’une centaine de personne. Je savais ce qui la faisait frémir, elle savait ce qui me mettais en chaleur total. Je ne lui ai jamais rien caché, pourquoi l’aurais-je fait ? Elle était venue au monde avec moi, nous avions grandis cote à cote. Ça avait toujours été si fusionnel que coucher avec elle était devenu naturel, instinctif. Là où les autres trouveraient ça malsain, moi je n’y voyais que du plaisir de partager ce moment avec mon double. Bon d’accord, je lui en voulais encore mais disons que l’appel du corps a été plus fort malgré tout. C’est bien connu, je ne sais pas résister à Léa, encore moins quand son corps frotte le mien de cette façon, encore moins que mes lèvres trouvent les siennes avec désir et passion. C’est littéralement impossible. Ma main dans ses cheveux tira davantage, l’obligeant à relever le menton, son corps se cambrant sous le mien. La douceur n’était plus vraiment là, j’étais partagé entre l’envie de me lâcher entière ou encore, l’envie de me montrer plus doux parce qu’elle est-elle…Finalement, la rancœur fait que je ne prête plus attention à mes actes, ni même à la force que je peux y mettre. Elle n’était pas douillette, elle sait comment je suis en règle générale. Nous avions nos moments de douceurs, mais ce moment-ci n’en fait pas partie. Le plaisir ne cessait de me parcourir, pourtant, je finis par lui dire de se tourner. A vraie dire, je ne lui dis pas je lui ordonne, c’était beaucoup plus excitant de cette façon. Je recommence mon petit manège, ne pouvant plus retenir mes gémissements. Bon, j’avais fait en sorte que les mûrs soient épais, surtout ceux de ma chambre, sinon, Léa et moi aurions déjà été repéré par ses semblables. Donc nos parents, je crains que s’ils l’apprenaient un jour ils nous sépares sur le champ. Pas étonnant. Les Osborn sont peut-être cinglés, mais apparemment toute famille a des limites. Hors, je dépassais clairement celles-ci, que ce soit avec Florian ou ma propre jumelle. Je sens les doigts de Léa se faufiler entre mes jambes et je frémis, enfonçant mes ongles dans sa peau, le cœur battant sous ses caresses. ''Je me rappelle que ça, tu aimais ça...'' Je n’arrive pas à lui répondre, la gorge serrée par le plaisir, la tête légèrement penchée en arrière. Elle accélère d’elle-même le mouvement et, sans demander mon reste, je fais de même. Mes coups de reins se font plus violents, plus profonds, plus secs. Je ne me retiens plus, je n’en ai pas envie. J’ai juste envie de me lâcher entièrement et puis, merde, c’est un vampire elle saura gérer d’une façon ou d’une autre. Elle gémit mon prénom et déjà, je sais ce qui va arriver. Si Léa aimait avoir plusieurs orgasmes, moi, j’étais plus difficile et plus long à venir. Sûrement le seul point différent entre nous. Bon, il faut dire aussi que je m’amuse à me retenir jusqu’à ce que je n’en puisse plus, jusqu’à ce que ça en devienne réellement douloureux. Elle finit par jouir, m’offrant un dernier coup sec avant de se retirer brusquement. Je grogne de mécontentement, n’aimant pas spécialement quand elle se retire aussi vite. '' Maintenant mon tour! '' L’une de ses mains dans mon cou, l’autre entre mes jambes, je l’embrasse sans retenue lorsqu’elle me pousse sur le lit. Bordel, elle a une nouvelle force de malade l’air de rien. Je l’observe, un petit sourire aux lèvres. Elle revient directement sur mon bassin et déjà, j’ai qu’une envie, me retrouver de nouveau en elle. Sauf que voilà, mademoiselle avait décidée de s’amuser… Se penchant vers la petite commode ou elle avait l’habitude de laisser traîner ses jouets, enfin les nôtres en l’occurrence, elle en sort les foulards et bien sûr son lapin rose qui m’avait fait bien rire la première fois que je l’avais vu. ''Ça te rappelle des souvenirs?'' « Faudrait me raviver la mémoire sur le coup… » J’avais dit ça avec un air amusé, bien que ma respiration saccadée ne laissait aucuns doutes sur mon degré d’excitation actuel. Elle se met m’attacher aux barreaux de mon lit et, étrangement, je me laisse faire. La laisser dominer n’est absolument pas un souci, encore moins dans des moments pareils. Mes doigts se referment sur deux des barreaux alors que ses lèvres glissent de nouveau sur les miennes. Répondant à ses baisers, je laisse mon bassin frotter sur le siens avec envie. Bordel, mais quelle torture ! '' On va te testé jusqu’à la fin'' Je me mord la lèvre rien qu’à cette idée. Si elle veut me tester qu’elle face donc, de toute façon, là de suite je suis carrément bloqué dans mes mouvements. Quelques secondes plus tard j’étais plongé dans le noir, un foulard me cachant la vue, ne me laissant que mes autres sens pour me guider. C’était…le pied total ! Je me laisse guider en repliant les jambes, faisant en sorte que mes pieds soient à plat sur le matelas. Je sens un doigt entrer de nouveau en moi et je soupire, le cœur battant bien trop rapidement dans ma poitrine. Sauf qu’elle n’en avait toujours pas terminé avec moi, son doigt fut rapidement remplacé par son jouet de prédilection, m’arrachant un gémissement de plaisir. Je n’en pouvais plus, j’étais stimulé de partout, mes sens en ébullitions ainsi que mes hormones. Je sens ses doigts se refermer sur ma virilité, faisant en sorte que ma respiration s’accélère face à ce qui m’attendait. J’entendre de nouveau en elle et elle se joue de mes envies, de mes plaisirs. Elle est rapide, variante et mes gémissements se font de plus en plus fort alors que mes doigts tenaient fermement les barreaux. Je tire sur le foulard, cherchant à le faire céder, souhaitant inconsciemment reprendre le contrôle. Pas de chance, Léa a bien serré. Je me cambre sous le plaisir, les muscles crispés alors que je sens le plaisir bien trop insupportable pour être contenue. « Bordel…je… » Sauf que je n’ai absolument pas le temps de finir ma phrase que le moment crucial arriva. Je ne peux même pas retenir un cri lorsque je me vide en elle, le corps parsemé de soubresauts, les muscles tendus sous l’orgasme. 1129 mots - post 16 © MADE BY SEAWOLF.
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| | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mar 13 Sep - 16:59 |
| - Ce contenue est un danger pour les âmes sensibles! :
Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Gabriel Osborn Ce moment pourrait sembler totalement obscène, totalement incompréhensible, mais je dois avouer qu’en fait, je me sentais des plus complétées. Sans tabou, sans gêne, me faisant comprendre sans parlé, mais c’est dans un seul regard, dans un seul touché que je me faisais comprendre. Gabriel me connaissait par cœur, presque mieux que lui même comme moi de même. Il était sans doute le seul avec qui je pouvais me sentir bien, me sentir à l’abri de tout et personne ne pouvait mieux me comprendre que lui. On a toujours tout partagé, nos secrets, nos envies, nos désirs sans tabou, sans juger; en fait pour nous cette situation n’était devenue que des plus simples et normale comme un souper de famille. Nous n’avions jamais de secret l’un pour l’autre alors pour quoi nous cacher? Nous nous aimions d’une façon... un peu bouleversant, mais c’était pour cette raison que peu de gens en étaient au courant, même qu’on tenait ça un peu mort, car ils ne pourraient comprendre. Je me laissais aller, explorant son corps de nouveau même si je le connaissais si bien. Connaissant ces moindres courbes, ces moindres formes, je savais pertinemment comment il réagissait, comment il aimait et comment il voulait que je l’amène au sommet! Ces moindres préférences ne pouvaient être mieux assoupie et même s’il aimait avoir le contrôle sur tout, à quelque moment sa ne pouvait pas faire de mal de le voir soumit! Je ne pouvais me retenir de sourire en le voyant essayer de cédé les foulards, il avait réussi une simple et uniquement fois de les déchirés et je dois dire que j’en ai prit des trucs pour plus qui y arrive. Faut quand même pas détruire toute la magie du moment quand même. Je ne faisais que continuer ce qu’il semblait aimer, répondant à ces moindres désirs exprimés par ces gémissements, c’est battements de cœur, c’est râlements! J’écoutais son corps, c’est moindre réaction pour l’amené à la fin, pour l’amener à se lâcher totalement, incapable de se retenir davantage. Il n’y avait qu’une fin possible et c’est en le voyant se redresser par les foulards, que je compris le désir qui arrivait au plafond. Glissant une main a mon front, j’amenais mes doigts dans mes cheveux et fermait les yeux pour pouvoir ressentir le nouveau plaisir en moi qui approchait à grands pas. Le voir sous ma domination n’était que des plus charnel, que des plus plaisants. Il ne put finir sa phrase que je le sentis se vider en moi et je ne pus me retenir de l’accompagné dans un gémissement intense et de coup de bassin légèrement ralenti par le plaisir. Je retenais mon désir de le mordre sous l’orgasme, de goûter à son sang pour combler une seconde partie de moi-même qu’autrefois je n’avais pas! Ce n’était pas le moment de ça et encore moins avec Gabriel qui n’acceptait pas vraiment qui j’étais, puis, je ne pouvais lui faire une telle chose... C’était mon jumeau quand même. Effaçant tout désire de sang, je me penchais vers lui kidnappant une nouvelle fois ces lèvres alors que mes doigts glissaient pour attraper sa mâchoire. Faut quand même le dire, nous avions une sacrée chance que je n’avais jamais été engraissé par mon propre frère, car la protection n’était pas trop notre fort... Ba quoi ça détruit toute la magie et la sensation bordel! Puis comme si un bout de plastique allait supporter nos actions légèrement violentes sur les bords! Puff! Sur qu’aucun ne serait resté envie. Je me recollais légèrement à lui glissant mes lèvres à sa mâchoire pour exprimer mon bonheur du moment et je lui dis doucement. '' Tu sais que le rouge et noir te va bien, chou! '' Bien évidemment, je parlais de son allure avec les foulards et je me mis à légèrement rigoler. Moi arrogante et blagueuse?! Jamais ! Je ne vois pas ce que vous voulez dire. Je glissai mes doigts à ces poignets et défis les tissus pour le libéré de cette emprise. Je lui retirai le foulard des yeux avec délicatesse et lui présenta un sourire des plus illuminés sur mes lèvres rougies par nos actions '' Et la vue se fit!... Voilà Mec tu es libre! '' C’était sûrement l’une des seules façons que j’avais à égalisé le mot ''femme'' que Gabriel employait souvent, le taquinant comme s’il n’était qu’un jouet et rien d’autre. Mais il me connaît que trop bien pour être choqué par mes mots. Je caressais son nez par le mien et me retira de lui. Sortant du lit, je me mis sur les pieds et pouvais sentir les moindres muscles de mon corps pendant que j’allais me réfugie dans la salle de bain. Ba quoi, on s’entend qu’après une partie de jambe en l’air comme celle-ci on n’a forcément envie de tiré une pisse! On ne me fait pas d’histoire à moi! Le truc de la nana et du mec qui s’endort à côté sans rien, c’est de la foutaise on s’entend. Je revenais aussi vite, glissant mon agilité et ma grâce dans les pas qui me séparaient du lit. Comme à mon habitude, je pouvais partir de cette façon et d’autant plus que même humaine j’adorais venir retrouvé sa chaleur, en vampire ce n’était pas pour le moins différent. Je mis mes genoux sur le lit et lui demanda taquine '' Et puis, ta mémoire tes revenus Pinocchio?'' J’arquais un sourcil pour compléter mon expression. 921 mots - post 18 -24h © MADE BY SEAWOLF.
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Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mar 13 Sep - 17:36 |
| Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Gabriel Osborn J’ai le corps complètement crispé, le cœur qui semble imploser dans ma poitrine. Je n’en peux plus, je suis épuisé, vraiment. Léa avait le don pour me vider de toute énergie, puis, dans mon état j’aurais peut-être dû y aller molo sur le sexe. Mais non, avec ma jumelle c’était toujours intense et apparemment, sa condition de vampire n’avait pas vraiment changé cet aspect de notre relation. Mon corps arbore une couche de sueur qui indiquait bien nos efforts, enfin, pour ma part vu que pour Léa ça ne saurait pas vraiment arriver vu sa condition de morte. Le plaisir implosa en moi comme elle, laissant nos gémissements se mélanger. Je me sens partir dans un tourbillon, toujours les yeux bandés, alors que je poussais un soupire, la respiration toujours aussi haletante. J’ai des crampes aux bras, parce que bon, dans cette position et avec l’effort ça devenait clairement inconfortable. Je sens ma jumelle venir se coller à moi, déposant un baiser sur ma mâchoire alors que j’essaye de retrouver mon souffle. Chose assez difficile sur le moment, mais je savais que ça allait revenir. Bordel, je rêvais d’une bonne douche, mais là, je n’étais pas sûr de pouvoir rester debout sur mes jambes. ''Tu sais que le rouge et noir te va bien, chou! '’ Je ricanes légèrement déposant un baiser je ne sais trop où sur sa peau. Je crois que c’est son épaule, ou son cou, je ne saurais trop le dire n’ayant pas accès à ma vue pour l’instant. « Très drôle, détaches-moi maintenant. » Oui, être attaché durant l’acte, ok, mais après ça devenait moins drôle. Je me sentais oppressé dans cette position, en danger également. Mes instincts de survies reprenaient le dessus et déjà, je me mis à gigoter légèrement, tirant sur le foulard qui me retenait prisonnier. Je sens enfin ses mains glisser vers mes poignets, détachant doucement ceux-ci pour me libérer pour ensuite me rendre l’usage de mes yeux. Je cligne plusieurs fois des yeux à cause de la lumière de la pièce, ayant été plongé dans le noir durant un petit moment. '' Et la vue se fit!... Voilà Mec tu es libre! '' Me frottant les poignets, je grimace très légèrement. « Fou toi de ma gueule. » Je souris néanmoins, sachant qu’elle ne disait pas ça méchamment et que ce n’était pas une attaque personnelle. Elle se détacha de moi, moment très désagréable pour moi, sûrement pour elle aussi. Directement, elle file dans la salle de bain et je sais déjà ce qu’elle va y faire. Je ne suis pas con hein, puis, moi-même j’hésitais entre y aller ou rester comme une larve dans mon lit. Finalement, j’opte pour rester comme une larve dans mon lit. Tant pis pour la douche, franchement, j’étais puant mais rien à foutre. Me mettant sur le ventre, la tête dans l’oreiller, le corps en sueur, je soupire en entendant ma sœur revenir. Tournant légèrement la tête vers elle, je laisse glisser mon regard sur son corps plus que parfait. '' Et puis, ta mémoire tes revenus Pinocchio?'' Je souris devant son expression, attrapant un de ses avant-bras pour la tirer brusquement vers moi, la faisant ainsi tomber en avant. L’entourant de mon bras, je me positionne sur le côté, l’attirant contre moi malgré le fait que je sois collant comme une merde. Ben quoi, c’est la vie, elle devait faire avec hein. Posant un baiser sur ses lèvres, je ferme légèrement les yeux, chottant dans le lapin rose qui trônait au pied du lit pour le balancer à terre. « Ouai elle est revenue…j’ai besoin de dormir, d’ailleurs, mets ton réveil pour ne pas être surprise par le lever du soleil. »Oui, ça serait vraiment bête qu’elle crame au soleil. Puis, dormir ici ça ne me dérangeait pas, néanmoins, vu les allées et venues chez moi, nous risquions d’être surpris en mauvaise posture. La réelle raison était sûrement celle-ci : Léa devait se nourrir et je ne souhaitais pas être son casse-croute ! Fermant légèrement les yeux, j’ouvre néanmoins ceux-ci une fois de plus, poussant un soupire. « Non, décidément il faut que j’aille prendre une douche, j’ai pas le choix ! » Posant un baiser dans les cheveux de ma sœur, je me lève pour aller dans la salle de bain, fermant la porte. Quand je fermes la porte c’est que je ne veux pas être dérangé et donc, je ne voulais pas prendre une douche à deux. J’aime ma sœur, mais là, j’avais juste envie de me laver et d’aller me coucher. Vingt minutes plus tard je sors de la salle de bain, un boxer sur les fesses, les pansements enlevés et les cheveux mouillés. Doucement mais sûrement, je reviens me couché en poussant un soupire de fatigue. Si elle elle vivait la nuit, moi j’avais besoin de me reposer. 810 mots - post 18 - 24h © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. Mer 14 Sep - 3:04 |
| Two bodies, one soul, a bloody wound.feat. Gabriel Osborn Hummmm j’adore avoir le bon côté du bâton! Me faire ordonner un truc me donne cette envie de faire durer le temps surtout que je suis présentement sur le dessus. Ces lèvres atteint mon cou et je peux me retenir de sentir un léger frémissement à son passage. Alors qu’il me dit de le libérer, j’ai un doux sourire amusé sur mes lèvres et lui mentionne après une légère attente en mode je réfléchis '' Je ne sais pas... Tu sais te voir comme ça me plaît vachement quand même! '' À ces mots, Gabriel pouvait déjà imaginer mon sourire plaqué au visage, mais une fois qu’il commençait à gigoter, je me mis à le détacher tout en laissant entendre un léger ton de rigolade. Je savais par le battement de son coeur qu’il avait eu comme une certaine frousse et je le comprenais... J’étais quand même devenue vampire non. Après ces poignets, ce fut le tour de ces yeux de retrouver leur usage habituel. En y réfléchissant, je crois que c’est sans doute l’un des sens les plus chiants à perdre. Vous imaginez, ne plus jamais voir les objets, le paysage, la moindre lumière, mais le pire d’entre tous est sans doute le fait de ne plus jamais voir ceux qu’on aime. Il y aurait seulement le touché et cette image que nous avions autrefois nous accrochant à cette vue que nous chérissons tant. « Fou toi de ma gueule. » Mes lèvres répondirent en illuminant mes traits. '' Avec joie!'' J’ai toujours le dernier mot sur ces trucs ça en devient presque une maladie! À mon retour de la toilette, je revins auprès de mon frère qui était vachement sexy comme ça dénudé et en sueur comme un verre sur les couvertures. M’attirant vers lui, je tombai sur les couvertures et comme instinctivement je me collai à lui de nouveau et noua de nouveau mes lèvres aux siennes. Je glissais un de mes bras autour de lui et laissa ma jambe venir ce réfugier entre les siennes s’entrecroisant. Le bruit du latex au sol, je me mis légèrement à bouffer en pensant qu’il venait de foutre le lapin au sol, pauvre petit. Alors que nos lèvres se décollèrent, je l’écoutais et déposais mon visage contre son torse. Je fermais les yeux et lui dit '' Tant fait pas, je ne laisserais pas ce soleil avoir raison de moi. De toute façon je ne dors plus... '' C’était sans doute l’un des bons côtés de cette métamorphose... La vie nous semblait déjà si longue et notre existence l’était tout aussi. '' Je vais attendre que tu t'endorme et je vais y aller. '' J’étais si bien contre lui que je me laissais bercé par les battements de son coeur qui me semblait à une vraie berceuse. Je les connaissais par cœur déjà, mais jamais ils ne m’avaient semblé si apaisants, si incroyables... Mais il bougea encore... Non, mais bordel, il a des verres dans le cul ou ce n’est que moi?! À non c’est vrai! Il avait un lapin rose en latex y a quoi dix minutes! Je laissais à mon tour entendre un grognement de mécontentement. L’écoutant, j’ouvris un oeil et le laissait me quitter pour me tourner vers lui. Son baiser au sommet de mon front me fit sourire et je le regardais se réfugier dans la salle de bain. C’est à la vue de la porte fermer que je me retournais, dos à celle-ci et fermais de nouveau les yeux pour pouvoir légèrement m’assoupir. À son retour, j’ouvris un œil et l’accueilli doucement auprès de moi. Je l’entourais de mes bras alors qu’il se couchait la tête à mon cou, limite ma poitrine et j’amenais ma main à ces cheveux que je me mis doucement à caressé. 644 mots - post 20 -24h TERMINÉ! © MADE BY SEAWOLF.[/spoiler] |
| | Sujet: Re: (Leabriel) Two bodies, one soul, a bloody wound. |
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