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 Mission Omicron (Elyseo O'Malley + Axel Foster)

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Battle cry
Seconde vue: Active
Niveau de compétence:
Mission Omicron (Elyseo O'Malley + Axel Foster) Diustb565/77Mission Omicron (Elyseo O'Malley + Axel Foster) 4qREeA0  (65/77)
Compétences:
Magnus Bane
MANET ULTIMA CAELO
MANET ULTIMA CAELOMagnus Bane
Je suis à Chicago depuis le : 04/06/2016 et j'ai déjà payé : 50 factures et gagné : 30 gains. Il paraît que : Harry Shum Jr. est mond double. On m'appelle : le meilleur des sorcier et pour mon profil je remercie : Shiya.

Je suis : célibataire
Sujet: Mission Omicron (Elyseo O'Malley + Axel Foster)   Mer 7 Sep - 21:13


MissionOmicron

PARTICIPANTS @Elyseo O'Malley & @Axel Foster

Vous comptiez sortir de chez vous, pour vous rendre à votre rendez-vous. Vous êtes déjà en retard, mais alors que vous claquez la porte d'entrée, vous entendez des bruits bizarres se déroulant un peu plus loin. Puis, un cri perçant vous glace le sang, et vous scie sur place. Que faites-vous ? Poussé par la curiosité, vous allez voir histoire de porter secours si besoin, mais lorsque vous arrivez sur place, vous découvrez...(à vous d'inventer la suite)

lux tenebris copyright 2016 © any copy authorized

Anonymous
InvitéInvité
Sujet: Re: Mission Omicron (Elyseo O'Malley + Axel Foster)   Sam 10 Sep - 20:02


       
ft. Elyseo & Axel

       
Mission Omicron

       
       

       

      Il existe deux variétés de personnages qui hantent les ruelles une fois la nuit tombée : les idiots et les imbéciles. Les premiers ne font de mal à personne sinon à eux-même : les deuxièmes tentent par tous les moyens d'étendre ce qu'ils comptent s'infliger à d'autres. Si possible l'entourage proche ou atteignable le plus rapidement possible.
Ce soir, c'est sur toi que cette chance extraordinaire est tombée : c'est toi la supposée 'victime', même si le seul sang au sol provient de ton 'agresseur'. C'est toi qui devrait trembler de peur devant lui, du moins c'est ce que tu tentes de lui expliquer avec un sourire sardonique qui renforce sa terreur et lui fait pousser un cri tellement aigu qu'il t'enlève une bonne partie de ton ouïe et t'oblige à grimacer pour tenter de protéger le reste.
Il croyait tomber sur le jackpot : silhouette mince, jeune, allure de minet et minois gentillet. Le stéréotype du fils de riche qui s'était égaré et dont il comptait tirer un bon prix à force de menaces et de maniement d'une lame de 10cm dont il semblait fier.
Erreur fatale. Le joli minois dissimulait quelques dents acérées que tu as fait grincer : la ballade du soir s'est transformée en pugilat de rue et entraînement improvisé, le but du jeu étant de faire tomber le moins de sang en infligeant le plus de mal à cet imbécile né de la première heure qui pensait réellement pouvoir faire le poids face à un Faerie. Cela lui apprendra la politesse à défaut de lui prodiguer quelques neurones supplémentaires dont il aurait pourtant fort besoin !
Tournant autour de ta proie du moment, enfin libéré d'une chaîne que l'autre demeuré t'avait collé au cou durant les trois derniers jours, en bon maître se réjouissant de son docile petit animal de compagnie, tu jouis d'une liberté de mouvement et d'une force nouvelle maintenant que ton sang s'est régénéré. Tu te sens puissant et tu aimes cet enivrement des sens et cette impression d'être capable de tout faire.

Il n'a que quelques coupures mais visiblement, ta rapidité et ta férocité l'ont... ému ? Comme c'est touchant ! Pour un peu, tu le prendrais dans tes bras avant de lui planter tes dents dans le cou : si tu n'en es pas encore réduit à boire le sang comme ton maître, tu sais que tu aimerais goûter au sien, juste pour savoir. Comprendre ce qui intéresse tant l'Autre. Ce qui l'émeut quand il boit à ton cou... Tu as vu ses yeux se changer, tu as senti son souffle sur ta peau s'accélérer et tu connais la sensualité qui émane de son corps tout entier quand il te prend après ces instants diaboliques, vidé de toute énergie mais suffisamment alerte pourtant pour sentir tes hanches onduler contre lui. Tu aimerais comprendre ce que le sang lui apporte, lui qui est cette créature si différente de toi et pourtant désormais si proche...
Alors tu es à deux doigts de le faire, ou plutôt deux pas qui te séparent encore de l'individu qui tentait de te détrousser, fort maladroitement. Et tu y restes, car tu sais que si tu commences, tu ne sauras pas faire demi-tour. Ton sourire s'agrandit et devient carnassier : la bête se réveille en toi, l'animal des mers qui savait si bien s'amuser avec ses proies autrefois redevient un peu plus tangible sous ta forme humaine et tu ris subitement de le voir ainsi terrifié. Il doit comprendre que quelque chose ne va pas : tu es trop rapide et bien trop fort pour un fils de riche habituel, un étudiant minet qui passerait sa vie à s'amuser en boîte et assis sur les bancs de l'université. Tu respires une suffisance qui commence à l'inquiéter... et l'effrayer.
Et s'il comprend qu'il a affaire à quelqu'un d'extraordinaire, toi tu te sens réellement dépité d'avoir affaire au commun des mortels, plus bête que la moyenne et terriblement ennuyant quand il se met à hurler de peur.
Des cris qui risquent d'ailleurs d'ameuter le voisinage : tout cela pour quelques gouttes de sang, c'est à mourir de rire. Tu en perds des litres chaque mois pour satisfaire ton maître, alors ne peut-il pas se montrer moins 'chochotte' et participer à l'effort collectif ?

" Voyons très cher, pourquoi crier ainsi ? Tu voulais me faire du mal et ça s'est retourné contre toi : ne trouves-tu pas cela... très ironique ?"


Ton sourire devient rire et tu t'écartes d'un pas... Un seul, qui permet à la lumière d'un lampadaire non loin d'éclairer ta pauvre victime agenouillée au sol, le visage en sang et quelques doigts retournés de manière... peu anatomique, de toute évidence.  

" Moi, j'adore l'ironie !"


Tu le lances dans la ruelle, cela se répercute contre les murs et atteint l'oreille d'un indésirable. Peu t'importe : tes yeux ne quittent pas ceux de ton jouet du moment. Et tant pis pour lui...



       
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
       


Mots : 873
Anonymous
InvitéInvité
Sujet: Re: Mission Omicron (Elyseo O'Malley + Axel Foster)   Lun 12 Sep - 17:21


Je crois que je ne me suis jamais habillé aussi vite de toute ma vie. Il faut dire que je n'ai jamais réellement été en retard à ce point avant non plus. Je sais que je ne suis pas parfait. Je suis bien bien loin de l'être en fait, mais ça ne m'empêche pas de savoir faire quelques efforts à l'occasion et aujourd'hui j'étais bien décidé à le faire. J'avais réussi à convaincre un journaliste d'une certaine renommée travaillant pour un compétiteur de me rencontrer pour parler affaire. Si je réussissais à avoir ce mec à mon journal j'allais réussir à me faire un bon nom je n'en doutais pas du tout. Bon, ça impliquait que je doive commencer à être un minimum plus sympathique avec mes employés, mais pour lui ça en valait la peine. Enfin, j'espérais simplement que ça ne serait pas le pire des crétins imbus de lui-même ayant frôlé la surface de la terre parce que sinon on risquait d'avoir un soucis. Je suis tellement crevé depuis quelques temps, on se demande bien pourquoi, qu'il m'arrive à l'occasion de ne pas trop réfléchir avant d'ouvrir la bouche. Il faut croire qu'elle est directement reliée à la partie de mon cerveau qui a décidé de se mette hors service pour me sauver un peu d'énergie. Probablement la même partie de mon cerveau qui m'a fait m'endormir sur le clavier de mon ordinateur et me réveiller à quinze minutes de l'heure de mon rendez-vous. Un rendez-vous où j'ai environ besoin de ça quinze minutes pour m'y rendre. Merde.

Ça ne m'a pas empêché de prendre une douche en vitesse et enfiler ma chemise et mon pantalon à la vitesse de la lumière tout en me préparant une tasse de café pour emporter. J'allais en avoir de besoin. Ceci fait, j'ai simplement tout attrapé et je suis sorti tout en essayant de tenir mon café d'une main en envoyant un sms à mon rendez-vous pour lui expliquer que j'allais avoir un peu de retard, mais que j'étais bien en route. Du moins je l'étais jusqu'à ce qu'un bruit non loin me fasse stopper mes pas. Un bruit qui fut rapidement suivi d'un cri qui me soutira un frisson de terreur. C'est impossible de crier une note si aiguë quand tout va pour le mieux. Merde c'est pas vrai. J'ai un don c'est pas possible. Il faut toujours que tombe sur un cinglé. J'aurais très bien pu me contenter de continuer mon chemin, parce qu'après tout je suis en retard, mais la curiosité est un vilain défaut et pour une raison obscure il colle simplement davantage à la peau lorsqu'on travaille avec des journalistes qui sont curieux de profession. Aller... juste un coup d'oeil et je me tire.

À pas de loup je me dirige en direction de la source du bruit pour finalement risquer un coup d'oeil et le spectacle que je vois j'aurais préféré ne pas le voir. Il y a un homme à genoux par terre à peine éclairé par la lumière d'un lampadaire, mais tout de même suffisamment pour que je puisse voir qu'il a la gueule en sang. Il n'y a pas que ça, mais je n'arrive pas à voir ce qui ne va pas. Comme si c'était quelque chose de si peu naturel que mon cerveau refusait de l'envisager, mais avant même que je puisse me faire une idée sur la dite chose je vois qu'il y a quelqu'un d'autre et ce quelqu'un d'autre a simplement lancé le pauvre type à genoux par terre dans le fond de la ruelle comme s'il n'était qu'une vieille peluche. Il l'a lancé beaucoup trop facilement pour un mec qui semble plus petit et maigre que moi. Enfin de loin. Puisque je ne suis pas des plus en muscles moi-même disons que ça surprend.

Ouais. Je commence à voir des choses pas normale du tout et pourtant il y a encore des choses qui me surprennent. Des choses qui me donnent envie de simplement me tirer en courant en me disant 'non... non non non...'. C'est ce que je devrais faire d'ailleurs. Laisser les deux... je ne sais pas quoi faire mumuse et simplement me tirer bien loin parce qu'après tout ça ne me concerne pas non? Ce n'est jamais si simple ou je suis simplement sujet à une malédiction, quoique dans la présente situation je suis le seul responsable de mon malheur. Forcément, c'est le moment que choisi l'autre con de journaliste pour répondre à mon sms, mon téléphone émettant le son distinct de la chose qui me fait sursauter au point de m'en faire échapper mon café par terre. Merde merde merde!

Je m'appuis contre le mur au coin duquel je m'étais penché pour jeter un coup d'oeil dans la ruelle, le cœur débattant dans ma poitrine comme si je venais de faire le tour du monde à la course alors que j'essaie tant bien que mal de fermer le foutu volume de mon téléphone, mais les mains tremblantes ce n'est pas des plus facile. Je suis con comme ça moi. La première chose qui me passe par la tête ce n'est pas de me tirer en courant, c'est simplement de me dire que si je reste là, silencieux, à me maudire intérieurement en essayant d'avaler ma salive qui fait un bouchon douloureux au fond de ma gorge l'autre chose dans cette ruelle ne me verra pas. Bravo.

982 mots


Dernière édition par Axel Foster le Mar 20 Sep - 2:01, édité 1 fois
Anonymous
InvitéInvité
Sujet: Re: Mission Omicron (Elyseo O'Malley + Axel Foster)   Sam 17 Sep - 10:36


ft. Elyseo & Axel

Mission Omicron




Tu es lancé, prêt à t’amuser jusqu’à l’aurore avec cette souris tombée entre les griffes d’un chat un poil trop dérangé pour évaluer que tôt ou tard, il ne jouera plus qu’avec un cadavre. Pour l’instant, tu en profites, ton sourire exaspère ta pauvre victime en sang et quelque chose de malsain se distille en toi, goutte à goutte, frisson par frisson : l’envie de plus. De réellement plus que ce pauvre guignol assis au sol, que tu viens de jeter comme s’il ne pesait rien. Il est trop faible, trop pitoyable et sans aucun répondant : de la part d’un petit caïd qui se croyait malin avec son canif de pêche, tu trouves cela dommage : il gâche tout en pleurant comme un gamin, à se recroqueviller sur lui-même comme si c’était la fin du monde et qu’il réalisait subitement qu’il n’avait pas embrassé sa chère mère avant de quitter le foyer familial. A lui seul, il justifiait l’éradiction pure et simple de toute l’espèce humaine.
Tu comptais abréger ce spectacle infâme pour distraire ton esprit et lui permettre de passer à autre chose, quand un bruit attire ton attention. Un bruit que tu connais par cœur parce que Maître Enfoiros l’utilise quotidiennement, te rappelant à lui comme le bon toutou que tu es.
Ouaf ouaf.
Serait-ce un compatriote de galère, un autre prisonnier de ces maudits appareils téléphoniques qui représentent des chaînes plus larges, mais plus diaboliques que les bons vieux fers anciens ? Ou un illustre curieux en mal de sensations fortes, qui s’est dit que jouer au bon samaritain pour le bougre recroquevillé au sol lui rapporterait des points bonus en cas de fin du monde prochaine ?
Bonne nouvelle, s’il désirait une fin du monde, tu es là, prêt à servir. Comme toujours. Tu n’es bon qu’à cela : servir. Obéir. Etre le pantin adoré d’un monstre aux longues dents… Et tu as à peine le temps de pencher la tête vers l’origine du bruit que tu fonces ; quelques secondes te suffisent pour venir à sa hauteur, te planter devant lui, arracher le portable qu’il triturait maladroitement dans l’espoir vain de le stopper et le prendre le plus simplement du monde pour le porter à hauteur de tes yeux. Il doit être surpris : tu étais dans la ruelle derrière lui l’instant d’avant et te voilà, sans une goutte de sueur, juste devant lui, le regard penché sur son portable à lire le message.

« Pas de chance dis donc, tu risques de rater ce rendez-vous. »


Tu soupires de manière théâtrale, jouant sur l’emphase pour draper la situation d’un ridicule qui n’amuse que toi et tu lui montres le portable en esquissant une moue ennuyée :

« Que dois-je lui répondre ? Qu’il va te falloir un petit moment pour le rejoindre, genre… l’éternité, ou que finalement tu décommandes pour le revoir quand tu sortiras de l’hôpital ? Que préfères-tu ? »

Du rictus ennuyé, tu passes à un demi-sourire poli et cordial, comme si tu désirais réellement l’aider dans ce dilemme impossible.

« Personnellement, je choisirais l’éternité : il paraît que la bouffe est délicieuse là-haut, alors que nous connaissons tous les deux la réputation des plateaux de l’hôpital. Infects ! Presque autant que ta curiosité mal placée. »


- Adrenalean 2016 pour Bazzart.


Mots : 548
Anonymous
InvitéInvité
Sujet: Re: Mission Omicron (Elyseo O'Malley + Axel Foster)   Mar 20 Sep - 14:08


OH PUTAIN DE MERDE! C'est quoi cette putain de capacité de téléportation qu'ils ont tous ses cinglés c'est pas possible. Quand ce n'est pas le maniaque aux Twix qui va assurément redonner signe de vie éventuellement c'est celui-là qui vient se planter devant moi alors qu'il en était bien loin à peine quelques secondes plus tôt. J'en ai franchement marre d'attirer les trucs paranormaux et me foutre dans un pétrin pareil pour des conneries pas possible. Puis ce portable maudit... Quand ce n'est pas l'autre con de motard qui l'a c'est cet inconnu psychopathe qui me l'arrache des mains sans que je puisse dire ou faire quoi que ce soit. Ça va être du joli tient. Je devrais écrire un livre. Je ferais des million. L'art de se mettre dans la merde avec des gens plus forts que soit quand on a habitude de se la jouer pire connard que la terre a porté. Je commence sérieusement à me demander si je ne suis pas encore endormi sur mon ordinateur à force. Un très très long... cauchemar... qui ne se terminera jamais parce que je suis trop con pour simplement prendre mes jambes à mon coup lorsque j'entends quelqu'un hurler comme si on venait de lui couper le set trois pièces. Toute personne avec un minimum de bon sens aurait crispé le visage de douleur et serait parti dans la direction opposée, mais une part de moi s'est peut-être dit qu'il vaut mieux moi qu'un autre de mes journalistes qui, s'il s'en serait sorti vivant, aurait pu écrire sur la chose et là j'aurais été dans l'obligation d'aviser le clébard...

S'il s'en serait sorti vivant. C'est bien ce que j'ai dit, parce que disons que l'inconnu au pouvoir de téléportation ne semble pas très enclin à me laisser filer vivant. Un classique il faut croire. Ce n'est pas comme si on m'avait presque étouffé il n'y a pas longtemps. Je dois être un chat et je ne le sais pas. J'ai droit à neuf tentatives d'assassinat sur ma personne avant de réellement rendre l'âme pour aller trouver les flammes de l'enfer. Je ne peux simplement pas aller au paradis avec tout ce que j'ai pu faire au cours de ma si courte existence. Enfin, si le paradis et l'enfer existent, mais bon s'il y a des gens dotés d'une force surhumaine qui arrivent à se téléporter ou simplement se déplacer ridiculement trop vite... en plus de ceux qui ont des regards particuliers comme Lehr... Je dis pourquoi pas un paradis et un enfer. C'est très logique comme réflexion, mais assurément pas celle qui est appropriée à la situation alors que l'inconnu fixe le portable qu'il vient de m'arracher des mains visiblement pour lire le sms du journaliste que je ne verrai probablement pas finalement. Je devrais me recycler en appât pour être surnaturels plutôt que propriétaire de journal. J'ai plus de succès sur ce point ses derniers temps. Ça va me rendre paranoïaque à force... même si je le suis un peu depuis que j'ai eu une conversation avec Florian malgré le fait que je n'étais pas des plus chaud à l'idée de croire ses bêtises. Des êtres surnaturels, allons donc. Bien oui. Voilà.

« La bouffe de l'hôpital est probablement meilleure que la bouffe d'en bas si tu veux mon avis. Plutôt l'absence de bouffe d'en bas. En haut je ne sais pas, mais je ne risque pas d'y aller. »

Bon, j'ai peut-être la voix tout sauf assurée qui tremble un peu et je n'ai visiblement pas eu ma leçon avec l'adepte des Twix qui m'a bien fait comprendre que placer un mot de trop peut-être fatal, mais qu'est-ce que je suis supposé faire? Rester bien droit devant lui et la fermer en pleurant ma vie? Ah ça non. Ça fait bien longtemps que je ne pleure plus quand j'en prends plein la gueule.

« Écoute, visiblement tu es... en fait je ne sais pas ce que tu es, mais je sais que je ne suis pas de taille alors si tu veux me tuer fais-le qu'on en finisse et sinon écoute j'imagine qu'on peut trouver un terrain d'entente. Je travaille avec des gens particuliers alors bon... Je ne suis pas de ceux qui vont simplement aller parler de ce que j'ai vu à la première personne que je vais croiser. Je ne suis pas con à ce point. Bon ma parole ne vaut probablement pas grand chose, mais je te préviens tout de même qu'il y en a un qui risque d'être en colère si tu me fais la peau. »

À défaut de savoir me battre convenable ou être aussi dangereux que ce type j'use de la seule option restante sur ma liste et qui m'a, miraculeusement, permis de rester en vie jusqu'à maintenant. Un brin de manipulation et des promesses de 'je vais être tranquille et je vais la fermer je le jure' pour essayer de préserver le peu d'existence qu'il reste devant moi. Jusqu'à maintenant ça semble fonctionner. Reste à voir si ça fonctionnera avec celui-là aussi.

« Alors je suis tout oui si tu as une autre option que simplement me tuer parce que ça serait dommage quand même. »

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Sujet: Re: Mission Omicron (Elyseo O'Malley + Axel Foster)   

 
Mission Omicron (Elyseo O'Malley + Axel Foster)
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