Battle cry Seconde vue: Active Niveau de compétence: (57/77) Compétences:
PRO MUNDI BENEFICIOJeremiah Fitz
Je suis à Chicago depuis le : 04/05/2016 et j'ai déjà payé : 684 factures et gagné : 635 gains. Il paraît que : Jamie Bell est mon double. Schizo je joue aussi : Lehr O'Siodhachain. On m'appelle : Luiyna et pour mon profil je remercie : Shiya & Tumblr.
Je suis : en train de tomber pour les beaux yeux d'une louve
Sujet: What the f***ing hell ?! Lun 9 Jan - 4:22
❝I wish it need not have happened in my time. ❞
- Thyia & Jeremiah -
So do I, and so do all who live to see such times. But that is not for them to decide. All we have to decide is what to do with the time that is given us.
Dans la nuit du 18 au 19 Décembre 2016.
kinda sexy sometimes but not hot as f***:
Les images deviennent floues, la pièce semble tourner sur elle-même, comme un tourbillon qui aspirerait tout. Il semble perdre pied, pendant un instant c’est comme s’il n’existait plus nulle part, avant de se sentir à nouveau lui. Il n’est pas seul il sent la chaleur d’un autre corps contre le sien, un autre corps avec lequel il ne fait plus qu’un. Il ne se rappelle pas avoir quitté la fête, encore moins avec quelqu’un. Le plus logique serait qu’il soit rentré pour retrouver Octavia mais quelque chose cloche. Pourtant les questions de son esprit ne semblent pas vraiment perturber son corps, comme s’il n’était pas vraiment connecté avec ce dernier. Il sent ses mains parcourir le corps sous le sien, son bassin aller et venir contre l’autre. Un parfum enivrant lui parvient, une odeur qu’il connait, mais ce n’est pas Octavia, de ça il est sûr. Cela lui rappelle des souvenirs qui datent de bien avant sa rencontre avec la louve. « Ouvre les yeux ! » s’ordonne-t-il mentalement, mais c’est comme son corps refusait de lui répondre, souhaitant profiter encore du plaisir procuré. Son esprit commence d’ailleurs légèrement à céder devant l’afflux d’endorphine, se plaisant à embrasser la peau de cette femme qu’il tient dans ses bras. Néanmoins il finit par ouvrir les yeux, bien qu’il ne voit pas encore le visage de cette femme dont il embrasse le cou avec amour et passion, il la reconnait immédiatement à la couleur des cheveux éparpillés sur les draps. « Th… Thyia. » bredouille-t-il, redressant légèrement la tête pour voir de lui-même s’il ne s’est pas trompé.
Abasourdi il constate presque avec effroi que c’est bel et bien sa nymphe et amie de longue date. Son effroi ne vient pas exactement de la situation dans laquelle ils sont, c’est arrivé un bon nombre de fois auparavant. Mais plus… que ça ce n’est plus vraiment eux. Il a Octavia à présent, le sorcier en est sincèrement amoureux, il ne pourrait jamais lui faire une chose pareille. Et Thyia quant à elle ce n’est pas non plus son genre de viser les hommes en relation, d’autant qu’il la soupçonne très fortement de vouloir à tout prix le voir vivre heureux avec la louve, en faisant tout son possible pour s’assurer que le sorcier ne fasse pas de faux pas avec la brune. Cette situation n’a donc rien de normal.
kinda sexy sometimes but not hot as f***:
L’anglais relève un peu plus la tête pour observer où ils se trouvent tous les deux. Un lit, ça c’était évident dès le départ. Ce qui le marque immédiatement c’est le caractère luxueux presque à l’excès de la pièce. Néanmoins il a cette sensation d’être « chez lui ». La soie des draps, la taille du lit, l’immensité de la pièce également, sans compter les meubles qui semblent tous de très belle facture ne trompent pas, on se croirait presque dans une chambre royale. Pourtant… pourtant il y a un côté familier à cette chambre. Comme si elle avait été aménagée à ses goûts mais aussi à ceux de Thyia. « Qu’est-ce que c’est que ce bazar ? » gromelle-t-il, alors que, rappelons-le, leur deux corps sont toujours intimement entrelacés. « Est-ce que c’est un rêve étrange ? Ou un sort ? » se demande-t-il plus à lui-même qu’à la nymphe en réalité. Et c’est au dernier mot qu’un début de réponses lui parvient sous forme de flashbacks d’il y a quelques heures. L’alcool qui coule à foison, des sorts projetés un peu en l’air dans cette pièce relativement exiguë, et des éclats de magie qui se percutent. « Oh non… » murmure-t-il, en enfouissant à nouveau sa tête dans le cou de son amie. « Qu’est-ce qu’on a fait ? » soupire-t-il son souffle venant chatouiller la peau de Thyia. Il ne parlait pas vraiment d’elle, il se souvenait de sa présence à la soirée, mais savait parfaitement qu’elle, contrairement à lui et d’autres, n’avait pas jeté de sorts cette nuit-là. « Et qu’est-ce qu’on fait maintenant ? » finit-il par ajouter sans pouvoir se retenir de bouger légèrement comme pour la provoquer. Il se sentait coupable envers Octavia, mais ne sachant pas vraiment ce qu’il s’était passé peut-être que tout ça n’était qu’un rêve étrange, ou bien qu’ils n’étaient plus vraiment eux, ou que savait-il encore. Il aurait été légèrement dommage de ne pas savourer l’instant présent, surtout que ça n’aurait pas été la première fois pour eux, même si la dernière fois datait d’il y a quelques décennies déjà, voire même un siècle.
Battle cry Seconde vue: Active Niveau de compétence: (61/77) Compétences:
COMINUS ET EMINUSThyia Zacharias
“A little bit dangerous, but baby THAT'S HOW I WANT IT
Je suis à Chicago depuis le : 23/06/2016 et j'ai déjà payé : 120 factures et gagné : 306 gains. Il paraît que : Lauren Calaway est mon double. Schizo je joue aussi : Megara Nichols, la belle rouquine. On m'appelle : dreamy, ou mélanie pour les intimes, et pour mon profil je remercie : moi-même - Dreamy (avatar+gifs) + endlesslove (sign)
Je suis : Célibataire
Thyia, nymphe et plus précisément naïade du petit peuple, fille de la haute dirigeante des nymphes de Grèce et d'un chevalier de la Cour des Lumières, elle porte le surnom de "petite princesse de la nature" auprès de ses semblables ⊰ Si en apparence elle ressemble à une belle jeune femme de 25 ans, elle est née aux environs du sixième siècle avant Jesus Christ, à l'époque de la mythologie grecque. Elle a de ce fait dépassé les deux mille six cent ans ⊰ Très engagée dans la défense de la nature, sa dévotion envers la planète va au delà de sa dévotion envers les êtres vivants. D'un tempérament très doux, elle méprise tous ceux qui bafouent l'équilibre naturel ⊰ Herboriste, elle arpente le monde et les royaumes en quête de plantes médicinales, poudres démoniaques, et tous les ingrédients qu'on peut lui demander ⊰ elle ne prend aucun parti dans la guerre qui oppose les néphilims au nouvel ordre ⊰ sa loyauté ne va qu'à ses semblables et à la nature ⊰ Elle est maman d'une faerie, Aeris, qu'elle a eu d'une liaison passionnelle avec un terrestre au dix-huitième siècle ⊰ Après des décennies passées auprès de Thyia et de leur fille dans le royaume des faeries, le terrestre a fini par se donner la mort, ne supportant pas cette vie prolongée, et nostalgique du monde terrestre ⊰ depuis, Thyia n'est pas retombée amoureuse ⊰ ses cheveux et ses ailes changent de couleur en fonction de ses humeurs, et ses yeux apparaissent d'un bleu plus ou moins sombre également.
LES REBELLES
Coming
LES INSIPIDES
Elle fournit Lehr en herbes diverses, et en retour, il la fourre. (que de poésie, lel.) + Dakin possède une place particulière dans le coeur de la belle nymphe. En 700 ans, ils ont été bien des choses. Amants, puis amis. Elle a été sa première fois, et surtout, elle l'a guidé lorsqu'il n'était qu'un jeune sorcier dérouté par ses dons. Leur neutralité dans cette guerre va de paire avec tout ce qu'ils ont déjà vécu. +
LE NOUVEL ORDRE
Voilà bien des siècles qu'elle connaît Jeremiah avec qui elle a eu quelques écarts. Seulement, elle ne reconnaît plus la froideur du sorcier, et lui rappelle que perdre un être cher ne doit pas changer qui on est.
Sujet: Re: What the f***ing hell ?! Lun 9 Jan - 14:31
We could be lovers
Only in another life.
Nuit du 18 au 19 Décembre 2016.
Les derniers souvenirs qu’elle avait tout d’abord, c’étaient des rires. Les rires des immortels, dans un lieu tenu secret, hors de portée de la guerre et de l’idiotie de la guerre qui fait rage sur le monde. Des étincelles bleues qui jaillissent d’un côté, des flammes bleues d’un autre, et Thyia qui jouait du bout de ses doigts fins avec le contenu de son verre, jouant de sa magie pour faire simplement changer de couleur le liquide, à l’inverse de ses camarades qui jouent de leurs sorts à plus grande échelle, quoique inoffensive. Apporter un peu de légèreté dans leur quotidien, au moins une fois de temps en temps, c’est ce qu’ils recherchaient. Sorciers, faeries, aucune étiquette ce soir, et c’était ce qui la séduisait, la nymphe, l’idée que ce soir, rien d’autre n’existait à part eux. Du moins, jusqu’à cette lumière, dont elle n’a pas immédiatement assimilé l’origine, et elle n’a pas eu le temps d’en comprendre le sens. Puis le noir. Bref, ou long, elle ne peut estimer de durée qu’elle s’éveille, transitionne, comme si elle avait été victime de la cuite du siècle (littéralement), ayant eu un lourd et difficile passage à vide.
kinda sexy sometimes but not hot as f***:
Sa main se crispe sur des draps, doux, à la couleur pourpre, contrastant parfaitement avec le clair de ses yeux clos. Si l’espace d’un instant elle se sent en terrain étranger, son corps, lui, semble réagir par automatisme, son dos se cambre, se heurte à un corps masculin pressé contre le sien. Et elle est partagée entre des émotions mixtes, Thyia, quand elle sent un parfum familier, à la fois enivrée et terriblement nostalgique, à mi-chemin entre habitude et lointain souvenir. Et cette vague de plaisir qui la submerge lui fait perdre pied, sa main remonte, s’accroche au dos de l’homme qui partage son lit tandis que ce dernier parcoure la peau de son cou du bout des lèvres, lui arrachant un soupir. Jusqu’à ce qu’elle entende une voix.
« Th… Thyia. » Ses paupières se soulèvent, ses ongles se crispent dans le dos du sorcier dont elle reconnaît la voix, et dont elle croise le regard : « … Jem ? » Dans l’incompréhension la plus totale, l’immortelle tourne la tête en même temps que Jeremiah semble redresser la sienne pour analyser l’endroit où ils sont. Une pièce grande, luxueuse, elle reconnaît çà et là des objets qui sont siens, acquis il y a de nombreuses années déjà. Sauf que … « Je ne comprends pas …. » Et la nymphe déteste quand tout échappe à son contrôle, alors qu’elle avoue, sourcils froncés, ses mèches multicolores s’éclaircissant sous le désarroi : « Ce n’est pas chez moi. » Constat obligatoire, constat complexe puisqu’elle semble savoir identifier la pièce au premier coup d’œil, reconnaissant des objets faeries, mais également … Sorciers. Des objets qu’elle a déjà vus en la possession de son ami. « Qu’est-ce .... » - « Qu’est-ce que c’est que ce bazar ? » La coupe Jem, qui semble faire le même constat que la seelie qui s’inquiète plus de l’emplacement où ils sont que de la situation dans laquelle ils se trouvent. « Est-ce que c’est un rêve étrange ? Ou un sort ? » La voix du sorcier lui parvient, et décide la nymphe à planter son regard bleu dans celui de Jem, tout aussi perdu qu’elle. « Je ne rêve plus depuis bien longtemps … » Confie la femme, qui tente de remettre les choses en place, se souvient de la soirée de la veille, qui semble à la fois si proche et si lointaine. Et c’est là qu’elle commence à rassembler les morceaux, se souvient des sorts qui s’échangeaient, de la boisson qui coulait à flot. Oh des cuites comme ça, elle n’en avait pas prise depuis longtemps, alors mêlée à de la magie… « A moins qu’il ne s’agisse des deux. » Murmure-t-elle enfin. A la fois rêve et sort, la magie jouant de leur réalité. Mais elle s’étonne malgré tout, la nymphe : Pourquoi aurait-elle voulu rêver d’une telle scène avec son ami, alors qu’ils n’ont plus ce genre de relation depuis des années ?
kinda sexy sometimes but not hot as f***:
« Oh non… » Prise de conscience dans l’autre sens, le visage de Jeremiah vient se refugier dans le creux de son cou, et par pur réflexe, tendre, la nymphe remonte une jambe le long de son bassin, passe délicatement ses doigts dans ses cheveux. « Qu’est-ce qu’on a fait ? » Et son souffle qui l’effleure lui arrache un frisson. Pourquoi n’arrive-t-elle donc pas à s’inquiéter de leur proximité soudaine, elle qui espère secrètement voir son ami terminer avec sa louve brune ? Elle est déroutée, Thyia. Partagée entre crainte et désir dévorant. « Je regrette… Je n’ai pas de réponse. » La logique voudrait qu’elle se lève, se sépare de son ami, commence à chercher des réponses à leurs questions. Au lieu de quoi, elle pose ses lèvres contre la peau nue de l’épaule de Jem, sans l’embrasser, elle l’effleure doucement, semble la goûter, la redécouvrir. « Et qu’est-ce qu’on fait maintenant ? » La belle recule son visage, encadre celui de Jeremiah de ses doigts fins, et alors qu’il bouge contre elle, son cœur s’affole rapidement. « Je vois plusieurs possibilités. » Répond-t-elle enfin, son souffle s’abattant contre la peau de son ami de longue date, son visage déviant à nouveau jusque son cou. « On peut se lever, chercher la source… assurément magique de cette situation vu nos souvenirs et notre prise de conscience… plutôt brutale… » Quelle autre explication y aurait-il ? Jamais elle n’aurait pu avoir un tel blackout, et surtout, alcoolisée ou pas, elle ne ferait pas ça à Jeremiah. Et à côté, elle est égoïste, la nymphe, elle se laisse porter par ses gestes, elle dépose un baiser à l’angle de la mâchoire du sorcier, son corps ondulant légèrement, comme en réponse aux gestes de Jem. « L’autre solution serait de se laisser porter … tout simplement.. » Il y a Thyia la raisonnable, et Thyia la tentatrice, celle qui a, déjà par le passé, tiré le charmant sorcier jusque ses draps. Et pourtant, elle a cette sensation étrange, qu’elle ne parvient pas à expliquer : Celle d’être une autre femme encore, irrémédiablement attirée par Jem, celle qui déjà, doucement, parcoure son corps du bout des doigts. « Qu’est-ce qu’on fait, Jem … ? » Tout dans ses gestes trahit son choix à elle, Thyia. La différence c’est qu’elle ne s’affole pas de la situation, parce qu’elle n’y voit rien de contre nature.
Battle cry Seconde vue: Active Niveau de compétence: (57/77) Compétences:
PRO MUNDI BENEFICIOJeremiah Fitz
Je suis à Chicago depuis le : 04/05/2016 et j'ai déjà payé : 684 factures et gagné : 635 gains. Il paraît que : Jamie Bell est mon double. Schizo je joue aussi : Lehr O'Siodhachain. On m'appelle : Luiyna et pour mon profil je remercie : Shiya & Tumblr.
Je suis : en train de tomber pour les beaux yeux d'une louve
Sujet: Re: What the f***ing hell ?! Mer 11 Jan - 1:19
❝I wish it need not have happened in my time. ❞
- Thyia & Jeremiah -
So do I, and so do all who live to see such times. But that is not for them to decide. All we have to decide is what to do with the time that is given us.
Dans la nuit du 18 au 19 Décembre 2016.
À l’instant où le sorcier reconnait la nymphe des dizaines de questions se percutent dans son esprit. Que font-ils là ? Et où est-ce là ? Comment est-ce arrivé ? Pourquoi son corps semble être « habitué » à cette situation ? Si son esprit sait que cela fait longtemps, son corps lui ne semble pas ressentir la même chose. Cette dissociation lui semble étrange. Mais ce qui l’inquiète surtout c’est de constater que la nymphe n’a pas l’air d’en savoir plus que lui. Et quand vous êtes avec un être qui a plus de deux millénaires d’existence c’est généralement une mauvaise nouvelle quand elle-même n’a pas la moindre idée de ce qui se trame. « Ce n’est pas chez moi. » constate-t-elle, en est-elle si sûre ? On jurerait que cette pièce a été aménagée à ses goûts, mais aussi… à ceux du sorcier. Ça n’a pas de sens. « Chez moi non plus… pourtant… on dirait presque que ç’a été fait pour nous… ensemble. » réfléchit-il à voix haute. Tout ceci l’agace fortement, il déteste ne pas comprendre ce qu’il se passe.
Son esprit réfléchit à mille à l’heure pour tenter de remettre chaque pièce en place. Il est coupé dans ses réflexions par la remarque de son amie au fait qu’elle ne rêve plus depuis longtemps, malgré lui il a tourné son visage vers elle. Un regard presque compatissant, il est vrai qu’il ne rêve pas beaucoup, ses songes sont bien souvent peuplés de cauchemars, des pires souvenirs qu’il possède. Mais il lui arrive encore parfois de rêver, réellement rêver. Cela dit depuis qu’Octavia revit à ses côtés il ne se couche jamais s’en boire avant une potion qu’il se prépare pour s’assurer qu’il dormira sans le moindre songe, il ne peut se permettre de se réveiller en hurlant en pleine nuit alors qu’ils dorment ensemble. D’autant qu’il lui était déjà arrivé de s’éveiller en étant littéralement en feu, ses draps avec.
Malgré cette interruption mentale, il finit par comprendre, et Thyia aussi semble arriver à la même conclusion. En cet instant il a besoin d’être rassuré, il a besoin d’elle, son amie de toujours. Une des rares personnes qui l’ait connu pratiquement toute sa vie de sorcier. Même si elle a loupé une bonne partie du dernier siècle, une part de l’anglais a toujours su qu’il pouvait compter sur elle, qu’elle serait toujours là pour lui. Avant que l’arrivée d’Octavia ne commence réellement à le changer, le fait que la nymphe soit toujours à veiller sur lui l’avait d’ailleurs bien souvent agacé. Mais elle avait eu raison à l’époque, il n’était plus vraiment lui, celui qu’elle avait connu, l’homme qui pouvait être aimant et tendre. Ce qui lui fit prendre conscience d’une autre chose. La douleur dans son cœur avait totalement disparue, comme si… comme si elle n’avait jamais existée. Aucune rage intérieure qui menaçait de le submerger d’un instant ou l’autre. Rien. Juste lui. C’est à peine s’il l’entend répondre à sa précédente question. Il ne revient vraiment au présent que lorsqu’il sent ses lèvres se poser sur sa peau. Un frisson le parcours le long du dos jusque dans le creux des reins, éveillant des instincts plus primaires.
Alors une autre question s’impose à son esprit, et maintenant ? Plongeant son regard de la nymphe alors qu’elle recule son visage pour lui répondre. Le cœur du sorcier s’accélère alors qu’il sent son souffle chaud sur sa peau. Oui, se lever, chercher des réponses. C’est la meilleure chose à faire, il le sait, elle le sait. Mais cette considération disparait bien vite alors qu’elle dépose un nouveau baiser, plus près de sa bouche cette fois, mais pas encore tout à fait. Il sent son corps onduler contre le sien, en réponse à son précédent mouvement. Provocation contre provocation. « L’autre solution serait de se laisser porter … tout simplement… » ajoute-t-elle alors que ses doigts reviennent parcourir son corps. « Qu’est-ce qu’on fait, Jem … » l’interroge-t-elle, la même question, posée différemment. Le sorcier sait déjà qu’elle est sa réponse à elle et c’est exactement la même que la sienne. Une part de son esprit continue d’essayer de lui rappeler que quelque chose cloche, mais une autre l’assaille de souvenirs qu’il ne reconnait pas, comme des flashs d’un passé qu’il n’a pas vécu. Il reconnait cette pièce, et encore une fois ils sont enlacés comme ils le sont actuellement. Ajouté à son corps qui se rappelle la sensation de la peau douce de Thyia contre la sienne, et la résistance du sorcier déjà bien entamée à l’instant où il s’est réveillé ici cède totalement.
chaleur dans mon corps :
Il ne prend même pas la peine de lui répondre et l’embrasse avec une passion nouvelle. Il l’embrasse comme il ne l’a jamais embrassé auparavant, insufflant autant de désir que d’amour à son baiser. Il ne tarde pas à reprendre les mouvements de bassins, allant et venant en elle, avec tendresse, presque lentement, précautionneusement. Ses mains viennent caresser ses courbes, comme pour la redécouvrir, l’une d’elle remonte à son sein, quand l’autre descend jusqu’à ses fesses, glissant sur sa cuisse, s’en saisissant d’une main ferme il fait passer la jambe de la nymphe dans son dos, il veut qu’elle l’enserre entre ses cuisses, ils ne font déjà plus qu’un mais il veut que chaque parcelle de leur peau se touchent, il veut se sentir plus serrer encore contre son corps. Il quitte ses lèvres, seulement pour venir goûter le reste de sa peau, comme si c’était la première fois, il longe la ligne de sa mâchoire déposant des baisers humides, fiévreux, désireux, jusqu’à descendre dans son cou qu’il mordille légèrement alors qu’il vient donner un coup de rein un peu plus vigoureux. Son souffle redevient plus court, son cœur bat à un rythme effréné alors qu’il revient capturer les lèvres de Thyia, ne tardant pas à entrouvrir la bouche pour venir insinuer sa langue dans la sienne, venant jouer avec. Ses deux mains viennent glisser sur ses hanches, caressant ses courbes, les empoignant comme s’il avait besoin de la toucher, de la tenir, comme si elle était l’ancre qui la gardait dans ce monde. Ses gestes se font plus profonds, plus rapides, il en veut plus, encore plus d’elle, de lui, d’eux. Il ne comprend pas d’où lui vient ce besoin, il n’avait jamais ressenti ça auparavant. C’était des émotions nouvelles qu’il ressentait en ce moment, et il en était… heureux ? Oui. C’était ça. Des râles de plaisir vinrent franchir ses lèvres, pour se répercuter directement contre celles de la nymphe. Il ne voulait pour rien au monde que cet instant s’achève. Il était bien là, maintenant, il se sentait libre, léger, soulagé de toute la douleur avec laquelle il avait toujours vécu depuis elle. Autrefois le simple fait de penser à elle entraînait un élan de tristesse lui broyant le cœur, mais là, rien. Comme si son corps ne comprenait pas, ne savait pas, qui elle était, et ne réagissait donc pas.
Battle cry Seconde vue: Active Niveau de compétence: (61/77) Compétences:
COMINUS ET EMINUSThyia Zacharias
“A little bit dangerous, but baby THAT'S HOW I WANT IT
Je suis à Chicago depuis le : 23/06/2016 et j'ai déjà payé : 120 factures et gagné : 306 gains. Il paraît que : Lauren Calaway est mon double. Schizo je joue aussi : Megara Nichols, la belle rouquine. On m'appelle : dreamy, ou mélanie pour les intimes, et pour mon profil je remercie : moi-même - Dreamy (avatar+gifs) + endlesslove (sign)
Je suis : Célibataire
Thyia, nymphe et plus précisément naïade du petit peuple, fille de la haute dirigeante des nymphes de Grèce et d'un chevalier de la Cour des Lumières, elle porte le surnom de "petite princesse de la nature" auprès de ses semblables ⊰ Si en apparence elle ressemble à une belle jeune femme de 25 ans, elle est née aux environs du sixième siècle avant Jesus Christ, à l'époque de la mythologie grecque. Elle a de ce fait dépassé les deux mille six cent ans ⊰ Très engagée dans la défense de la nature, sa dévotion envers la planète va au delà de sa dévotion envers les êtres vivants. D'un tempérament très doux, elle méprise tous ceux qui bafouent l'équilibre naturel ⊰ Herboriste, elle arpente le monde et les royaumes en quête de plantes médicinales, poudres démoniaques, et tous les ingrédients qu'on peut lui demander ⊰ elle ne prend aucun parti dans la guerre qui oppose les néphilims au nouvel ordre ⊰ sa loyauté ne va qu'à ses semblables et à la nature ⊰ Elle est maman d'une faerie, Aeris, qu'elle a eu d'une liaison passionnelle avec un terrestre au dix-huitième siècle ⊰ Après des décennies passées auprès de Thyia et de leur fille dans le royaume des faeries, le terrestre a fini par se donner la mort, ne supportant pas cette vie prolongée, et nostalgique du monde terrestre ⊰ depuis, Thyia n'est pas retombée amoureuse ⊰ ses cheveux et ses ailes changent de couleur en fonction de ses humeurs, et ses yeux apparaissent d'un bleu plus ou moins sombre également.
LES REBELLES
Coming
LES INSIPIDES
Elle fournit Lehr en herbes diverses, et en retour, il la fourre. (que de poésie, lel.) + Dakin possède une place particulière dans le coeur de la belle nymphe. En 700 ans, ils ont été bien des choses. Amants, puis amis. Elle a été sa première fois, et surtout, elle l'a guidé lorsqu'il n'était qu'un jeune sorcier dérouté par ses dons. Leur neutralité dans cette guerre va de paire avec tout ce qu'ils ont déjà vécu. +
LE NOUVEL ORDRE
Voilà bien des siècles qu'elle connaît Jeremiah avec qui elle a eu quelques écarts. Seulement, elle ne reconnaît plus la froideur du sorcier, et lui rappelle que perdre un être cher ne doit pas changer qui on est.
Sujet: Re: What the f***ing hell ?! Ven 13 Jan - 19:42
We could be lovers
Only in another life.
Nuit du 18 au 19 Décembre 2016.
S’il y a une chose que Thyia n’aime pas, c’est ne pas savoir dans quelle situation elle se trouve, quand les choses échappent à son contrôle. Quand on dépasse son second millénaire, on prend habitude de ne plus s’étonner de rien, quand bien même la belle immortelle s’est toujours penchée sur les curiosités de son siècle pour ne jamais plonger dans l’ennui. Mais les surprises incongrues, celles qu’elle n’a pas prévues ? Non, ça, ça ne passe pas. Sauf peut-être.. Leur situation actuelle. Allez savoir pourquoi, plutôt que de s’offenser, de chercher à comprendre pourquoi diable est-elle entièrement nue dans les bras de son ami sorcier, elle aime ça, une part d’elle tente de la résoudre au silence, de la pousser, discrètement, à profiter de l’instant. Et pourtant, elle continue de s’interroger, constate avec désarroi qu’elle n’est pas chez elle. Cependant … « Chez moi non plus… pourtant… on dirait presque que ç’a été fait pour nous… ensemble. » La belle hoche la tête, constatant en effet qu’elle aurait pu décorer elle-même cette pièce qu’elle aurait été semblable… A quelques détails près. Qui ressemblent d’avantage au style et aux goûts de Jeremiah.
La nymphe ne réagit pas au regard emplit de compassion que lui lança son ami lorsqu’elle avoua ne plus rêver, ou du moins, extrêmement rarement. Elle n’a pas dit ça pour attirer la pitié de Jem, mais d’avantage comme une réalité : Elle dort peu, ne rêve pas beaucoup, et ce qu’elle aimerait voir en rêve, elle se contente de se l’apporter seule, et en réalité, grâce à ses dons : La nature, belle, florissante, comme certains recoins de cette pièce, d’ailleurs, fleuris, colorés, entrelacés de racines verdoyantes pour créer un véritable mur végétalisé. Elle constate que la tête du lit dans lequel ils se trouvent est, par ailleurs, jonchée de lierre et de roses pourpres. Le genre de lierre et de roses que Thyia se plait à faire pousser chez elle. Cette observation fait froncer les sourcils de la jolie faerie, qui tend une main pour effleurer la rose du bout des doigts. Jusqu’à ce que Jem comprenne, et rapidement, elle aussi, ce qui a pu les faire arriver ici. Rêve, sort, réalité alternative, sommeil ensorcelé, il y a bien des explications qui pourraient conduire à ce qu’ils habitent ensemble. Mais elle avoue, d’une voix calme, relativement peu paniquée par la situation, qu’elle ne sait pas exactement ce qu’ils ont fait. D’abord, parce qu’elle n’a pas exécuté de sort, ou du moins, aucun sort majeur. Outre changer la couleur de son verre du bout des doigts, l’immortelle n’a pas joué de sa magie féerique. Elle sent l’agitation de son ami, et Thyia veut réagir, l’aider, l’apaiser. Mais plutôt que d’user simplement de paroles rassurantes comme elle sait si bien le faire d’ordinaire, des instincts qu’elle ignore la poussent plus loin, quand elle pose ses lèvres contre le cou de Jeremiah. Il frissonne, elle le sent, et … Elle s’en délecte. Elle aime cette influence qu’elle a sur lui, elle aime se rappeler de l’effet qu’elle lui fait.
Et elle qui songeait le plus sérieusement du monde à se lever pour aller chercher cette solution, pour aller chercher une explication, ses pensées s’évaporent dès lors qu’elle laisse son corps prendre le contrôle. Car son premier baiser laisse rapidement place à un autre. Le contact de la peau de Jeremiah contre la sienne l’encourage vite à onduler contre lui, à perpétuer ce contact existant entre eux. Non, la réalité, c’est qu’elle ne veut pas que ça s’arrête. Et pourtant son esprit lutte, à Thyia, termine sa phrase, demande à Jem de l’aider à choisir, alors que son regard trahit déjà sa réponse, celle de la nymphe comme celle du sorcier. Immortels ou non, il est des choses contre lesquelles on ne peut lutter.
chaud chaud chaud:
Et la seconde suivante, ses lèvres s’écrasent contre celles de la nymphe, qui ne se fait pas prier, s’agrippe au sorcier, soulève son bassin pour aller à la rencontre de celui de Jem avec une passion qu’elle ne se reconnait pas. Bien sur, Thyia a toujours été passionnée sous la couette, mais il y a autre chose dans ses gestes, dans ses soupirs alors que Jeremiah va et vient en elle, elle n’a pas l’impression de redécouvrir le sexe avec son ami, au contraire, elle a l’impression que c’est habituel, que ses mains ont leur place le long de sa peau nue, lui arrachant des frissons le long de son échine. Docile, elle le laisse s’accrocher fermement à sa cuisse, qu’elle remonte jusque son dos auquel elle s’accroche, serrant plus fort leurs étreintes, l’encourageant même à faire des gestes plus prononcés en elle, elle qui étouffe un juron en grec contre ses lèvres. Et elle se cambre, Thyia, gémit en plaquant ses deux mains dans le dos de l’anglais dont les lèvres glissent, explorent, parcourent l’angle de sa mâchoire jusqu’à atteindre son cou. Et les ongles s’ajoutent dans le dos du sorcier, ses cuisses se serrent plus fort autour de lui au contact de ses dents contre son cou, elle défaille, elle en veut plus, toujours plus, elle a tout oublié de ses résolutions d’il y a quelques minutes, elle le veut lui, tout simplement.
Elle murmure son prénom, dans une supplique, un appel, un souffle teinté de désir tandis que son cœur s’affole sous les gestes du sorcier. C’est comme s’il savait exactement comment lui faire perdre la tête, mais il la fait vite taire, lèvres contre celles de la nymphe, leurs langues danse, les ongles de Thyia relâchent son dos, une remontant jusque sa nuque, l’autre longeant la colonne vertébrale du sorcier du bout des doigts, d’une subtilité contrastant parfaitement avec l’intensité de leurs ébats. Il est à elle. Voilà qu’elle a ce soudain sentiment de possession quand elle le serre entre ses bras, quand elle l’embrasse à en perdre haleine, quand il vient s’accrocher à ses hanches, ses gestes si brusques qu’elle est incapable de rester silencieuse, peu importe où ils se trouvent. Elle est à lui. C’est chez eux, c’est leur monde, plus rien ne compte. Et ces pensées filtrent avec un naturel tel que de prime abord, ça ne choque même Thyia, au contraire, elle s’enhardit même. Elle s’appuie sur ses coudes, l’immortelle, appuie de ses mains pour convaincre le sorcier de se redresser sans séparer leur étreinte, les longues mèches de la nymphe dansant autour d’elle, plus colorées que jamais, son regard cristallin, et pourtant, aussi clair soit-il, il semble presque enflammé. Elle le pousse à s’asseoir, s’installe au-dessus de lui, en tenue d’Eve, son corps revenant onduler sensuellement contre celui de son amant. Et elle aime Thyia, elle aime le goût de sa peau sous ses lèvres quand elle embrasse son cou, le mord, doucement, pour laisser une trace légère, quand elle remonte jusque son oreille pour venir en jouer avec le lobe, et qu’elle le serre contre elle avec une tendresse évidente, une passion dévorante.
Battle cry Seconde vue: Active Niveau de compétence: (57/77) Compétences:
PRO MUNDI BENEFICIOJeremiah Fitz
Je suis à Chicago depuis le : 04/05/2016 et j'ai déjà payé : 684 factures et gagné : 635 gains. Il paraît que : Jamie Bell est mon double. Schizo je joue aussi : Lehr O'Siodhachain. On m'appelle : Luiyna et pour mon profil je remercie : Shiya & Tumblr.
Je suis : en train de tomber pour les beaux yeux d'une louve
Sujet: Re: What the f***ing hell ?! Sam 14 Jan - 4:20
❝I wish it need not have happened in my time. ❞
- Thyia & Jeremiah -
So do I, and so do all who live to see such times. But that is not for them to decide. All we have to decide is what to do with the time that is given us.
Dans la nuit du 18 au 19 Décembre 2016.
Le sorcier a conscience que quelque chose ne va pas, qu’ils ne devraient pas être là, où qu’ils soient. Et il ne songe pas seulement à cette situation –eux deux dans un lit– mais à cet endroit dans son ensemble. Peu à peu ils ont commencé à fait le lien avec ce qui a pu se passer à cette soirée entre immortels. Forcément. Une part de lui s’accroche à cela, veut comprendre ce qu’il se passe, pourquoi eux deux, pourquoi comme ça ? Mais cette part de lui s’efface peu à peu, perdant du terrain face au désir et à la passion du corps. Son esprit lui souffle qu’il ne devrait pas céder à cette tentation que représente le corps de la nymphe et cette attirance qu’ils ont toujours eu l’un envers l’autre, mais son instinct, lui, lui dicte une toute autre chose : que tout ça est normal, naturel et parfaitement habituel. Et quand l’anglais sent les lèvres de la nymphe sur sa peau, tout en lui cri que c’est vrai. Il n’écoute plus rien d’autre en cet instant, tout ce qui compte à présent c’est ce corps contre le sien, ils auront le temps de se soucier du reste plus tard.
Oulalah :
Chaque geste est imprégné autant de douceur et d’amour que de passion et d’ardeur, comme un amour passionné qui ne se serait jamais affadi. Chacune des caresses de la nymphe lui déclenche un frisson dans le creux des reins, comme s’il était encore possible d’augmenter son désir en cet instant alors qu’il se consume déjà pour elle. Ils se perdent dans le plaisir, ne se retenant plus de l’exprimer, ni l’un, ni l’autre. Il murmure son prénom, encore et encore, ce prénom qui semble comme une caresse à sa propre oreille. Une certitude s’impose à lui, elle est sa Thyia, il la possède, personne d’autre que lui n’a le droit de la toucher comme il le fait, ni même de la regarder avec autant de désir que celui qui enflamme son regard en ce moment. Elle est magnifique, elle et sa douce peau d’opale, ses yeux clairs, sa bouche pulpeuse, ses courbes voluptueuses et ses cheveux multicolores étalés sur les draps pourpres. Elle est magnifique et elle est sienne. Elle est sa Reine. Cette pensée lui fait légèrement perdre le fil, comme un bug dans la matrice. Dont il oublie tout quand il sent les mains de sa déesse le repousser en arrière pour le faire s’asseoir. Il est plus que ravi de lui obéir, l’enserrant contre son corps pour ne pas prendre le risque de rompre leur étreinte il se redresse et la laisse venir le chevaucher alors qu’elle ne perd pas une seconde reprenant le mouvement comme s’il ne s’était jamais interrompu. Les mains du sorcier vont et viennent le long du corps de la nymphe, tantôt des caresses légères, à peine un effleurement, tantôt il l’empoigne comme s’il ne supportait plus de ne faire que l’effleure, comme un besoin de la marquer, de la posséder plus encore. Ses doigts se crispent sur son corps quand elle vient lui mordre doucement le cou avant de remonter jusqu’à son oreille, il l’encourage à approfondir ses ondulations contre son corps en accentuant sa prise sur ses hanches, la resserrant contre son corps, peau contre peau, et presque âme contre âme. Ses mains remontent le long de sa taille, avant de venir longer sa colonne vertébrale, il se recule très légèrement pour pouvoir contempler son corps qui bouge contre le sien, avant que son visage ne se rapproche de sa poitrine. Sa bouche se pose sur le gauche, l’embrassant, le suçant, tandis que sa main caresse l’autre, ses doigts venant titiller ce bout de chair durcit par le plaisir, alors que ses lèvres ont saisi l’autre, le suçotant, le mordillant légèrement avec douceur, à peine un léger pincement, savant mélange entre douleur et plaisir. Puis sa bouche passe à l’autre sein, sa main droite venant s’occuper de celui qu’il délaisse, et c’est le même manège qui recommence. Les gestes lui semblent naturels, comme s’ils avaient l’habitude de les effectuer ensemble, tout dans cette situation lui donne un sentiment de normalité, alors qu’une petite part de lui-même continue à avoir conscience que rien ne l’est, mais face à ces vagues de plaisir qui déferlent en lui en même temps que les ondulations de la nymphe, cette part de lui semble bien dérisoire pourtant elle est là, persistante.
Soudain, sorti de nulle part un flash s’impose à lui, il est à la Cour Seelie avec une des tenues ridicules des faeries, comme s’il assistait à une de leur cérémonie en tant que membre plutôt qu’invité. Une musique solennelle s’élève, des portes s’ouvrent et Thyia entre. La salle entière s’incline, même lui a un léger mouvement de tête, alors que la nymphe s’avance droite et fière. Elle vient s’installer sur le trône alors qu’il vient se positionner à ses côtés, une main sur son épaule, qu’elle entoure de la sienne. Reine. Thyia est la Reine Seelie et il est… Roi ? De ça il n’est pas bien sûr, en tout cas il est sien. Revenu à lui, enfin, façon de parler puisqu’il ne sait pas vraiment qui il est en cet instant il relève la tête pour venir plonger son regard de la nymphe. « Mienne. » souffle-t-il d’une voix possessive et rendue rauque par le désir. Ses bras reviennent la serrer contre son corps alors que sa bouche embrasse chaque parcelle de peau accessible sans briser cette étreinte.
Battle cry Seconde vue: Active Niveau de compétence: (61/77) Compétences:
COMINUS ET EMINUSThyia Zacharias
“A little bit dangerous, but baby THAT'S HOW I WANT IT
Je suis à Chicago depuis le : 23/06/2016 et j'ai déjà payé : 120 factures et gagné : 306 gains. Il paraît que : Lauren Calaway est mon double. Schizo je joue aussi : Megara Nichols, la belle rouquine. On m'appelle : dreamy, ou mélanie pour les intimes, et pour mon profil je remercie : moi-même - Dreamy (avatar+gifs) + endlesslove (sign)
Je suis : Célibataire
Thyia, nymphe et plus précisément naïade du petit peuple, fille de la haute dirigeante des nymphes de Grèce et d'un chevalier de la Cour des Lumières, elle porte le surnom de "petite princesse de la nature" auprès de ses semblables ⊰ Si en apparence elle ressemble à une belle jeune femme de 25 ans, elle est née aux environs du sixième siècle avant Jesus Christ, à l'époque de la mythologie grecque. Elle a de ce fait dépassé les deux mille six cent ans ⊰ Très engagée dans la défense de la nature, sa dévotion envers la planète va au delà de sa dévotion envers les êtres vivants. D'un tempérament très doux, elle méprise tous ceux qui bafouent l'équilibre naturel ⊰ Herboriste, elle arpente le monde et les royaumes en quête de plantes médicinales, poudres démoniaques, et tous les ingrédients qu'on peut lui demander ⊰ elle ne prend aucun parti dans la guerre qui oppose les néphilims au nouvel ordre ⊰ sa loyauté ne va qu'à ses semblables et à la nature ⊰ Elle est maman d'une faerie, Aeris, qu'elle a eu d'une liaison passionnelle avec un terrestre au dix-huitième siècle ⊰ Après des décennies passées auprès de Thyia et de leur fille dans le royaume des faeries, le terrestre a fini par se donner la mort, ne supportant pas cette vie prolongée, et nostalgique du monde terrestre ⊰ depuis, Thyia n'est pas retombée amoureuse ⊰ ses cheveux et ses ailes changent de couleur en fonction de ses humeurs, et ses yeux apparaissent d'un bleu plus ou moins sombre également.
LES REBELLES
Coming
LES INSIPIDES
Elle fournit Lehr en herbes diverses, et en retour, il la fourre. (que de poésie, lel.) + Dakin possède une place particulière dans le coeur de la belle nymphe. En 700 ans, ils ont été bien des choses. Amants, puis amis. Elle a été sa première fois, et surtout, elle l'a guidé lorsqu'il n'était qu'un jeune sorcier dérouté par ses dons. Leur neutralité dans cette guerre va de paire avec tout ce qu'ils ont déjà vécu. +
LE NOUVEL ORDRE
Voilà bien des siècles qu'elle connaît Jeremiah avec qui elle a eu quelques écarts. Seulement, elle ne reconnaît plus la froideur du sorcier, et lui rappelle que perdre un être cher ne doit pas changer qui on est.
Sujet: Re: What the f***ing hell ?! Sam 18 Fév - 9:37
We could be lovers
Only in another life.
Dans la nuit du 18 au 19 Décembre 2016.
Un sort qui a mal tourné, elle ne voit pas ce que ça peut être d’autre. La magie peut-être imprévisible comme elle peut être inoffensive, et de toute évidence, leur soirée de la veille en était la preuve. Des sorts sans grand danger, manipulations légères de la réalité pour leur divertissement, avaient fini par les envoyer, probablement, dans un autre monde. Mais alors où sont les autres, que font-ils ici tous les deux, et surtout, où sont-ils ? Les questions se mélangent, puis s’effacent. Aussi âgée soit-elle, l’immortelle a des faiblesses, et la position dans laquelle ils sont tous les deux lui fait perdre pied. Lentement, elle bascule, Thyia, elle se perd dans ce monde, elle se perd dans les bras de son ami. De son amant. Elle ne sait plus. Tout ce dont elle a conscience, c’est le désir qu’elle éprouve pour le sorcier dans cet instant, alors qu’il semble céder à son tour à la situation dans laquelle ils se trouvent tous deux.
Cache toi les yeux:
Ses ongles se promènent contre une peau qu’elle semble connaître par cœur, s’agitent et l’éveillent comme elle sait si bien le faire. L’espace d’un instant, Thyia se rassure : Ils ont déjà vécu de tels égarements tous les deux, à l’époque lointaine où ils étaient des voyageurs, immortels instables, allant de pays en pays sans se poser, dans un monde sans technologie, bien loin du 21ème siècle. Mais sa confiance s’évapore quand elle gémit son prénom, quand elle pose sur Jeremiah un regard amoureux. Thyia aime, Thyia désire, d’une puissance qu’elle n’a jamais connue, et ça n’a pas le moindre sens. Déroutée, elle chasse ces pensées qu’elle juge néfastes en repoussant le sorcier en arrière, venant délicatement prendre place au-dessus de lui, tandis qu’il semble savoir exactement comment la réceptionner, la laisser trouver ses marques dans cette position, onduler à nouveau sans ménagement, s’octroyant une nouvelle vague de plaisir. Elle en a désormais la certitude : Elle sait ce qu’elle fait car elle l’a déjà fait bien souvent, car il lui appartient, entièrement, et ce depuis bien longtemps. La poigne du sorcier contre sa peau la ramène sur Terre, son corps se soulève et redescend avec brusquerie, ses lèvres viennent mordre la peau de Jem, elle marque son territoire, rappelle qu’il est à elle, qu’il est entré dans son monde, qu’elle en a fait son roi contre l’avis de la Cour. Le regard clair de la nymphe s’ouvre plus grand, et la voilà submergée par de nouveaux souvenirs d’une vie qui ne lui appartient pas. Une vie où Jeremiah Fitz vit avec elle depuis bien longtemps, et où Thyia l’aime, passionnément. Ses mains accrochées à ses épaules, Thyia s’écarte légèrement, son corps surplombant celui de Jem, pour mieux le regarder, lire le désir qui l’anime tandis qu’elle bouge son bassin, ses lèvres entrouvertes, en quête d’air. Et elle sourit, l’immortelle, elle sourit car elle voit dans les traits de Jeremiah le reflet parfait de ce qu’elle éprouve : Ferveur, passion, amour. Il approche son visage de son buste, ses lèvres et sa main partant à l’assaut de sa poitrine, venant titiller subtilement cette zone érogène de la faerie qui étouffe un juron en grec. Il aspire, suçote, affole le cœur de la nymphe du bout de ses lèvres et de ses doigts experts qui font rouler la seconde extrémité, tendue par le désir. Et il alterne, recommence, Thyia gémit, souffle, murmure à nouveau son prénom, tête penchée en avant, son regard rivé sur le sorcier qui la rend complètement folle. Elle aime tant le voir ainsi qu'elle pourrait passer l'éternité dans leur lit. Ses mouvements de bassin deviennent plus lents, plus prononcés, aussi. Elle comprend, Thyia, qu’ils sont dans leur chambre, et cette pensée se renforce lorsque Jem relève les yeux vers elle, et ne prononce qu’un seul mot : « Mienne. » Le cœur de l’immortelle se soulève, s’emballe, tandis qu’elle gémit à nouveau, penche le cou pour laisser son souffle, ses lèvres s’abattre contre sa peau. Ses gestes deviennent plus sensuels, plus lents, tandis que du bout de ses lèvres, elle embrasse le creux de son épaule. Puis vient un murmure, une réponse. « Je t’appartiens, mon amour. » qu’elle finit par dire en venant cueillir ses lèvres tendrement, sa langue venant s’entremêler à celle de son époux sans hésiter. Elle recule quand un nouveau gémissement lui échappe, plus prononcé, et que finalement elle accélère, soufflant fort, se moquant que quiconque puisse l’entendre crier son plaisir quand finalement, elle se laisse aller à son plaisir dans un orgasme dévastateur, son corps ne cessant de bouger bien que tremblant, jusqu’à ce que Jem la suive. Elle l’aime. Elle l’aime tellement