| | (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. | |
| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Jeu 1 Sep - 0:10 |
| Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers.feat. Floriel La nuit a été longue et douloureuse. Mon corps semblait me tirailler de part et d’autre, alors que déjà, certaines blessures cicatrisaient bien. Depuis cette mission ratée à cause de crétins débutants, j’avais de jolies coupures sur le torse ainsi que les jambes. Ma sœur m’avait trouvé dans un état assez pathétique, j’avoue. J’avais donc décidé de me reposer une nuit complète, histoire de laisser à mon corps un peu de répit. Sauf que voilà, celui-ci semblait me dire merde et encore merde. Je n’avais pas cessé de bouger, me réveillant en sueur à cause de la douleur. La rune de guérison ne fonctionnait qu’à moitié sur les blessures trop profondes, merci les lames séraphiques de mes ennemis. Bandes d’enfoirés. Ils ne savent pas se battre avec des couteaux à beurre ? ça m’aurait franchement arrangé. Le soleil c’était levé depuis un bon bout de temps, laissant la lumière percer à travers mes rideaux. J’avais soigneusement éteint mon nouveau portable, le précédent ayant été bousillé par Jake, pour ne pas être dérangé durant ma petite guérison. De toute façon, soyons clairs, ma porte est sans cesse ouverte et donc tout le monde entrait comme dans une église. Je tente de me retourner ce qui, à mon plus grand désespoir, m’arrache une grimace de douleur. J’ai faim, j’ai soif et j’ai besoin de pisser. Mais là, de suite, j’ai simplement la flemme de bouger. Ouvrant doucement les yeux, je me redresse dans mon lit, une main sur mes bandages, mâchoires serrées. Parfois, j’aimerais bien posséder la guérison des vampires, ça serait pratique dans ce genre de moments. Prenant une grande inspiration, je sors mes jambes de sous les couvertures, prenant soin de me lever en douceur. Non mais si je continue à bouger comme une tortue, je vais finir par me pisser dessus ! Me traînant vers la salle de bain, j’arrive enfin aux toilettes en manquant de m’éclater contre la porte…Dix minutes plus tard je me traîne vers le salon, manquant plusieurs fois de me rétamer dans les escaliers. Je vais finir par me tuer tout seul, je le sens bien….Café, il me faut du café et un Twix oui, voilà le remède. Ouvrant les placards je ne trouve….absolument rien ! Je n’ai plus de Twix. Démoralisation totale, je ferme les yeux étant brusquement de très mauvaise humeur. Ni une ni deux, me voilà en train de remonter les escaliers pour retomber dans mon lit. Ouai, sans ma friandise je suis carrément bon à rien. M’enfonçant sous les couvertures non sans difficultés, je ferme les yeux en soupirant pour tenter de retrouver un semblant de sommeil. Peine perdue…je suis foutu. Les minutes passent et je ne bouge pas, me disant que de toute façon j’allais rester dans mon lit toute la journée. Rien à foutre, je suis en mode absent, qu’on ne vienne pas me faire chier ! Aussitôt pensé, j’entends ma porte d’entrée s’ouvrir et je grogne une insulte entre mes dents. « Je suis mort, sauf si quelqu’un a un Twix, là la visite est négociable sinon…dehors ! » Ben quoi, au moins je joue franc jeu hein. Pas de Twix, pas de visite ! De toute façon vu l’heure ça ne pouvait-être qu’un Obscur. Eve ? Une des jumelles ? Adam ? Non, bien sûr que non. Comment je le sais ? Mon corps semble irradier de part et d’autre, comme en éveille face à ce lien qui m’unit au visiteur. Florian. Je le sais, je le sens au plus profond de moi, comme un tiraillement étrange, léger mais bel et bien là. Mon Parabatai. Un sourire léger s’affiche sur mon visage alors que j’ouvre les yeux, écoutant les bruits de pas dans les escaliers. « T’en a mis du temps avant de venir me voir, j’ai cru que tu m’avais oublié sur ce coup-là. » Je tourne la tête vers la porte d’entrée, prenant la peine de me redresser légèrement. Parfois, j’étais envoyé en mission sans lui et vice-versa, même si c’était rarissime ça arrivait. Dans ce moment-là, quand je le savais ailleurs, je n’étais jamais fort rassuré et j’étais sur les nerfs jusqu’à ce qu’il revienne. Bon, je n’étais pas à l’agonie non plus, n’abusons pas hein, mais au moins avec lui je retrouvais un semblant de bonne humeur. 714 mots - post 1 © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Ven 2 Sep - 0:03 |
| Florian & Gabriel Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Lunettes abaissées sur mes yeux, j'entrai dans la supérette, ne prenant même pas la peine de mettre une rune d'invisibilité. Un regard froid de ma part, promettant une mort douloureuse dissuada la caissière de se plaindre quand je ressortis quelques minutes plus tard, avec des sucreries dans mes poches. Après ce détour, je me dirigeais enfin vers ce qui me taraudait l'esprit depuis de longues heures. Ou plutôt celui.
A un moment donné au milieu de la nuit, notre lien de parabatai avait réagi, un léger tiraillement comme lorsqu'une branche s'accroche à vos vêtements. Puis le tiraillement avait augmenté jusqu'à m'inquiéter sérieusement. Certes, je savais que mon frère d'arme était redoutablement dangereux, mais il n'en restait pas moins mortel. Finalement le tiraillement s'était calmé, mais j'avais mal dormi ne pouvant m'empêcher de m'interroger sur l'état de mon parabatai.
A l'aube je tournais en rond dans mon appartement, voulant me précipiter auprès de lui mais sachant que s'il avait vraiment eu besoin de moi il m'aurait appelé. D'un autre côté il se croyait invincible, il était capable de se dire qu'il n'avait que des blessures superficielles alors qu'il se vidait de son sang. Sa rune ne semblant pas particulièrement réagir, j'en étais parvenu à la conclusion qu'il n'était pas mourant et lui avais offert la possibilité de dormir un peu plus longtemps afin de se récupérer.
A défaut de me rendre à ses côtés, j'avais passé quelques coups fils qui m'avaient éclairé en partie. Apparemment mon parabatai aurait été pris dans une échauffourée avec des néphilims. Je devinais à l'avance qu'il devait avoir de vilaines blessures, et que son nul doute il serait grognon. C'était la raison de ce détour par la supérette : mettre la main sur la clé pour apaiser Gabriel. In-fail-lible.
Il ne me fallut pas longtemps avant de rejoindre l'immeuble de Gabriel. J'avais bien entendu le double de ses clés, mais je ne pris pas la peine de les sortir - mon parabatai laissait toujours sa porte ouverte. D'un autre côté, il fallait être bien bête pour s'attaquer à un osborn. Les ennemis de Gabriel cette nuit avait sans nul doute appris la leçon - dernière leçon de leur vie d'ailleurs.
J'ouvris la porte sans frapper, étant un habitué des lieux. Pour accueil j'eus un cri de mon parabatai m'annonçant non seulement sa mort, mais aussi une éventuelle négociation si un twix faisait partie de l'équation. Je lâchai un ricanement et entrai dans l'appartement, qui trahissait les déboires de la nuit dernière, et montait les escaliers tandis que la voix de gabriel porta de nouveau jusqu'à moi. Visiblement il avait compris qui était son visiteur.
Apparaissant dans l'encadrement de la porte, j'aperçus Gabriel allongé sur son lit, légèrement sur ses coudes, son regard posé sur moi. Des bandages couvraient une partie de son corps, et quelques coupures pas totalement cicatrisées étaient visibles sur sa peau. Sortant un twix de ma poche, je le levais devant moi, et l'expression de Gabriel à cet instant manqua de me faire sourire. Au lieu de ça je répondis :
« T'aurais préféré que je t'empêche de dormir ? Et bien la prochaine fois je le saurais. » Je m'approchais, gardant le twix à distance, le narguant avec un sourire moqueur. J'ajoutai : « La prochaine fois je viendrais à l'aube alors, et je perdrais pas du temps en allant récupérer des twix. » Je continuai mon manège encore quelques secondes pour l'agacer, avant de finalement lui balancer la sucrerie. Lorsqu'il l'eut mis dans sa bouche, je sortis cette fois ma stèle de ma poche et m'assis au bord du lit. Avant qu'il n'ait pu finir d'avaler sa bouchée, j'avais déjà commencé à tracer de nouvelles runes de guérisons sur sa peau.
Comme je m'y attendais, mes runes semblèrent faire plus d'effets que celles qu'il avait lui-même gravé. Ce qui était parfaitement normal, c'était quelque chose que l'on apprenait vite : les runes de son parabatai sont toujours plus efficaces que ses propres runes. Satisfait de voir que le corps de Gabriel se régénérait plus vite, je levai les yeux pour croiser les siens. Avec agacement, je lui dis : « La prochaine fois, au lieu de me laisser tourner en rond chez moi en train de m'inquiéter pour toi, envoie moi un message bordel, pour que je vienne te soigner. » Bon c'était loin d'être diplomate, mais après coup, je réalisai à quel point je m'étais fait du soucis.
Récupérant un deuxième twix dans ma poche, je le lui donnai quand même, prenant pitié de l'état lamentable dans lequel il s'était mis. Il ne devait pas être de très bonne humeur de s'être mis dans un tel état, et je ne voulais pas qu'il déverse son fiel sur le seul punching-ball qu'il avait à ce moment : moi. Même s'il ne le faisait pas souvent, je préférais être prudent. -24h 807 mots - post 2
Dernière édition par Florian Starkweather le Dim 4 Sep - 22:19, édité 1 fois |
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Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
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Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Ven 2 Sep - 0:38 |
| Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers.feat. Floriel Je n’ai pas besoin de le voir pour savoir que c’est lui. Une douce sensation qui s’empare de mon être, faisant vibrer celui-ci d’une manière étrangement familière. Cette sensation, je la ressentais depuis dix ans maintenant, plus encore depuis que nos corps c’étaient rencontrés d’une façon bien trop intime. L’Enclave avait toujours refusé ce genre de relation entre Parabatai, en-même temps, j’emmerde clairement l’enclave ! Enfin, j’emmerdais vu que celle-ci n’existe plus, grâce à nous bien sûr. Me redressant sur mes coudes, j’attends qu’il atterrisse dans mon champ visuel, laissant un petit sourire apparaître sur mon visage. Bien que je sois de mauvaise humeur, Florian attisait la bonne humeur avec sa simple foutue présence. C’était comme un état alchimique que j’avais cessé de combattre, préférant de loin y céder. Mon regard glisse dans le sien et là, miracle, il sort un Twix pour me le mettre devant le nez. Oh le petit coquin, il savait comment s’y prendre avec moi. Bon, en-même temps il me connait que trop bien et sait ce qui apaise une mauvaise humeur potentielle. Une lueur étrange illumine mon regard et je suis du regard la friandise, salivant presque. Si je n’étais pas blessé je me serais littéralement jeté dessus. « T'aurais préféré que je t'empêche de dormir ? Et bien la prochaine fois je le saurais. » Il approche de moi tout en gardant le Twix à distance, me narguant clairement par cet acte cruel. « Pourquoi tant de méchanceté envers moi. Tu es cruel Math. » Oui, j’avais toujours eu tendance à l’appeler par son deuxième prénom, comme une marque de possessivité, d’exclusivité dans sa vie. Je lui montrais que son prénom courant, celui que les autres utilisaient n’était pas assez bien pour moi. De ce fait, je l’appelais Mathias pour être le seul à le faire. Enfantin ? Sûrement, rien à foutre. « La prochaine fois je viendrais à l'aube alors, et je perdrais pas du temps en allant récupérer des twix. » Je fais une petite moue boudeuse, suivant toujours la friandise des yeux, un regard lamentable sur le visage. Oui, sur le coup je devais faire pitié, j’avoues. Mais merde, c’est cruel de jouer avec mes sentiments comme ça. « Non, mais non…Fais, prends-moi autant de Twix que tu veux et tu peux venir quand tu veux. » Bon, en-même temps il n’avait pas besoin d’invitation et encore moins de Twix pour venir chez moi. Il le sait, chez moi c’est chez lui. J’avais passé la plus grande partie de mon existence en sa compagnie, m’entraînant avec lui, évoluant à ses côtés. Autant il s’inquiétait pour moi, autant je m’inquiétais pour lui. Nous étions unis et ce jusqu’à notre mort, sans contrefaçons, sans préavis. Il était mon âme-sœur, mon frère d’arme. Il était l’une de ses personnes pour qui je mettrais la ville à feu et à sang, pour qui je tuerais des familles entières encore et encore sans jamais m’arrêter. Il me lance le Twix et malgré la douleur, j’attrape celui-ci d’une main. Me laissant retomber sur le lit, j’ouvre la friandise avec précipitation pour en fourrer un bout dans ma bouche. Un soupire de joie s’échappe de mes lèvres. Ça y est, je suis aux anges, comblé de bonheur là. Sauf que je sursaute légèrement en sentant la brûlure de sa stèle sur ma peau. Fronçant les sourcils, je continue néanmoins de manger ma friandise tout en le laissant tracer des runes de guérison ici et là. Oui, ses runes fonctionnaient bien mieux que les miennes, la magie du parabatai dans toute sa splendeur. Déjà, je pouvais sentir mon corps se remettre plus facilement. « La prochaine fois, au lieu de me laisser tourner en rond chez moi en train de m'inquiéter pour toi, envoie moi un message bordel, pour que je vienne te soigner. » Je croise son regard en ouvrant le second Twix, penchant légèrement la tête sur la gauche d’un air totalement innocent. « Il était tard, tu devais sûrement dormir. Mes blessures n’étaient pas vraiment mortelles, du coup, j’ai préféré te laisser dormir. De toute façon, je savais que tu allais rappliquer, que tu l’aurais senti, comme toujours. » Oui, moi Gabriel Osborn pensait au bien être d’une personne, enfin, d’une personne outre ma propre famille. Quoi que, Florian faisait en quelque sorte partie de ma famille, il était juste un être à part, celui qui me complet d’une façon bien étrange. Prenant une position assise, ne ressentant plus autant de douleur, j’ébouriffe ses cheveux en souriant, avant la dernière bouchée de ma friandise. Oui, d’accord, j’avais mangé comme un affamé… « Puis, arrête de bouder, t’es plus mignon quand tu souris. » Bien content de retrouver de ma psychomotricité, je le pousse brusquement hors de mon lit pour qu’il tombe à terre. Oui, ça y est, je suis de bonne humeur. Sauf que, ce que je n’avais pas prévu, c’était de tomber avec lui. Roulant sur le sol, je grimace légèrement. « Ouai, ce n’était pas prévu au programme ça…t’étais censé être le seul à te rétamer. » Tournant mon visage vers lui, n’étant qu’à une bref distance de son corps, je fronce les sourcils d’un air interrogateur. « T’étais pas censé bosser ? Puis…t’aurais pas un autre Twix ? Non mais fait que j’envoie quelqu’un faire des courses, j’avais pensé à une de mes sœurs…mais sérieusement, je pense qu’elles sont toutes réglées là vu leur mauvaise humeur. » Sans même demandé la permission, je me tourne suffisamment pour commencer à fouiller dans ses poches. Accro ? Moi ? Mais non, bien sûr que non…d’accord, juste un peu. Je me redresse rapidement pour venir me mettre à califourchon sur lui, le bloquant pour le surplomber. « Dis-moi où sont les Twix sinon tu le payeras de ta vie…ou de ta virginité…non là ça va être dur, tu n’es plus vierge depuis longtemps…. » Oui, d’accord, je déballe un lot de conneries inconditionnelle en peu de temps. Heureusement pour moi, Florian était habitué depuis le temps. 1001 mots - post 3 - 24h © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Lun 5 Sep - 0:09 |
| Florian & Gabriel Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Ses réponses un peu puériles sur les bords, alors que je le taquinais, n'avaient pas suffi à empêcher la colère générée par mon inquiétude et mon manque de sommeil de ressurgir quand j'avais commencé à la soigner. C'était dans ma nature, je ne pouvais pas m'empêcher de m'inquiéter pour lui, même quand il allait bien. Il était trop téméraire pour que je ne préoccupe pas de son état à chaque instant. C'était juste qu'habituellement, j'arrivais à mettre cette inquiétude de côté. Ses mots à ma réplique pleine d'emportement ainsi que son faux air innocent me firent grogner d'agacement et je croisai les bras, marquant ma mauvaise humeur. Bien sûr il se croyait malin. Je n'étais pas calmé, même si une partie de moi ne pus qu'être troublé par sa confiance en moi. Ne voulant pas le laisser gagner - enfin pas trop rapidement - je gardais un air furieux, et haussai un sourcil, en répondant :
« Tu as l'air bien sûr de toi. Imagine que j'ai été trop occupé pour m'en rendre compte ? De toute façon, tel que tu es, je suis pas sûr que tu admettrais avoir une blessure mortelle. » C'était vrai, Gabriel était toujours celui qui allait bien quoi qu'il arrive. C'était quelque chose qui avait le don de m'exaspérer. Surtout que moi, je savais quand c'était vrai et quand ça ne l'était pas. De la même façon que je savais qu'il avait passé une mauvaise nuit et qu'il ne m'avait pas appelé parce qu'il se refusait à le faire, pas parce qu'il voulait me laisser dormir - quand bien même c'était une explication possible. Quelque part, même si je faisais mine de me plaindre, je ne l'imaginais pas se conduire autrement, et c'était ainsi que je l'aimais.
Gabriel se releva, visiblement en bien meilleur état, et une vague de soulagement me traversa. Je savais bien qu'il se régénérait vite et qu'il n'avait pas été si gravement blessé, mais le voir en meilleur état me rassurait déjà. Il me taquina et me poussa du lit sans que je m'y attende, ce que je mettais sur le compte de mon manque de sommeil, bien entendu. Mon souffle se coupa quand une lourde masse me tomba dessus, me bloquant momentanément la respiration. Je me débattis un moment avant de réalisai que c'était mon parabatai qui était tombé avec moi. A tous les coups cet idiot avait sous-estimé sons état. Je tentai de la repousser, reprenant lentement mon souffle. Malgré moi, mon corps commençait à réagir à la pression du sien, et je me tortillai d'autant plus pour me débarrasser de lui. Son explication sur le fait que sa propre chute n'était pas prévue me fit lever les yeux au ciel. Vraiment, il n'avait pas prévu de se rétamer avec moi ? Comme c'était étonnant.
Avant que je n'aie le temps d'enchainer sur une répartie bien sentie, Gabriel continua sur sa lancée, me demandant si je ne devais pas être au boulot. Question légitime, puisque en effet, surtout à cette heure-ci où le soleil était haut dans le ciel, j'aurais dû être à mon poste. Mais il n'attendit pas ma réponse, visiblement peu intéressé par mon emploi du temps, avant de se mettre à me harceler pour un avoir un autre twix, ajoutant une remarque sur la mauvaise humeur de ses sœurs que je ne relevai - faute de temps et de réponse adéquate. Tâchant - sans grande motivation - de garder ses mains loin de moi, alors qu'il me fouillait, je répondit : « Nan je bosse pas, j'ai appelé ce matin pour prendre ma journée, andouille. Et vire tes sales pattes de là ! J'ai pas d'autres Twix. » C'était faux bien sûr, mais j'avais pris soin de les cacher - enfin pas tant que ça, mais assez pour qu'il ne les trouve pas du premier coup - justement si mon parabatai commençait à se comporter de la sorte. Il devait mériter ses Twix s'il voulait les avoir.
Pas si mal en point que je le pensais, il se mit rapidement à califourchon au dessus de moi, bloquant mes mouvements. Je sentis un frisson parcourir ma colonne vertébrale, mais fis en sorte d'aller voir blasé. Je ne voulais pas lui laisser voir à quel point il me faisait de l'effet. A tous les coups, opportuniste qu'il était, il en profiterait sans tarder. Et ce serait trop facile. Même si en fait de compte j'allais sans nul doute le laissais faire ce qu'il voulait de moi - à la fois parce que je ne pouvais rien à mon parabatai et à la fois parce que ça me plaisait également - je voulais faire durer les choses et surtout ne pas le laisser gagner trop facilement. Je ne l'avais jamais laisser gagner trop facilement de toute façon. Lorsqu'il menaça ma virginité, je souris, d'un sourire lascif, tout en répondant : « C'est vrai, je ne suis plus vierge, ni toi non plus d'ailleurs. » D'un coup de hanche, j'inversai nos positions. En tant normal, je n'aurais peut-être pas pu le faire, mais là, Gabriel n'avait pas encore totalement récupéré, et c'était à mon avantage. Je me débarrassai de ma veste et de mon T-shirt, et tirai de ma poche arrière les quatre autres Twiw qui me restait. Je les posai sur le lit, loin d'atteinte de Gabriel, et lui attrapai les poignets quand il fit mine d'aller les pendre.
Les jambes de part et d'autre de ses hanches, mes mains maintenant au sol ses poignets, près de sa tête, je lui adressai un autre sourire vicieux, et lui demandai : « C'est qui qui menace qui maintenant ? » Je ne lui laissais pas l'occasion de répondre. SI je le faisais, il sortirait tout un tas d'âneries qui amèneraient des débats inutiles. Mes mains étant prise, j'utilisai la seule chose qui restait à ma disposition pour le faire : ma bouche. Je posais mes lèvres contre les siennes, leurs contours si familières et pourtant toujours si inédites, laissant leur saveur m'enivrer alors que je modelai doucement ses lèvres avec les miennes. Bien que je n'aspirais qu'à me laisser submerger par les sensations que ce baiser faisait naître en moi, je me relevai vivement, pour ne laisser qu'un avant-goût à Gabriel. Je lui adressai un autre sourire pervers, le désir faisant briller mes yeux.
« Alors, tu les veux tes Twix ? » Post 4 1064 mots
Dernière édition par Florian Starkweather le Lun 5 Sep - 18:34, édité 2 fois |
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Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Lun 5 Sep - 13:55 |
| Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers.feat. Floriel Je vois bien qu’il râle, qu’il n’est pas content, mais franchement c’est le dernier de mon souci et je trouve ça même amusant. Il croise les bras comme un enfant après avoir poussé un grognement de mécontentement. Je lève les yeux au ciel, crevant d’envie de lui tirer l’oreille comme ma mère le faisait autrefois – comme elle le fait toujours de temps en temps d’ailleurs et ça fonctionne toujours aussi bien sur moi -. Il me regarde furieusement et je continue de prendre mon air innocent, un sourire en coin. Il est mignon quand il est fâché lui, puis, de toute façon il n’est jamais furieux très longtemps, pas sur moi en tout qu’à. « Tu as l'air bien sûr de toi. Imagine que j'ai été trop occupé pour m'en rendre compte ? De toute façon, tel que tu es, je suis pas sûr que tu admettrais avoir une blessure mortelle. » Je fais une petite grimace en haussant les épaules, passant une main dans ma nuque. « Arrête de dire des conneries Math, tu sais bien que tu n’es jamais trop occupé quand il s’agit de moi. Puis, si j’avais une blessure mortelle tu l’aurais senti, du coup, je n’aurais rien à admettre. » Je bats des cils d’un air vraiment débile, je devais avoir l’air clairement con mais je m’en fou, il n’y a que lui dans la pièce. Quoi que, même s’il y avait quelqu’un d’autre j’agirais de la même façon. Pourtant, en le regardant bien, je peux vite comprendre qu’il c’était vraiment inquiété et qu’il avait dû passer une nuit merdique par ma faute. Je ne vais pas dire que je me sens coupable, mais presque. S’il y a bien une personne à qui je tiens c’est lui, je ne supporte pas vraiment être la raison de son malaise. Oui, même moi je peux être compatissant mais seulement en de rares occasions. Pour tenter de me faire pardonner, je le pousse hors du lit mais je tombe avec lui. Bon, j’aurais préféré ne pas tomber mais puisque le destin veut que je me retrouve sur lui, autant ne pas défier celui-ci hein. Je ne suis pas assez fou pour me mettre en travers de la destinée…Il se tortille en dessous de moi et inutile de dire que la sensation de son corps sous le mien éveillait pas mal de choses. Mon corps réagissait déjà à cette foutue proximité, alors que je tentais de me concentrer sur autre chose que ses putains de gigotements. Espèce d’asticot. Me voilà en train de le fouiller, cherchant des Twix en laissant traîner mes mains sur lui. Enfin, j’essayais vu que Florian tentait de d’éloigner celle-ci sans vraiment être très convaincant. « Nan je bosse pas, j'ai appelé ce matin pour prendre ma journée, andouille. Et vire tes sales pattes de là ! J'ai pas d'autres Twix. » Je tape sur sa main alors qu’il tentait de me repousser, un air vénère sur le visage. Comment ça il n’avait pas d’autres Twix ! Non mais ce n’est même pas imaginable hein. « Tu mens ! » Oui il ment, j’en suis sûr, il doit avoir caché d’autres friandises quelque part. Peut-être dans les poches arrières de son pantalon….sauf que bon, il a son cul contre le sol, je n’y ai donc pas accès. « C'est vrai, je ne suis plus vierge, ni toi non plus d'ailleurs. » J’ouvre la bouche pour répliquer une connerie, malheureusement, je n’en ai absolument pas le temps. D’un coup de hanche je me retrouve à terre, mon parabatai au-dessus de moi. Rôle inversé. J’ouvre grand les yeux, essayant de me débattre comme je peux, n’ayant pas repris toute ma force suite à mes blessures. « Mais euh, traître… » Je gigote encore quand je me stoppe en plein mouvement. Florian vient d’enlever sa veste et s’attaque à son T-shirt, balançant celui-ci sur le sol. Oulà, il provoque le diable là. Sait-il seulement l’effet qu’il me fait rien qu’en étant torse nu ? Il sort des Twix de sa poche arrière – bordel j’en étais sûr qu’ils étaient là – pour le déposer sur le lit. Mon premier réflexe est de vouloir les attraper, sauf que Florian en avait décidé autrement en me bloquant le passage. Je me retrouve bloqué, les mains près de mon visage, mon parabatai à califourchon sur ma petite personne. Position plus que désavantageuse pour moi, mais très agréable quand même. Et ce sourire vicieux. Damn, tuez-moi je vais en faire mon repas. « C'est qui qui menace qui maintenant ? » J’ouvre la bouche pour répliquer une menace cinglante, débile mais il prend les devants. Je me retrouve avec ses lèvres collées sur les miennes et mon cœur fait un bond atroce dans ma poitrine. Directement mes lèvres suivent le mouvement des siennes, épousant celles-ci d’une façon naturelle. Il se recule vivement et je grogne de mécontentement. Putain, je déteste quand il fait ça, il sait bien qu’en me provocant de la sorte j’ai du mal à me contenir. « Alors, tu les veux tes Twix ? » Sadique ! Il me demande de choisir entre mes Twix et lui là ? Il est sérieux ? Je plisse les yeux, plongeant mon regard dans le siens durant quelques secondes. « Et si je prenais les deux ? » Un sourire arrogant s’affiche sur mon visage et, l’air de rien, je fais mine de me replacer convenablement, prenant soin de bouger mon bassin contre le sien. « Mais là de suite… » J’utilise la force de mes épaules et mes avant-bras pour me redresser, débloquant mes poignets, me retrouvant en position assise gardant Florian sur moi. Mon visage s’arrête à quelques centimètres du sien, pouvant sentir son souffle se mélanger au mien. Mes mains étaient venues se poser sur ses fesses alors que je gardais ce petit sourire arrogant planté sur mes lèvres. « …je pense que…» Je fais en sorte de frôler ses lèvres avec les miennes, me faisant violence pour ne pas l’embrasser. Il avait fait le vicieux avec moi, j’allais lui rendre l’appareil. « …tu n'as pas l'air impatient… » et avec rapidité je me penchais sur le côté pour tenter de chopper un Twix…sauf que ouai, il était toujours sur moi et que les friandises n’étaient pas vraiment à portées de mains. Saloperie ! 1051 mots - post 5 - 24h © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Lun 5 Sep - 18:35 |
| Florian & Gabriel Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Comme à son habitude Gabriel faisait l'idiot, me taquinant et me provoquant à la fois, juste pour le plaisir de me mettre en rogne. Je savais qu'il aimait me voir en colère et que c'était la raison de son comportement. C'était un jeu entre nous, une sorte de routine, qui nous apportait inconsciemment du réconfort entre nous : il faisait une connerie, je me mettais en rogne, il faisait l'andouille, je le grondais, ça l'amusait, et je finissais par lui pardonner et m'amuser avec lui. Depuis quelques temps ça se finissait part du sport de chambre, seule variante à nos vieilles habitudes. A force, je pouvais presque deviner ses répliques à l'avance et, quelque part, je les attendais, constantes dans une vie pleine de dangers.
Et si je le connaissais par cœur, l'inverse était vrai également. Il savait que ma colère n'était qu'en partie feinte, il savait que je ne pouvais pas lui en vouloir longtemps, il connaissait ma façon de penser, savait quand je disais ou non la vérité. Aussi ses accusations de mensonges quand je prétendais ne plus avoir de Twix étaient normales et prévisibles. Mais je n'allais pas lui avouer. Non seulement ça gâcherait le jeu entre nous, mais en plus ce n'était pas vraiment ce qu'il attendait de moi. Lui aussi avait besoin de notre routine comme point de repère. Alors j'avais suivi cette logique qui n'appartenait qu'à nous.
Son accusation de traîtrise quand nous échangeâmes nos rôles, lui à terre, et moi au-dessus de lui, me passèrent au-dessus de la tête. Nous étions parabatai, jamais aucun de nous ne trahirait l'autre, c'était à l'encontre du lien sacré qui nous unissait. Au lieu de ça, je l'aguichais, seul moyen de le faire - en tout cas temporairement, vu qu'il était un générateur de débilités sur pattes. Satisfait de l'effet que j'avais sur lui, je ne lui laissais pas l'occasion de me priver de mon avantage tout de suite. J'enchaînai sur un baiser que j'interrompis trop tôt - pour lui comme pour moi - et qui nous laissa sur notre faim. Sa contrariété me fit plaisir, un peu vengeance mesquine pour l'inquiétude qui m'avait rongé pendant plusieurs heures, mais surtout satisfaction de savoir qu'il me voulait autant.
Mon regard planté dans ses yeux pleins de passion, je l'avais provoqué encore une fois. Avec lui c'était une seconde nature. En temps normal j'étais solitaire, à l'écart, froid et observateur. J’attendais le bon moment pour agir, et je le faisais sans états d’âme, et même si me battre m’échauffais le sang comme tous les autres chasseurs d’ombre, je contenais ce feu, préférant rester de glace et maître de moi-même. J’étais celui qui était en pleine possession de ses moyens quoi qu’il arrive. Mais pas avec Gabriel. Il était le seul qui était passé outre ma carapace de glace, le seul à arriver à libérer le feu en moi et m’incendier complètement. Il ne lui fallait pas plus que quelques mots, un regard, un sourire.
« Et si je prenais les deux ? » Sa réponse me fit sourire un peu plus, car je savais qu’il lui était difficile de choisir, son amour pour les Twix durait depuis bien avant notre rencontre. Un sourire comme lui seul savait en faire apparut sur ces lèvres, et mes entrailles se nouèrent. Il était mon point faible, celui contre lequel je ne pouvais m’opposer – sauf peut-être pour son propre bien-être. Le reste du monde extérieur, d’o venait des bruits de circulation quelques minutes plus tôt, semblait avoir disparu. Même sa chambre dérangée n’était plus qu’un décor flou, juste un support à leur interaction. Il n’y avait plus que son corps frottant contre le mien et faisant brûler mes veines, son odeur comme des vapeurs d’alcool me faisant perdre la raison, ses yeux m’aspirant dans un puits sans fond.
Perdu dans son regard brun qui exprimait sa révolte autant que la concupiscence, mon cerveau avait cessé de fonctionner et emblait incapable de former une phrase faisant sens, oblitérant même la suite de ses mots. J’avais quelque peu baissé ma garde et il se releva, son visage, à quelques centimètres du mien, ses mains sur mes fesses, comme s’il s’appropriait mon corps – chose qu’il avait faite, plus d’une fois, et qu’il s’apprêtait sans nul doute à refaire. Mais son mouvement brusque eut au moins l’effet de me ramener à la réalité, et lorsqu’après avoir poursuivi en partie le reste de sa phrase il se pencha pour m’embrasser, je détournai le visage.
Étonnamment il ne chercha pas à suivre mon mouvement pour m’embrasser quand même, et ce fut lorsqu’il se jeta sur le côté, ajoutant que je ne semblais pas pressé, en direction des twix posés sur le lit aux draps emmêlés que je compris son but. Le voyant échouer lamentablement à récupérer les friandises, je fis un petit sourire ironique, ne bougeant absolument pas de position le clouant au sol, comme un papillon coincé dans un toile d’araignée. Imaginer Gabriel me fit marrer, mais je me garder de lui expliquer la cause de mon hilarité. Il le prendrait sans doute mal à raison. Si on demandait à n’importe qui d’autre de le définir, ce ne serait pas en papillon, loin de là.
Frottant mon bassin contre le sien, je lui fis ainsi sentir mon érection plus que naissante, et je me penchais contre son oreille pour murmurer : « Tu as raison, je ne suis pas impatient, je préfère qu’on prenne notre temps. Je pense que le plus impatient de nous deux c’est donc toi. » Sur ces mots, je lui mordillais la nuque, dans le creux du cou, cette zone si sensible du corps, et où Gabriel n’était pas insensible non plus. Je glissai par la même occasion une main dans son dos, caressant les muscles fermes que j’avais vu se former au cours du temps. C’était une sensation étrange de savoir que j’avais contribué, par nos entraînements, à la création d’une anatomie aussi parfaite, de savoir que je connaissais l’histoire des cicatrices qui ornaient sa peau, comme des dessins racontant sa témérité et sa férocité.
Mon autre main se glissa dans sa chevelure pour tirer sa tête en arrière, me donnant un meilleur accès à son cou, que je continuai de mordre et de lécher. Je me gorgeais de lui tout autant que je détournais son attention. Je pouvais l’embrasser, et savourer chaque parcelle de sa peau pendant des heures. J’étais incapable de m’en rassasier. Et c’était son cas aussi, je le voyais dans son regard, dans ses gestes, dans la façon dont nos deux corps se voulaient se rejoindre sans arrêt, comme pour parachever ce que le lien de parabatai avait commencé entre nous.
M’arrêtant quelques secondes, j’ajoutai à son oreille, dans un souffle caressant parfaitement calculé pour le rendre fou : « Veux-tu me laisser satisfaire ton impatience ? Ou tu préfères prendre ce qui te rend fou ? » J’avais sciemment été ambigu, lui laissant le bénéfice du doute sur ce qui l’attirait le plus : les Twix ou moi. En fait, j’avais décidé de jouer un nouveau jeu : savoir combien temps j’allais pouvoir le garder loin de ses Twix. Allions nous coucher ensemble avant qu’il ne les atteigne, où me mangerait-il après ses sucreries favorites ? Post 6 1208 mots -24h |
| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Lun 5 Sep - 20:13 |
| Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers.feat. Floriel Mon corps en sa présence se réveillait, comme trop longtemps endormi, trop longtemps éloigné du siens. Sensation étrange sûrement dû à ce lien qui ne cessait de se resserrer autour de nous. Parabatai, nous l’étions davantage que d’autres, alors que nous jouions avec les limites du raisonnable. Cela m’inquiétait-il ? Non, bien sûr que non, je ne pouvais trouve ça que plus agréable encore. Quand je couchais avec lui les sensations étaient multipliées, comme en totale communion avec mon frère d’armes. C’est simple, mes multiples conquêtes ne faisaient pas le poids face à lui. Dès qu’il se trouvait dans les parages mes hormones se mettaient en éveillent, son corps m’aimantait et c’était terrible comme agréable. J’avais à la fois l’impression d’être dépendant de lui, comme en symbiose. Pour un homme comme moi c’est franchement tordu, en-même temps, voilà dix ans que nous nous étions unis avec le serment des parabatai. Pourtant, notre relation ne c’était compliquée que récemment. Une mission qui avait échauffé nos corps, qui eux, avaient finis par se trouver sans qu’on ne puisse rien y faire. Je ne m’en formalisais pas, pour moi, le danger n’était pas proche et de toute façon, j’étais maître de ma vie et je faisais ce qu’il me plaisait. Si j’avais envie de me taper Florian je le faisais, point final et apparemment, cette relation était loin de déplaire à l’Obscur. Mon regard se plonge dans le sien. Il était la glace et je suis le feu, il était celui qui me gelait si nécessaire, j’étais celui qui faisait fondre ses barrières dès que j’en avais la possibilité. Deux éléments distincts et pourtant complémentaire dans notre relation. Nous jouions ce jeu dangereux, ce jeu que nous seuls pouvaient comprendre dans sa totalité. Les autres étaient trop fermés d’esprits pour savoir ce qu’il se passait dans notre propre univers, notre bulle que nous ne cessions de renforcer aux fils de nos coucheries. Je me redresse d’un coup vif pour me dégager de son emprise, mes lèvres approchant des siennes que déjà, il se détournait. Petite enflure ! Bon, pas que j’aille cherché à l’embrassé, mais sur le coup si j’avais essayé de le faire je l’aurais retourné comme une crêpe et aurais sauvagement choppé ses lèvres avec les miennes. Sauf que non, j’avais une toute autre idée en tête…Mes Twix. Twix qui sont sur le lit, Twix que…je n’arrive pas à atteindre, foutant tout mon plan en l’air. Ben bravo ! Le pro de la connerie c’est moi. Je me sens de nouveau cloué sur le sol et je grogne, replongeant mon regard dans le sien. Il est vraiment en train de se marrer ? « Non mais ils avaient l’air vachement plus proche que ça ! Te fou pas de ma gueule. » Oui, je pensais avoir le bras plus long que ça, je me suis sûr estimé sur ce coup-là. Je le sens frotter son bassin contre le mien, mettant en évidence l’érection qui durcirait son pantalon. Je me crispe d’envie face à son geste alors qu’il approchait ses lèvres de mon oreille, véritable torture. Il joue avec le diable, il en est totalement conscient. Il sait que je réagis au quart de tour et ma propre érection ne fait aucuns doutes sur mes envies. « Tu as raison, je ne suis pas impatient, je préfère qu’on prenne notre temps. Je pense que le plus impatient de nous deux c’est donc toi. » Oui bon, je plaide coupable, je ne suis absolument pas patient de nature. Ma mère avait oublié cette option à ma naissance et à celle de Léa. Il a toujours été le plus patient des deux, heureusement, sinon il aurait fini par me tuer sur place. J’ouvre la bouche pour répliquer, sauf qu’à ce moment-là il vient mordiller le creux de ma nuque. Un frémissement m’envahi et, naturellement, mon bassin se colle avantage au sien. Il sait que c’est un point sensible chez moi, à vrai dire, Florian me connait par cœur. Il sait comment s’y prendre, ce qui me fait plaisir, ce qui me plais moins – pas grand-chose quand ça vient de lui d’ailleurs -. « Je suis…d’une grande patience… » Sa main parcourrait mon dos, dessinant les muscles de mon dos alors que l’autre venait tirer ma tête en arrière. Mes propres mains se mirent à la découverte de son dos, remontant vers ses épaules. Une main vient se loger dans sa nuque alors que je sentais sa langue contre la peau de mon cou, l’autre redescendit, le griffant par endroit y laissant une quelques traînées rouges avec de venir reprendre place sur ses fesses. Il me rend fou, littéralement. Mon corps frissonne de partout, réaction en chaîne face à son souffle contre ma peau, ses caresses, se corps que je désirais bien plus que tout autre. « Veux-tu me laisser satisfaire ton impatience ? Ou tu préfères prendre ce qui te rend fou ? » Je ne peux m’empêcher de rigoler légèrement face à ses mains, resserrant mon emprise dans sa nuque alors que ma main sur ses fesses vient la rejoindre. Je tourne légèrement la tête pour plonger mon regard dans le siens, un regard profond, vicieux mais surtout rempli de ce désir qui me submergeait. « Là de suite, je n’ai qu’une seule envie… » Et cette envie, c’était lui. Au diable les Twix – pour une courte durée, je ne vous abandonnes pas mes petites friandises- bonjour le corps de Florian. Je redresse légèrement mon visage pour, à mon tour, venir déposer mes lèvres dans son cou. Je ne me lasserais jamais de celle-ci, comme une drogue qui envahi mon être sans jamais faire effet très longtemps. Du coup, j’en réclamais encore et encore, merveilleux moment que voilà. M’approchant de son oreille, c’est à mon tour de murmuré, le plus sincèrement du monde. « Tu sais bien que tu passes bien avant mes Twix. » Oui à choisir, je mettais Florian au-dessus, ce n’est pas les Twix qui allaient sauver mes fesses face à un danger… Je laisse mes mains glisser le long de ses épaules et de ses bras, ne me gênant pas une fois de plus pour le griffer alors que j’avais repris mes baisers dans son cou, mordillant sa peau ici et là. Mes doigts agrippèrent sa ceinture, sauf qu’au dernier moment, je donne un coup de hanche bien placé pour me remettre au-dessus de lui. Reprenant là où je m’étais arrêté, je détache celle-ci avant de laisser mes lèvres s’attarder sur son torse. Prenant appui sur mon avant-bras, je laisse mon visage s’approcher du siens, mon bassin se frottant vicieusement contre le sien. « C’est qui qui domine qui là hein… » Et, comme lui, je ne lui laisse pas le temps de répondre, laissant mes lèvres prendre possession des siennes. 1132 mots - post 7 - 24h © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Mar 6 Sep - 6:49 |
| Florian & Gabriel Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Sans surprise, j’eus la satisfaction de sentir un membre tout aussi dur sous moi, alors que je lui faisais sentir la force de mon désir. Le sexe était déjà en soi quelque chose de grisant, savoir que l’autre vous veut amplifiant votre propre désir, mais le désir entre eux était mille fois meilleur. Parce qu’en temps normal déjà notre lien de parabatai était un fil invisible entre nous qui nous permettait de sentir au moins sommairement comment aller l’autre, physiquement, mais aussi émotionnellement. Alors lorsqu’on combinait le sexe et notre lien si particulier … C’était puissant que ça pouvait occulter notre soif de sang, pourtant si présente habituellement, surtout dans le cas de Gabriel.
C’était peut-être la raison pour laquelle les parabatai n’était pas censé être intimes, parce qu’ils seraient tellement pris l’un par l’autre, tellement plongés dans la frénésie qui les poussaient l’un pour l’autre, qu’ils n’auraient ni l’envie, ni le temps pour chasser les démons, ou tout autre créature cible de notre courroux. Cet instant en était l’exemple même, au lieu d’être parti travailler, j’étais en train d’exciter Gabriel, qui me retournait l’ascenseur, pour que nous couchions ensemble. Mi, si froid et si raisonnable, j’étais à cet instant au même niveau que mon parabatai dans le témérité et l’absence de bonne conscience – enfin, j’avais des doutes sur le fait que ma conscience soit bonne de toute façon.
Sa mauvaise estimation de l’éloignement de ses twix et sa remarque en conséquence me fit rire. Qui aurait cru que Gabriel Osborn, à la famille reconnue pour son sang de vampire et sa dangerosité, lui-même avide de sang et de violence, dépourvu du moindre état d’âme, ayant déjà un nombre incalculable de victimes à son compteur à seulement 26 ans, pouvait se montrer si boute-en-train ? Et c’est une part de lui que j’avais découvert avec surprise et que je m’étais mis à apprécier. En fait, il n’y avait pas grand-chose pas grand-chose que je n’aimais pas chez lui, peut-être sa trop grande témérité qui le poussait à faire face à plus de dangers que la plupart des chasseurs d’ombre. Même s’il avait des capacités largement au-dessus de la moyenne des Obscurs, il n’en restait pas mois mortel, et pouvait donc être tué. Pas facilement, mais certains seraient prêt à utiliser des moyens extrêmes pour se débarrasser d’un Osborn – à condition de ne pas avoir peur que le reste de la famille lui tombe dessus.
Lorsqu’il me dit être d’une grande patience, je retins un rire. Lui, patient ? Alors qu’il fonçait toujours sans réfléchir sur le champ de bataille ? Alors qu’il ne prendrait pas quelques secondes de réflexion quand des twix étaient en jeu ? Dans mon univers, Gabriel rimait avec instinct, imprudence et impulsion. Patience et Considération, c’était moi. Oui, nous étions deux côté d’une pièce, un ensemble parfait, et nous imaginer séparés, c’était comme imaginer une pièce qu’avec un seul côté, le pile ou la face. Impossible, les deux vont de pair.
Au lieu de rire j’avais donc continue mon manège, l’échauffant et m’échauffant en même temps, me laissant noyer par la sensation de son corps contre le mien. J’avais à la fois trop de surface à explorer et en même temps pas assez pour me rassasier. Gabriel détourna légèrement les yeux pour plonger son regard dans le mien. Le souffle m’échappa quelques secondes, alors que j’étais débordé par l’intimité de l’instant, nos corps enlacés comme s’il voulait fondre l’un dans l’autre et nos yeux, portes vers nos âmes – enfin si nous en avions, cela restait à prouver – rivés les uns aux autres. Sa réponse à ma question me frustra. S’il osait dire que c’était les Twix, je le tuais !
Mais il ne me laissa pas le temps de répliquer, et ses lèvres vinrent effleurer mon cou, me faisant frissonner malgré moi, et les mots suivants, chuchoter à mon oreille, plein de sincérité, me rassurèrent. Je murmurai vaguement un « Bien. », bien trop plongé dans les émotions qu’il créait en moi pour trouver une meilleure réponse. Seul lui pouvait me faire perdre ma vivacité d’esprit de cette façon, complètement et sans que je puisse lutter. Je réalisai vaguement que nos rôles avaient encore une fois été échangé, cette fois c’était lui qui s’acharnait sur mon cou, faisant naître en moi des frémissements de plaisir. Des ongles éraflant volontairement ma peau me rendait dingue, et je donnais quelques coups de reins en réponse, voulant, malgré mes paroles précédentes affirmant que je voulais pendre mon temps, accélérer les choses. Lorsqu’il me remit par terre pour se mettre au-dessus de moi, je le laissais faire. J’avais perdu tout velléité de le titiller.
Ses lèvres vinrent enflammer d’autres parcelles de ma peau, délaissant mon cou, mais je ne plaignis pas, loin de là. Lorsque son bassin se frotta contre le mien, délibérément pour me faire perdre la tête, un gémissement de désir m’échappa. Copiant mon comportement de tout à l’heure – était-ce il y a quelques secondes, ou quelques heures ? Je n’en avais aucune idée, j’avais perdu tout notion de temps – il me provoqua de quelques mots choisis et ne me laissa pas répondre. Sans réfléchir, je lui rendis son baiser, ma langue se glissant sa bouche, mes mains s’accrochant à ses épaules, mes ongles s’enfonçant dans sa chair, mon bassin allant et venant contre le sien. A cet instant, je ne voulais qu’une chose, qu’il me prenne. J’avais dit plus tôt que le laisserait sans doute faire ce qu’il voulait de moi : là j’étais incapable de faire autrement. Post 8 921 mots -24h |
| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Mar 6 Sep - 8:29 |
| - Avis au stalkeurs ça devient chaud mes cochons:
Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers.feat. Floriel Je suis en pleine ébullition, cocotte-minute vivante alors que mon corps réclame le siens sans préavis. La tension monte, la chaleur se dégage de nous comme une évidence même. Il n’y a plus rien d’autre qui existe. Le monde pouvait à l’heure actuelle s’écrouler, que je n’y verrais absolument rien, focaliser sur l’envie que Florian éveillait en moi constamment. Sincèrement, si quelqu’un était entré là de suite, je ne l’aurais même pas entendu, je n’y aurais même pas prêté attention. D’ailleurs, si quelqu’un était entré à ce moment et que – par miracle- je l’aurais remarqué, je me ferais un plaisir de l’égorger pour le punir d’avoir interrompu notre moment. « Bien. » Rien de plus, un mot qui veut pourtant tout dire alors que mes lèvres parcourent son cou avec avidité, inversant de nouveau les rôles pour me retrouver au-dessus de lui. Le plus souvent je prenais le contrôle de la situation, pourtant, il n’était pas non plus rare que je laisse Florian s’amuser avec moi. Autant dominant que dominé, c’était selon mon humeur, les circonstances ou encore nos envies. Je ne m’étais jamais cru plus fort que mon parabatai, encore moins plus important. Nous sommes égaux, différents, complémentaires. Nous nous complétions de diverses manières, aussi bien sur un champ de bataille que dans un lit ou même, dans la vie de tous les jours. Il était mon double, cette âme-sœur dont je ne pouvais décidément pas me passer. Si j’étais encore en vie c’était principalement grâce à lui et sa stabilité, m’empêchant de faire énormément de conneries, contenant mon impulsivité lorsqu’il était à mes côtés. Seul être capable de me contrôler lors de mes crises psychotiques. Un mot, un geste de lui et je revenais sur terre, bridant mes pulsions. Il pouvait se vanter de tenir en laisse le monstre que j’étais dès que les circonstances l’obligeaient. Pour l’heure, ce n’était pas le cas. Mon corps épousait le sien, mes doigts traçaient des marques rouges sur sa peau avec ferveur, m’excitant davantage sous ses coups de reins bien placés. Il allait me rendre fou et, effectivement, il avait raison, la patience est loin d’envahir mon être en ce moment. J’avais juste envie de lui enlever ses vêtements, de laisser part à mes envies primaires. Mes lèvres trouvent les siennes sans difficultés alors que sa langue glisse sur la mienne, entamant une danse endiablée à laquelle je réponds. Ses ongles dans ma peau me firent grogner de plaisir, frottant davantage mon bassin au sien, suivant son rythme. Je ne suis pourtant pas satisfait de la situation, trop de vêtements recouvrent encore son corps. Rompant notre baiser, le cœur battant, la respiration saccadée par le désire, j’attrape le haut de son pantalon pour le faire glisser sur ses jambes, me décalant par la même occasion. Je n’avais pas fait dans la dentelle, faisant suivre son boxer par la même occasion, libérant sa virilité qui m’appartenait de toute façon. Parce que oui, sachons-le, Florian m’appartient mes nombreuses crises de jalousies ne laissaient aucuns doutes là-dessus ! J’avais beau coucher avec de nombreuses personnes, le seul qui pouvait être sûr de ne jamais me perdre était bien lui. La seule façon de nous séparer serait la mort, en attendant, il était le seul et les autres n’avaient d’autres choix que de devoir me partager. Une fois son pantalon et son boxer jetés à travers la pièce, je fais rapidement descendre le simple vêtement qui couvrait mon corps, c’est-à-dire mon propre sous-vêtement. Egalité, nous voilà nus comme des nouveau-nés. Je peux dès lors admirer son corps dans son intégralité ce que je fais l’espace d’un instant. Si Florian est plus fin que moi de carrure, il n’en est pas pour autant moins musclés. J’avais juste hériter d’une ossature plus imposante à la naissance. Je viens mordre son genou, remontant à l’intérieur de sa cuisse, laissant ma langue glisser sur sa virilité pour déposer de multiples baisers sur son torse et enfin retrouver ses lèvres. Mon bassin revient chercher le siens, alors que ma main glisse dans ses cheveux, s’y agrippant. A ne plus en douter j’étais bel et bien en érection et ma virilité contre la sienne ne pouvait pas dire le contraire, surtout face aux frottements que j’entamais, cherchant sa langue avec la mienne. Ma main de libre glissa le long de sa hanche pour s’arrêter sur sa cuisse, soulevant celle-ci souhaitant avoir accès à ses fesses. J’ai le souffle coupé, le cœur battant, non, tambourinant dans ma poitrine. Je crève d’envie de le prendre sur ce sol sans plus de cérémonie, mais voilà, avant, je veux le rendre aussi fou que moi. Je veux qu’il paye pour avoir caché mes Twix, qu’il paye pour m’avoir titillé…En gros, franchement, quand j’en aurais finis avec lui il allait me supplier de l’achever…ce que j’allais faire avec un grand plaisir. Je décolle mes lèvres des siennes pour m’attaquer à son cou, mordant celui-ci avec avidité avant de venir plonger mon regard dans le sien. Un sourire vicieux sur le visage qui ne présage rien bon pour lui, enfin, si mais disons que c’était le sourire que j’avais quand j’allais le torturer en quelque sorte et faire durer les choses. J’enroule sa jambe autour de mon bassin, ne cessant pas de frotter ma virilité contre la sienne pour autant alors que ma main remonte et que je laisse un de mes doigts passer la limite de ses lèvres. Une fois que j’estime celui-ci assez humidifié, je retrouve rapidement le chemin de son ravissant fessier et entre celui-ci en lui, tout en exerçant une pression beaucoup plus forte contre son bassin, mes coups de reins se faisant plus francs et pressés. J’ai énormément de mal à ne pas directement passer aux choses sérieuses, mais il faut bien s’amuser avant non ? J’attrape sa lèvre inférieure entre mes dents grognent de plaisir alors que j’entamais des vas et viens en lui, laissant mon doigts préparer son corps pour la suite des évènements, faisant monter la propre pression de mon corps. 1002 mots - post 9 - 24h © MADE BY SEAWOLF.
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| | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Mar 6 Sep - 22:38 |
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Florian & Gabriel Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Ses mains et ses lèvres sur moi, son odeur, son goût sur mes lèvres m’avaient ôté toute capacité de réflexion – ce qui n’était pas plus mal. Je ne voulais pas réfléchir, je voulais juste me perdre dans cet enlacement qui me rendait dingue. J’avais cessé de calculer mes actions dans le seul but de l’enflammer. Désormais j’agissais d’instinct, lui laissant les rênes. D’habitude j’étais celui de nous deux qui prévenait les ennuis, qui m’assurait que l’autre n’allait pas trop loin, bref celui en charge des responsabilités. Mais là je n’en voulais plus, je ne voulais plus avoir à penser à la meilleure à faire, je ne voulais plus être celui en charge. Alors je le laissai me dominer, je le laissai la domination de notre étreinte. Cette fois, j’étais celui qui avait besoin de m’abandonner à l’autre. Nous alternions, selon nos envies et nos besoins respectifs, selon la situation, selon des tas de variables qui nous échappaient même à nous-même. Un sourire plus vicieux que l’autre, une caresse plus osée que l’autre, parfois déterminer qui dirigerait nos ébats ne se jouait pas à grand chose. Mais en l’occurrence le doute ne planait, c’était une décision que j’avais prise avant de commencer à me déshabiller. Alors je n’avais qu’à me laisser faire, à me laisser emporter. Bon je n’allais pas non plus lui laisser faire tout le boulot non plus j’allais donner un coup de main.
A mon grand regret il mit in à notre baiser pour se reculer un peu, s’offrant un peu de marge de manœuvre. Ses mains glissèrent sur mon corps et m’arrachèrent un frisson de plaisir alors qu’il fit glisser mon pantalon le long de mes jambes. Je me tortillai pour lui faciliter la tâche, et mon sous-vêtement suivi bientôt le trajet volant à travers la pièce. Si je n’étais pas si impatient de passer à l’étape suivante, je l’aurais sans doute taquiné sur cette manie de balancer les fringues alors qu’il aurait juste pu les abandonner sur le sol à côté de nous. Mais j’avais d’autres préoccupations en tête, notant de lui faire la remarque plus tard. Je souris en le regardant se mettre totalement nu – non pas qu’il ait été très couvert avant – admirant au passage ce corps aux muscles fermes et à la peau couverte de runes rouges. Nous nous observâmes un moment, tous les deux perdus dans la beauté de l’autre, mais bien vite notre frénésie reprend le dessus.
Gabriel se pencha et mordilla un point sensible derrière mon genou, et je m’étonnai encore qu’il ait pu découvrir cette particularité de mon corps. Comme quoi, il me connaissait mieux que je ne me connaissais. Je retins un gémissement alors que les lèvres de mon parabatai remontaient le long de ma cuisse, affolant un peu plus mon cœur. Quand ses lèvres se posèrent sur mn membre dur, mes lèvres s’entrouvrent malgré moi, laissant passer un soupir de plaisir. Heureusement il calma quelque peu le jeu, me laissant reprendre mon souffle qui était devenu des plus irréguliers. Lorsque ses lèvres atteignirent les miennes, nos langues reprirent leur danse enfiévrée. Sa main se glissa dans mes cheveux, m’ôtant un peu de ma liberté de mouvement, ce qui m’excita d’autant plus. J’aimais les gestes possessifs qu’il avait envers moi et qui prouvait l’importance que j’avais à ses yeux.
Entre notre baiser incendiaire et les ondulations de hanches, qui poussaient nos virilités l’une contre l’une à un rythme insoutenable, c’est à peine si je sentis son autre main qui voyageait le long de mon corps. Je ne m’en rendis compte que lorsqu’elle souleva ma jambe, pour lui offrir un meilleur accès à mon postérieur. Je poussais un grognement affamé, impatient qu’il passe à la suite. Mais à l’inverse il freina nos ébats, détachant ses lèvres des miennes et m’arrachant un geignement de mécontentement. Ses lèvres se rappelèrent au bon souvenir de mon cou, et je frissonnai légèrement sous cette caresse – dont la répétitivité était loin d’en ôter l’attrait – avant qu’il ne relève la tête pour plonger ses yeux dans les miens, prolongation de ce lien si particulier entre nous.
Son sourire pervers me coupla le souffle, déjà parce que Gabriel était d’autant sexy lorsque son côté joueur était de sortie, mais aussi parce que je savais qu’il avait une idée derrière la tête, et que ça allait me plaire – comme tout ce qu’il me faisait au demeurant. Sans que je ne songe à réagir, il enroula ma jambe autour de son corps et je l’y ancrai, suivant ses ordres implicites. Nos corps n’avaient cessé de se frotter l’un contre l’autre, mais dans cette nouvelle position je le ressentais encore plus. Soudain un de ses doigts se glissa dans ma bouche, et mon ventre se contracta de désir en comprenant ce qu’il attendait de moi. Mon regard toujours plongé dans le sien, je me mis à sucer son doigt, enroulant ma langue autour, le mordillant légèrement, aspirant tout en faisant des allers-retours dessus.
Bien trop tôt à mon goût – je m’amusais moi ! - il retira son doigt. Devinant la suite, je ne me plaignis, soulevant un peu plus ma cuisse pour lui donner un meilleur accès à mon intimité. Dans le même temps il amplifia ses coups de bassins, m’arrachant un gémissement. Mes ongles s’enfoncèrent dans son dos, comme si je cherchai une pris pour ne pas perdre pied tout de suite. La sensation de son doigt en moi me fit haleter. Ses dents mordirent mes lèvres, mais je n’y pensais même pas. Toute mon attention était dirigée vers le bas de mon corps, tant par les frottements de son membre contre le mien que par les allers-retours de son doigt dans mon étroit canal.
Quand bien même j’avais deviné que Gabriel voulait prendre son temps – je soupçonnais une raison cruelle qui m’échappait mais que je n’avais pas vraiment envie de trouver de toute façon – ce n’était pas suffisant pour moi. L’intimité de nos corps était accentuée par le lien de parabatai dont les runes rouges ornaient nos peaux. Pourtant ce n’était pas encore assez proche, ce ne serait jamais assez proche. En cet instant, la seule façon de nous unir de manière satisfaisante était de nous fondre l’un dans l’autre. A défaut, je voulais le sentir en moins, même pour quelques minutes, pour que l’espace de quelques instants, j’ai la sensation que nous étions vraiment unis et inséparables, que rien ne pourrait nous tenir éloignés l’un de l’autre, que nous ne faisions qu’un.
Impatient, j’attendis le moment où son doigt, presque sorti de mon corps, s’apprêtait à y revenir à nouveau, pour donner un grand coup de bassin vers le bas, m’empalant dessus. Le mouvement m’arracha une plainte de plaisir, tandis que je répétais l’opération plus d’une fois. Si Gabriel savait me rendre fou, je savais lui renvoyer l’ascenseur. Et je n’avais aucun doute que lui faire avoir de manière aussi cru que j’étais prêt à recevoir un plus qu’un doigt – et même que je l’attendais sans patience – enflammerait son sang déjà chaud. Il pouvait essayer de se retenir autant qu’il le voulait ce n’était pas du tout dans sa nature, et je savais donc qu’il ne tiendrait pas longtemps, ce qui m’arrangeait bien, puisque je n’étais de toute façon pas sûr de tenir longtemps à ce rythme, et je voulais le sentir en moi avant d’en finir. Post 10 1221 mots -24h
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| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Mar 6 Sep - 23:20 |
| - Avis au stalkeurs ça devient chaud mes cochons:
Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers.feat. Floriel Me contenir avec Florian était tout bonnement impossible, pas quand nous étions seuls, encore moins lorsque nos vêtements tombaient comme des mouches. J’étais dans un état d’excitation abominable, pourtant, j’avais décidé de l’emmerder un coup. Venant mordre un endroit sensible chez lui – à force de mordre son corps je finis par trouver les endroits qui font mouches -, j’entame une montée plus entreprenant sous, l’écoutant soupirer de plaisir. Ce son me fit moi-même frémir, le sachant en alerte face à mes actes, satisfait de lui donner ce plaisir que je pouvais également ressentir dans mon être. Revenant chercher ses lèvres, mes frottements se firent plus intenses, plus désireux. Pourtant, l’impatience commence clairement à monter en moi et passer à l’étape suivante me semble nécessaire. D’ailleurs, Florian ne se fit pas prier pour s’amuser avec mon doigt, déclenchant de multiples frissons alors que je venais quelques fois mordiller la commissure de ses lèvres par la même occasion. Pas de retenue, pas de gêne, il n’y avait que lui et moi dans un moment totalement fusionnel. Nos corps, notre âme n’allaient plus qu’être un. Dangereux jeu que voilà, mais qu’importe, les conséquences ne me sont pas inconnues et je n’en avais rien à foutre n’y croyant pas vraiment. Retirant mon doigt de sa bouche, je l’entends grogner de mécontentement, souriant avec amusement. Oui, je venais de lui enlever son jouet, mais j’allais l’échanger contre un autre. J’adorais le voir dans cet état, réclamer davantage de temps, davantage de ma petite personne. C’est tout bonnement merveilleux. J’avais l’impression d’être plus important à ses yeux, comme celui que personne ne pourrait jamais remplacer. Ce qui en soit était vrai, comme ça l’était pour ma part. Nous étions unis de bien des façons, mais cette façon-là était certainement ma préféré…ben quoi, le sexe avec Florian c’est juste inégalable ! Sa jambe enroulée autour de moi me donnais l’espace adéquat pour entrer un doigt en lui, lui arrachant un gémissement alors que ses ongles s’enfonçaient dans ma peau. Je gémis également face à la douleur qui s’élança dans mon corps, ne faisant que m’exciter davantage alors que j’appuyais mon bassin contre le sien. J’entame des vas-et-viens en lui, la respiration saccadée par le désir d’autres évènements. Enfuyant mon visage dans son cou, je pouvais sentir mon souffle caresser sa peau, s’y percuter pour revenir vers moi. Nos corps se frottent sans retenues alors que je continue mon petit jeu, cherchant à élargir cet endroit que j’allais posséder bien plus sauvagement par la suite. Pourtant, Florian ne l’entendait pas de cette manière. Alors que je m’apprêtais à revenir, celui-ci vient s’empaler sur mon doigt. J’entre ouvre la bouche un soupire de plaisir face à son impatience, laissant la douce mélodie de sa plainte résonner à mon oreille. Il continue le mouvement plus d’une fois, perdant cette patience qu’il arborait en général, me montrant bien qu’il souhaitait passer à autre chose. Je souris en coin venant sauvagement prendre possession de ses lèvres, entrant un second doigt en lui. A chaque fois qu’il s’empalait sur ceux-ci, je faisant en sorte d’effectuer un autre mouvement plus sec, grondant de plaisir et d’excitation. D’accord, je ne pouvais plus tenir, il avait clairement gagné. Je lâche ses lèvres, le cœur battant bien trop vite dans ma poitrine. Retirant mes doigts, je décolle ma virilité de la sienne pour la faire glisser vers son entrée bien travaillée au corps, c’est le cas de le dire ! Pourtant, je fais en sorte de n’entrer que de très peu, rien que pour l’emmerder. « C’est ça que tu veux ? » Je sens qu’il est prêt à s’empaler dessus, du coup, je recule mon bassin pour l’en empêcher. « Je décide ! » Ma voix était autoritaire mais amusée alors que je plongeais mon regard dans le sien…. Je faisais le malin, néanmoins, je ne tiens pas plus longtemps. Me redressant légèrement, je garde mon regard rivé dans le sien, souhaitant voir son visage lorsque je lui offrirais ce qu’il attendait avec impatience. Trouvant que le jeu avait assez durée, je finis par céder et sans plus de cérémonies, je m’enfonce en lui. La douceur n’a jamais été mon truc, néanmoins, je n’y vais pas comme un barbare non plus. Pas avec lui. Je peux me sentir serré malgré le fait d’avoir effectué des préliminaires, ce qui m’arracha un gémissement de plaisir. J’entre entièrement en lui d’une seule traite, poussant mon bassin au maximum contre lui, les lèvres entre-ouvertes par le plaisir évident que ça m’arrachait. Mon corps se met à trembler avec fureur rien que par cette simple pénétration, je n’osais pas imaginer le reste. Pourtant, mon bassin se met sans plus attendre en action. Me retirant jusqu’à la limite, j’entre de nouveau en lui avec force ne pouvant retenir un gémissement de plaisir. Dire que c’était bon serait un bien faible mot, c’était bien plus que ça…Mes deux mains se plaquèrent de part et d’autre de son visage, à plat sur le sol pour y trouver un appuie stable. Une fois de plus, j’entre le plus possible en lui, cherchant réellement à ne former qu’un avec lui. Mes coups de reins s’accentuèrent, se faisant plus répétitifs alors que je ne le quittais pas des yeux, mon visage proche du sien. 877 mots - post 11 - 24h © MADE BY SEAWOLF.
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| | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Mer 7 Sep - 23:15 |
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Florian & Gabriel Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Chaque parcelle de mon corps en contact avec celui de Gabriel m’envoyait des décharges de plaisir de plus en plus intenses au fur et à mesure que les minutes s’écoulaient. J’y étais accro, et je me pressai davantage contre lui, voulant le sentir plus, plus, toujours plus. Je voulais être très proche que nos peaux n’en seraient qu’une, que chacune de ses sensations serait mienne et que chacun de mes souffles serait le sien. A défaut de pouvoir me fondre en lui, je me délectais de la moindre onde de plaisir que son toucher, qu’il soit léger ou appuyé, créait en moi. Son doigt glissant sur les parois sensibles à l’intérieur de moi me semblait à la fois si gros et pas assez, tandis que je m’acharnais à le pendre aussi loin en moi que possible. Je compensais comme je pouvais le manque que je ressentais en me frottant indécemment contre Gabriel, sa peau addictive faisant crépiter la mienne.
J’avais conscience d’avoir perdu tout contrôle de moi-même – et je n’en avais rien à foutre. S’il y avait une personne avec laquelle je pouvais complètement me lâcher, c’était lui. Je n’avais pas peur qu’il profite de mes failles pour s’en prendre à moi. Je n’avais pas peur qu’il puisse me croire faible parce que je me soumettais à lui. Je n’avais pas peur tout court avec lui, car je savais qu’à nous deux nous étions capables de tout. Et ce que je faisais en cette instant, c’était un prolongement de notre de parabatai. Je lui faisais confiance pour lui confier mon corps, pas seulement pour me protéger lors d’une bataille, mais pour m’emmener au sommet du plaisir – et aussi pour l’amener lui à ce même sommet.
Aussi excité que moi, mon parabatai laissait lui aussi échapper des bruits de plaisir, érotique à souhait, alors que moi-même je ne cherchais plus à les retenir. A la suite de mes coups de reins exigeants, il vint m’embrasser férocement, détournant mon attention du bas de mon corps pour la reporter sur nos bouches fermement pressée l’une contre l’autre. Mais pas assez pour que je ne sente pas un deuxième doigt se glisser en moi, et mon gémissement fut étouffé contre les lèvres de Gabriel. Je ne cessai pas mes coups de reins, car ce n’était toujours pas ce que j’attendais avec autant d’impatience, alors qu’une de mes mains dessera sa prise du dos de Gabriel pour venir enserrer son fessier. Ses mouvements brusques m’arrachaient des soupirs et je me sentais doucement partir.
Lorsqu’il retira ses doigts, je manquais de le mordre de frustration. Il allait me rendre dingue. Mais sentir son membre glisser vers mon canal plus si étroit fit taire la complainte qui s’apprêtait à sortir de mes lèvres, et je me mordis les lèvres, les yeux grands ouverts en le sentant passer le muscle dilaté. Toutefois il n’avança pas beaucoup prenant le temps me titiller d’abord. N’étant pas vraiment dans l’état d’esprit d’une discussion, je cherchai à l’enfoncer en moi pour lui faire comprendre ma réponse. Mais il me connaissait par cœur et prévit mon mouvement et se recula pour m’en empêcher. Un grognement de frustration m’échappa et ma main griffa ses fesses pour me venger. A mon grand dépit, je commençai à regagner mes esprits alors que je ne voulais rien d‘autres que perdre mes capacités de réflexion. Et je savais qu’en plus c’était intentionnel de sa part, ce qui me mettait encore plus en rogne. Comme je ne répondis, il me fit savoir qu’il était celui aux commandes. Ah bon, alors c’était pour ça que j’avais un bout de queue dans mon anus ? Merci de me le faire savoir.
« Tu décides ce que tu veux Gab, mais prends pas trop de temps à te décider, sinon je vais refroidir. » C’était une menace en l’air, car mon corps réagissait, toujours et envers tout, au sien. Sa peau contre le mienne n’avait pas cessé de me picoter alors que je lançai ma remarque, pas plus que je n’avais cessé de ressentir du plaisir à le sentir m’écarter aussi intimement, ni que son regard plongé dans le mien avait cessé de me nouer l’estomac. Toutefois mes mots semblèrent porter leur fruit car, sans prévenir, il poussa d’un coup en moi. Un nouveau gémissement m’échappa, et mon agacement temporaire disparu. Le sentir prendre place dans mon corps si sauvagement me fit perdre le peu d’esprit qui m’était revenu, et je ne fus à nouveau régi que par mes instincts. Mes hanches bougèrent d’elles-mêmes pour répondre aux mouvements possessifs de Gabriel. Quand à ma voix, elle se fit entendre, sans que je sache ce qu’elle exprimait. En tout cas pas mon mécontentement. Celle de mon parabatai se fit également entendre, peut-être pas aussi sobrement, mais assez pour attirer mon attention vers son visage. Ses lèvres entrouvertes, ses yeux brillants de plaisir, il était à couper le souffle, et le voir plongé dans la même passion que moi nourrissait l’incendie dans mes veines. Nos yeux ne se détournèrent pas alors que ma main glissa de son épaule vers sa nuque, et que je me perdais dans la plaisir qu’il m’insufflait. Post 12 857 mots -24h
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Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
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Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Jeu 8 Sep - 13:37 |
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Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers.feat. Floriel Je m’amuse tout en me torturant. Il faut dire que le voir me désirer autant que je le désire c’est carrément le pied sur cette foutue planète de merde. Je continue à élargir cet endroit que je convoitais tant. Florian avait le don de m’attirer sans avoir le moindre effort à faire. D’un simple regard, d’un simple frôlement, il pouvait éveiller ma libido plutôt active et réactive. Mais avec lui c’était tellement différent, tellement plus fort. Mes lèvres contre les siennes, je sentis son gémissement étouffer entre mes lèvres alors que j’insinuais un deuxième doigt en lui, ne faisant que prolonger ce moment de complicité entre nous. Sa main quitta mon dos pour se retrouver sur mes fesses, ce qui en soit, ne pouvait que m’exciter davantage. En, si c’est encore possible. Ses coups de reins ne laissent pas de doutes face à ce qu’il désire vraiment, mais voilà, je suis du genre à faire ce que j’ai envie et donc, je continue mon petit manège, laissant mon corps se frotter contre le siens. Lorsque je l’empêche de s’empaler sur moi, je sens ses doigts griffer mes fesses et je gémis de plaisir par ce simple acte. Oui, mélange de douleur et de plaisir, le combo merveilleux si vous voulez mon avis. « Tu décides ce que tu veux Gab, mais prends pas trop de temps à te décider, sinon je vais refroidir. » Refroidir ? Laisse-moi rire, je l’avais connu plus convainquant que ça dans ses mots hein. Mais autant ne pas prendre de risques inutiles. Puis, si je continuais comme ça, j’allais littéralement exploser et finir par devenir plus violent. Frustration sexuelle quoi…J’entendre en lui de tout mon long, laissant son gémissement résonner dans la pièce, m’indiquant qu’il y prenait également du plaisir. Heureusement, sinon j’aurais été vexé hein. Mes coups de reins se firent plus fréquents, plus rapides alors que ma voix se mélangeait à la sienne. M’accompagnant dans mes mouvements, je plantais mon regard dans le sien, me laissant envahir par ce plaisir cuisant que je pouvais dès lors ressentir. Le cœur battant dans ma poitrine, je sens sa main venir attraper ma nuque, alors que nos regards ne se lâchent pas. J’ai du mal à déglutir, la gorge serrée par les émotions qui me submerge. Rapidement, ma voix se fait plus portant, ne pouvant plus retenir un quelconque gémissement de plaisir. La retenue n’est plus d’actualité. Je finis par revenir chercher ses lèvres avec les miennes, l’embrassant goulument avec une passion dévorante, déviant dans son cou pour l’y mordre assez fort au passage. Finalement, je décide de changer un peu de position, histoire de s’amuser un peu mais également de donner le plus de plaisir possible à mon amant. Je me redresse sur mes genoux l’obligeant à détacher ses jambes pour les soulever et les mettre sur mes épaules. Sans me détacher de lui une seule seconde, je recommence mes coups de reins, enfonçant légèrement mes ongles dans la peau de ses jambes. Je n’ai plus conscience de rien de rien, à part du plaisir que me procurait ma virilité en lui. Je suis beaucoup plus sec dans mes mouvements, laissant une certaine force s’emparer de moi sans pour autant chercher à lui faire mal. Quoi que, pour faire mal à Florian il faut y aller… L’une de mes mains vient agripper sa hanche, alors que l’autre, elle, enroule sa virilité bien irriguée par le plaisir. Autant partager un peu, puis, avec Flo je n’ai jamais été égoïste contrairement avec d’autres. Sûrement à cause de notre lien, à cause de ce qui me lie à lui ou même à cause de l’attachement naturelle qu’il éveille en moi. Tout en continuant de le pénétrer sans grandes retenues, je commence des vas-et-viens autour de sa virilité, tenant sa hanche de mon autre main. Sincèrement, je ne saurais pas dire combien de temps c’était déjà écoulé, j’étais complètement déconnecté de la réalité. Déjà, mes muscles se crispaient, signifiant que l’instant cruciale n’allait certainement pas tarder. Une fine couche de sueur avait élue domicile le long de mon dos, alors que je déposais mon front contre l’une de ses jambes sur mes épaules. La respiration haletante, j’accélère mes mouvements que ce soit au niveau de mon bassin ou encore de ma main. Il fallait que je me contienne un minimum, me connaissant, je risquais de perdre les pédales et de finir plus animal qu’humain. 735 mots - post 13 - 24h © MADE BY SEAWOLF.
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| | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Lun 26 Sep - 17:37 |
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Florian & Gabriel Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Accroché à lui, je me perdis dans les vagues de plaisir qu’il créait en moi, coup de rein après coup de rein, toute autre notion que cet instant de partage absente de mon esprit. Il n’y avait que nous, peau contre peau, souffle se mélangeant, sa chair dans ma chair, nos voix vibrantes à l’unisson, exprimant les mêmes émotions. Ma peau picotait comme si j’étais traversé par un courant électrique, mais je ne recherchais rien de moins, car c’était pour moi le signe que nous étions connectés, plus proche que jamais, deux parabatais parfaitement unis, liés aussi profondément que possible.
Mon regard plongé dans le sien, je vis mon désir, mon plaisir, mon amour reflétés dans ses yeux. A cet instant, nous n’étions pas seulement deux moitiés d’un tout, nous étions un seul être en parfaite harmonie, incapables de différencier de ce qui était Gabriel et ce qui était Florian. Si cet instant pouvait durer éternellement, si l’intensité de cette connexion pouvait ne jamais baisser, ce serait parfait. Tout en lui, ses gestes, son regard, criait le même besoin que le mien, le besoin d’être plus proche encore de l’un de l’autre, la nécessité de maintenir notre lien au plu fort, au plus profond.
Lorsque ses coups de reins accélèrent, je suivis inconsciemment le mouvement, m’adaptant naturellement à son rythme, mon corps, réglé sur la même fréquence que le sien, n’avait aucun problème à se calquer à lui. Je le clamais comme mien, à ma façon, de la même façon qu’il imprimait sa marque en moi, à nouveau. Quand bien même nos positions étaient différentes, nous étions à la fois un miroir l’un de l’autre et à la fois deux faces d’une même pièce. A la fois semblables et complémentaires. Égaux et différents. Somme toute, parfaits, comme l’instant que nous vivions.
Son baiser torride enflamma encore plus mes sens, le manque de souffle qu’il engendra rendant en plus intense les autres sensations auxquelles mon corps étaient soumis, comme si me priver de ma respiration me rendait encore plus sensible aux signaux envoyés par tous les nerfs de mon corps. Mais cela ne dura tandis que ses lèvres se glissèrent de mon cou. Alors je reprenais mon souffle, la morsure qu’il m’infligea fit naitre une vague de picotement à travers mon corps, me faisant sursauter de plaisir et un gémissement un plus bruyant que les autres s’échappa de mes lèvres, marquant mon plaisir face à cet acte qui m’aurait fait mal dans d’autres circonstances.
Déjà très loin en terme d’excitation, je ne réagis pas beaucoup plus lorsqu’il changea de position augmentant le contact de son corps dans mon corps, seul un flash m’aveuglant quelques secondes marquant l’augmentation de mon plaisir. Une légère douleur me parvint depuis mes jambes, mais j’étais incapable d’en déterminer la cause, mon esprit complètement hors d’usage, muselé par la multitude de sensations assaillant mon cerveau. J’étais vaguement conscient de l’accélération des pénétrations de Gabriel, mais j’étais tellement pris par les stimuli qui court cicuitaient mon esprit, tellement en phase avec lui aussi, que mon corps s’en accommoda aussitôt, encaissant ses mouvements brutaux sans problème.
Lorsque sa main se posa sur mon membre, je vis de nouveau des éclairs, et un sifflement bruyant m’échappa, alors que j’agrippai les draps, me retenant, voulant inconsciemment faire durer le moment. Parce que ce moment de complète intimité entre nous deux ne durerait jamais assez longtemps. Il aurait une fin à un moment à un autre, et mon inconscient autant que mon moi conscient ne le voulaient pas. Tout mon être se tendait vers Gabriel, à chaque instant de ma vie, et les instants comme celui-ci étaient ceux où je ne pouvais pas être plus proche de lui, où j’étais là où je voulais être.
Ses doigts caressèrent ma virilité, sachant exactement comment augmenter mon plaisir, et si ses gestes étaient un peu brusques, j’étais bien incapable de m’en rendre compte. Je sentais que j’allais bientôt être au summum de mon plaisir, annonçant à la fois la fin de cette intense intimité, et en même temps son apogée. Toutefois quelque chose me retenait, alors que mon corps était tendu à l’extrême, prêt à se libérer. Mon regard se focalisa sur celui de Gabriel, et je le vis tendu lui aussi, mais il semblait se retenir. Ce n’était tellement pas son genre de se retenir, que j’en fus touché, manquant de me faire jouir. Me concentrant sur lui, je décrispai une de mes mains et l’utilisai pour attraper son fessier, le griffant une nouvelle fois au passage. D’une voix rendu grave par le plaisir, je murmurai : « Te retiens pas, Gab. »
Sur ces mots je me laissai envahir par la décharge de plaisir qui n’attendait que de se libérer. Tandis que je la sentis traverser ma colonne vertébrale, me faisant m’arcbouter, mon regard toujours plongés dans celui de mon parabatai, je le regardai plonger dans le même émoi que moi.
Post 14 819 mots
Dernière édition par Florian Starkweather le Mar 27 Sep - 21:42, édité 1 fois |
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Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Mar 27 Sep - 13:24 |
| Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers.feat. Floriel - Avis au stalkeurs ça devient chaud mes cochons:
Mon corps est en alerte, je ne sais plus où je suis, qui je suis non plus. Un mélange subtil du fait que je ne forme plus qu’un être en parfaite harmonie, ce qui est en soit dangereux, avec Florian. Le plaisir ne fait que me submerger par vagues de plus en plus intenses, alors que mes coups de reins s’accélèrent. Ce moment j’aimerais qu’il dure une éternité, qu’il ne s’arrête jamais. Avec lui, c’est comme si j’étais moi sans avoir à me cacher d’une quelconque façon, partageant ce plaisir propre à deux êtres complètement connectés. Pourtant, le désir devient bien trop intense et je sens le moment ultime proche. Je me retiens, cherchant quelques minutes, quelques secondes de plus. Mon regard se cale dans celui de mon parabatai qui semble à la même limite que moi. Je sens sa griffure sur ma peau, m’arrachant un gémissement bruyant parmi tant d’autres. « Te retiens pas, Gab. » Il me connait que trop bien, ça en est déroutant mais en-même temps je pouvais dire pareil de lui. Je ne me fais pas prier plus longtemps, ma poitrine sur le point d’imploser sous la force de mes battements de cœur. Je ne tiens pas plus de quelques coups de reins en plus avant que mon corps ne soit envahi par cette chaleur intense. Je relâche sa virilité pour m’accrocher à ses hanches, alors que je suis pris d’assaut par de soubresauts face au l’apothéose du moment.
La respiration haletante, je me sens trembler de part et d’autre, comme abandonné de toute force vitale. Je me demandais encore comme je tenais droit. D’ailleurs, je ne pris pas longtemps avant de relâcher les hanches de Florian pour me laisser aller en avant, amortissant ma chute en plaquant mes mains sur le sol, me retrouvant au-dessus de lui. « Pourquoi on ne fait pas ça plus souvent ? » Je souris avec amusement alors que mon corps tremble toujours, les jambes de Florian reposant toujours sur mes épaules. Heureusement pour lui, il est assez flexible. Je peux sentir mon souffle se répercuter sur sa peau, alors que calmement, je viens déposer un simple baiser sur ses lèvres. Je reste encore quelques secondes dans cette position avant de me détacher de lui, faisant ainsi en sorte que ses jambes reprennent leur position initiale. Une fois fait, je me laisse aller sur le côté assez lourdement, poussant un soupire d’aise, la respiration légèrement plus calme mais n’ayant pas encore repris un rythme normal. Passant une main sur mon visage, je peux remarquer à présent que je suis simplement couvert de sueur et que mes muscles se détendaient enfin face à l’effort fourni. Observant le plafond, je garde quelques secondes le silence, pensif. Si souvent j’étais un grand bavard qui aimait dire des conneries, beaucoup ignoraient que j’étais d’une grande intelligence. Certes, mon intelligence je l’utilisais à faire des conneries, mais elle était bien là. « Tu as déjà regretté d’être devenu mon parabatai ? » Question que je me posais assez régulièrement. S’il y a une personne qui comptait plus que ma vie elle-même, c’était bien Florian. Parfois, je me surprenais à me dire que si je devais choisir entre lui et un membre de ma famille, j’irais vers lui. Il était ce que j’avais de plus précieux, de plus unique. Je ne lui montrais peut-être pas assez. Je n’étais pas parfait, loin de là. Bourré de défauts, d’imbécilité, s’il y en avait bien un qui pouvait sans doute me faire sombrer c’était lui. Parce que oui, Florian avait une emprise telle que, sans son corps près du miens, je me sentirais vide et incomplet. Tournant la tête vers lui, je me positionne sur le côté, un regard sérieux sur le visage. Ils sont rares ces moments où l’abruti s’en va pour laisser le sérieux prendre le dessus, quoi que, généralement dans nos moments intimes je deviens plus tendre, plus calme également. Je lui appartenais en entier, mais en avait-il seulement conscience ? Avait-il seulement conscience de ce qu’il éveillait en moi à chaque fois que je croisais son regard ? A chaque fois que je sentais sa présence vibrer en moi grâce à notre lien, m’indiquant qu’il n’était jamais bien loin. « Ce que je veux dire par-là c’est…tu ne t’ai jamais demandé ce qu’aurait été ta vie sans que je sois entré dedans ? » Moi, sincèrement, je n’arrivais pas à imaginer un dénouement sans mon parabatai. Je l’avais choisi lui à la place de Léa, alors qu’elle était ma sœur jumelle, alors que d’une certaine façon elle était mon double également. Mais, là où elle m’avait abandonnée, Florian ne l’avait jamais fait. Je me sens alors assez con face à ce déballage de question, ce qui n’est pas dans mes habitudes. Je me redresse alors rapidement. « Laisses tomber. » Oui, je préfère fuir, effacer mes doutes, ce que je ressens également me dirigeant déjà vers la salle de bain pour aller prendre une douche. Je n’ai pas dans l’habitude de lui poser ce genre de questions, mais ses derniers temps, avec la transformation de Léa, j’avais tendance à perdre pieds et une certaine peur de l’abandon c’était emparé de moi. Allumant la douche je vais sous l’eau tiède en soupirant, la tête baissée vers le sol, une main collée au mur pour me soutenir. 891 mots - post 15 - 24h © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Mar 27 Sep - 21:39 |
| Florian & Gabriel Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. - Hot Hot Hot:
Pendant une seconde, une éternité, je dérivais avec mon parabatai dans une bulle de plaisir, à l'écart du monde entier, savourant les derniers instants de cette connexion qu'il était difficile d'atteindre autrement que par la passion physique. Mon esprit encore embrumé se remit lentement à fonctionner, mon corps prenant conscience, comme si ce n’était pas vraiment moi qui le ressentait, du poids de Gabriel sur moi, de son membre qui glissai doucement hors de mon corps. Tous deux haletants, nos corps vibraient encore de l’ardeur que nos deux corps unis avaient montrée. C’était un instant de paix, de calme, nos soucis oubliés, la douceur remplaçant la cadence rapide de l’acte, malgré l’ingratitude du moment, nos deux corps en sueur collés l’un à l’autre, mes fluides maculant de nos abdomens, ses fluides s’échappant de mon corps. Lentement je reprenais ma respiration, la température de mon corps chutant doucement, mes sens retrouvant leurs aptitudes habituelles.
Lorsque Gabriel ouvrit la bouche dans l’intention de parler, je m’attendais déjà à sa connerie, parce que c’était sa nature, même s’il était vrai qu’après s’être « épuisé » il était généralement un peu plus calme. En l’occurrence, loin de ses bêtises habituellement, je supposais que c’était sa façon de se protéger émotionnellement, vu à quel point on s’était ouvert l’un à l’autre – encore que physiquement, ça avait été plus dans un sens que l’autre. A sa question j’émis un grognement, trouvant le moment mal approprié pour lui donner les raisons pour lesquelles la fréquence de nos activités intimes était réduite – comme le fait qu’il habitait près de chez sa famille qui pourrait nous tomber dessus à tout moment, ou juste le fait qu’il était pas fichu de garder sa queue dans son pantalon très longtemps et que je pouvais pas le laisser nous entrainer au pieu toutes les dix minutes, puisque j’étais la seule voix de la raison de notre duo. De toute façon il ne me laissa pas le temps de vraiment répondre qu’il se pencha, pliant un plus mon corps – par chance, dans mon euphorie post-coïtale, mon corps ne s’en plaignit pas trop, et je le laissai m’embrasser, appréciant ce prolongement, bien que moins intense, notre intimité précédente. Bien vite toutefois, il se glissa sur le côté, relâchant un peu la pression sur mon corps, l’air frais venant aussitôt refroidir un peu ma peau. Un calme tranquille s’installa entre nous, et je fermai les yeux pour en profiter. C’était rare que Gabriel ni ne dise, ni ne fasse de conneries. Bougeant légèrement pour soulager la raideur dans mes omoplates endoloris – je notai de ne plus laisser Gabriel me prendre sur le sol, on avait pas inventé les lits pour rien, merde – je le sentais cogiter près de moi. Sa question inattendue me laissa sans voix. Je retirais ce que j’avais dit sur le fait qu’il sortait moins de connerie après le sexe – mais d’où ça sortait ce genre d’interrogation existentielle ? Si quelqu’un devait se poser la question, c’était moi. Après tout, il aurait pu choisir de devenir parabatai avec sa jumelle, c’était ce que Léa avait voulu après tout. C’était donc plutôt à moi de me demander s’il n’aurait pas préféré devenir son parabatai à elle – question que je me posais quotidiennement au demeurant. Me tournant vers lui, je le vis les yeux fixés vers le plafond. Secouant la tête, je lui répondis, m’accordant à son ton sérieux et retenant l’ironie d’habitude si présente dans mes paroles : « Non, pourquoi ? » Il se tourna vers moi, le sérieux imprégnant ses traits. Mon ventre se noua sous l‘émotion, à la réalisation que j’étais le seul à le voir ainsi. Comment pourrais-je regretter d’être lié à lui pour le restant de nos jours quand il m’offrait le privilège de le voir ainsi, de connaitre ses secrets, de pouvoir deviner ce qu’il y avait au fond de son cœur. Je savais la chance que j’avais et malgré l’exaspération qu’il était le seul à faire naître en moi – preuve même de l’intensité avec laquelle je tenais à lui – je n’échangerais ça pour rien au monde. Sa voix couvrit de nouveau les bruits extérieurs, qui essayaient de percer notre bulle de confort. Surpris par son humeur introspective, je ne répondis pas tout de suite, essayant de lire dans son visage ce qui avait pu motiver son comportement. Mais avant de me laisser le temps de le déchiffrer, il détourna son visage, gêné, me disant d’abandonner. Il se leva dans la foulée, partant sans rien dire de plus dans sa salle de bain. Je soupirai et lui laissai quelques minutes, le temps de faire un peu couler l’eau pour régler la température – autant en profiter – avant de me lever à mon tour. Je m’étirai un peu, puis entrai dans la pièce d’eau. A travers la cloison mi-transparente, je le vis appuyé contre le mur, la tête baissée, dans une posture défaitiste. Un nœud se forma dans la gorge, et je sus ce qu’avait en tête Gabriel. Mon parabatai était toujours sûr de lui et peu de chose pouvait atteindre sa confiance en lui. Je ne voyais pas ce que j’avais pu faire qui aurait éveillé une telle attitude. Il y avait donc de grand de chance que ses pensées soient tournées vers Léa. Depuis la transformation de cette dernière, l’équilibre de sa vie était bouleversé, et une fêlure s’était créé, une légère fissure que je ne savais pas réparer. Silencieusement, j’entrai derrière lui sous le jet d’eau. Glissant mes mains sur son corps humide, je l’enlaçai, nichant ma tête dans le creux de mon cou. Déposant des baiser juste son oreille, je chuchotais : « Je ne veux pas imaginer ma vie sans toi. Elle n’en vaudrait pas la peine, Gab. » Prenant sur moi, sachant qu’il en avait besoin, je ravalai ma salive avant d’ajouter : « J’ai besoin de toi pour vivre vraiment. ». Post 16 979 mots -24h |
| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
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Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Mar 27 Sep - 22:57 |
| Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers.feat. Floriel Je ne sais pas trop pourquoi je lui pose ce genre de questions, je pense que, au fond, j’ai juste besoin d’être rassuré. J’ai besoin de savoir que lui ne m’abandonnera pas…J’avais assez perdu comme ça. Léa avait été dès ma naissance une partie de moi et même si je semblais lui avoir plus ou moins pardonné, il n’en était rien. Elle avait fait s’écrouler une partie de mon existence, s’abandonnant à la mort en me laissant naviguer sur les rives d’une vie que nous étions censés partager à deux. Il ne me restait plus que lui. Enfin, j’avais mes sœurs et mon frère, mais il n’y avait qu’avec lui que je partageais ce genre de moment, cette intimité qui nous liais. Je finis par partir, par m’éloigner pour éviter de trop m’ouvrir. Quoi que, Florian était sûrement le seul qui pouvait me voir sous cette facette, sous les émotions qui souvent pouvaient me dévorer sournoisement. L’eau tiède coule sur ma peau et je ferme les yeux, profitant de ce moment de réflexion, me laissant aller aux souvenirs. Mon corps se tend malgré moi et mes doigts se crispent sur le carrelage humidifié par l’eau. Je l’entends arriver mais n’y prête pas attention, gardant mon regard rivé vers le sol, observant mes pieds avec une attention un peu trop prononcée. Si je peux paraître fort, stupide et sans cœur je n’en restais pas moins un être avec des blessures que je cachais la plupart du temps. Il était rare que je sois affecté par quelque chose, ou encore, par quelqu’un. Mais apparemment, je n’étais pas si intouchable que ça. Je le sens entrer dans la douche, alors que ses bras m’enlacent et que son visage s’enfuis dans mon cou. Me redressant légèrement pour plus de contact avec lui, je laisse un soupire s’échapper de mes lèvres. Ses baisers m’arrachent quelques frissons, laissant son souffle caresser mon oreille. « Je ne veux pas imaginer ma vie sans toi. Elle n’en vaudrait pas la peine, Gab. » Tournant légèrement la tête vers lui, je laisse de nouveau mes muscles se détendre alors que ses paroles ont le don de me détendre, de me rassurer. « J’ai besoin de toi pour vivre vraiment. ». Je souris en coin. Si lui avait besoin de moi, j’avais tout autant besoin de lui. C’était une sensation horrible et étrange, alors que je dépendais d’une personne. Je n’avais jamais aimé ça avant, pourtant, dès que je m’étais unis à Florian j’avais changé de point de vue et seulement avec lui. « J’ai tout autant besoin de toi. » J’avais murmuré ses paroles comme un secret inavouable, alors que mes doigts frôlaient son bras d’avant en arrière d’un air absent. L’eau ruisselait sur nous et pourtant, je n’y prêtais que peu d’attention. Encore aujourd’hui je ne comprenais pas la décision de ma sœur. Pourquoi était-elle partie ? Qu’avais-je fait de mal pour qu’elle me tourne le dos de cette façon ? Je lui avais tout donné, mon âme, mon cœur et même mon corps. J’avais toujours su qu’elle était jalouse de Florian à cause de ce qu’il avait obtenu, de ce que je lui avais refuser. Mais j’avais estimé qu’elle avait déjà beaucoup, et puis, avec Florian nous étions une équipe plus que coordonnée. J’étais le feu il était la glace, alors que Léa et moi nous étions deux volcans totalement en éruptions. Ma tête reposait légèrement contre la sienne. Un de ses rares moments où je n’étais pas la brute de tous les jours, ou j’étais simplement Gabriel, ni plus, ni moins. Un homme complètement dévoué à cet homme qui n’avait sûrement aucunes idées de l’intensités qu’il éveillait en moi. Je finis par me retourner pour ne pas lui tourner le dos tout le temps, déposant un baiser bref sur ses lèvres, je dis d’un air distrait tout en choppant le savon. « Tu restes ce soir où tu t’en vas ? Mes parents seront occupés et si ça peut te rassurer je fermerais à clefs…pour cette fois. » Oui, habiter près d’un repère de vampire ce n’est pas spécialement évident, je l’avoue, mais m’éloigner des miens n’avait jamais été une option. J’avais fait en sorte de faire construire des murs épais, mais bon, mes parents, mon frère et ma sœur restent quand même des êtres avec une ouïe plus que développée. Il était rare que Florian dorme ici, sous peine de se faire voir par un quelconque visiteur. En même temps, ma porte était toujours ouverte sauf quand je quittais la maison. Si la porte était fermée, en règle générale, on me foutait simplement la paix sauf si c’était urgent. Coucher avec lui est une chose, mais j’aimais également passer du temps près de lui. « J’en ai marre de m’endormir près de toi et de me réveiller en voyant que tu t’es barrés. C’est lassant à la fin. » Oui c’était une chose que j’appréciais que très peu. M’endormir près de lui avait le don de faire en sorte que je me repose entièrement, comme complètement à l’aise. Sauf que dès que mon corps ne sentait plus le siens, soit je me réveillais pour râler devant le vide à mes côtés, soit je m’agitais dans mon sommeil. Hors, ça arrivait pratiquement tout le temps. Une nuit ensemble c’était rare quand on la passait entièrement à deux, peut-être que j’allais voir ailleurs à cause de ça aussi. J’avais peut-être besoin, de temps en temps, de me réveiller à côté de quelqu’un et non pas d’un fantôme qui avait disparu en me laissant un simple mot. « A moins que tu ailles quelque chose de plus intéressant à faire. » J’avais dit ça en levant les yeux vers lui, ayant commencé à me laver, laissant l’eau évacuer la sueur, les fluides et tout ce qui pouvait s’être incrusté sur ma peau. Je lui tends le savon d’un air calme. « Tiens, laves-moi le dos tant que tu es là, ça m’évitera de me tordre dans tous les sens. »1002 mots - post 17 - 24h © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Lun 19 Déc - 10:47 |
| Florian & Gabriel Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Son corps, peut-être revigoré par l'eau chaude, réagit au mien, cherchant encore plus de contact tandis que dans cette position je pouvais sentir de légers tremblements le traverser. C'était jouissif de savoir l'effet que j'avais sur lui, mais aussi rassurant, me sentant moins vulnérable de savoir que je ne n'étais pas le seul à ressentir ces choses. Lui et moi, la réaction de nos corps, notre intimité, je ne pouvais pas m'en lasser, c'était à chaque fois nouveau et familier, donnant envie de s'y adonner chaque fois un peu plus. Je refoulais mes pensées négatives, celles qui me soufflaient que c'était fort dommage que ça ne suffise pas à Gab. Au lieu de ça je me concentrait sur le petit sourire qui était apparut sur ses lèvres lorsque je lui avais avoué la profondeur de mon attachement. Plus tard, j'aurais le temps d'être amer, en colère, triste, peu importe. Pour le moment je voulais juste profiter.
Alors que sa main caressait ma peau, machinalement, je l'entendis me répondre, me retourner mon aveu. La tension que je n'avais pas sentie s'accumuler se relâcha, et une sensation de soulagement me submergea, me faisant sourire également. J'avais beau savoir qu'il tenait à moi, la façon dont il se livrait en ma présence étant une preuve significative, l'entendre dire me rassurait toujours, comme si Gabriel pouvait changer de sentiments à mon égard sans que je m'en rende compte. Mais l'amour n'était pas rationnel, ce qui rendait encore plus étonnant que moi, le froid et observateur Florian Starkweather, puisse ressentir cette émotion. Et à cause de cette émotion, et ce malgré mon statut, mes origines, mon tempérament et mes croyances, je me retrouvais être rassuré par une simple phrase prononcé par mon parabatai.
Gabriel était toujours plongé dans ses pensées, mais je le sentais plus calme, moins perturbé par ce qui se passait dans son crâne, aussi je ne cherchai pas à l'interrompre. Pour une fois qu'il réfléchissait, j'aurais été bien bête de l'arrêter, tiens ! Nous restâmes donc un moment dans cette position, sans que j'aie à m'en plaindre, avant que mon parabatai ne se remette en action. Il se retourna, m'embrassant légèrement, avant de me demander de rester pour la nuit. Enfin, textuellement il me demanda si je restais ou partais, mais la façon dont il m'expliqua l'absence de ses parents et me promit de fermer la porte à clé - si ce n'était pas une preuve de tendresse ! - indiquait clairement qu'il voulait me voir rester. Je lui souris, lui offrant également une facette de moi que je n'offrais à personne d'autre, avant de lui répondre d'un ton taquin : « Je reste, comme ça je pourrais garder un oeil sur toi, que tu n'ailles pas encore te mettre dans les ennuis juste pour m'avoir près de toi. »
Sa remarque suivante me calma et je grimaçai. « Si tu crois que ça me plait ... » Moi non plus je n'aimais pas m'arracher tôt le matin à son étreinte, de devoir me glisser hors de ses draps chauds pour rentrer dans mon appartement froid. Bien sûr que si ça ne tenait qu'à moi, je resterais avec lui, me réveillerais à ses côtés, le taquinerais pendant qu'il serait encore à moitié endormi. Mais je ne pouvais pas le faire. Aussi douloureux que c'était pour moi, il fallait préserver notre secret, ne serait-ce que par esprit de survie. Alors oui, je partais à l'aube, rentrant chez moi avant que quiconque ne puisse réaliser que j'avais passé la nuit dans le lit de Gabriel.
Ses mots suivants me crispèrent. Qu'est-ce qu'il sous-entendait par là ? Que j'allais voir ailleurs ? C'était lui le coureur de jupons - et de caleçons. Bon je n'étais pas un saint, loin de là, et parfois par vengeance, oui j'allais voir ailleurs. Enfin c'était surtout Maddison que j'allais voir quand elle était libre. Au moins avec elle, pas d'explications, pas de faux-semblants. Mais mon palmarès est très loin d'être équivalent au sien. Alors si jamais le besoin de me préserver pouvait parfois motiver mes départs matinaux, à qui la faute ?
Il me tendit le savon, me demandant de m'occuper de son dos, les yeux plongés dans les miens. Je lui répondis d'un grognement, le retournant brusquement avant de faire mousser le savon sur ses omoplates. Je me retins de frotter vigoureusement, me rappelant qu'il était blessé, tandis que je m'efforçais au calme. Finalement mes gestes s'adoucirent, devenant caresses, alors que mon accès de colère s'évanouit. Avec soupir, je l'incitai à se tourner vers moi, mes yeux se fixant sur les siens. « Non, je n'ai rien de mieux à faire, et tu le sais. Maintenant, si tu tiens à ce que je reste ce soir, si on évitait d'aborder les sujets qui fâchent ? Puisque pour une fois on peut passer la nuit complète tous les deux, ça serait bête de tout gâcher. » Post 18 817 mots |
| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Mar 20 Déc - 14:42 |
| Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers.feat. Floriel Il pourrait me briser ce con. Si il y a bien une personne qui pourrait me tuer sur cette terre, ça serait lui. Et encore, je n’opposerais aucunes résistances. Croyez-le ou non, c’était la vérité. Si il venait à crever, je ne pense pas que je pourrais clairement continuer à avancer sans lui. Notre lien était devenu bien trop imposant pour que j’imagine ma vie sans lui, et là était le souci, le gros souci. Etre parabatai c’est déjà quelque chose de puissant, de rare, mais ce que nous alimentions ensemble était bien plus fort que le reste. Ce mélange subtil, malsain. Je lui demande de rester, enfin, demander non mais je l’incite à accepter, lui faisant diverses propositions. J’ai besoin qu’il accepte, qu’il me dise qu’il va rester au moins cette nuit. J’ai juste envie de pouvoir me réveiller auprès de lui, ça faisait bien longtemps que ça n’était pas arriver. Je vois alors un sourire s’afficher sur ses lèvres. Bordel, j’adore le voire sourire, ça me donnerait envie de le bouffer tient. « Je reste, comme ça je pourrais garder un oeil sur toi, que tu n'ailles pas encore te mettre dans les ennuis juste pour m'avoir près de toi. » Je prends un petit air outré. Moi ? Me mettre dans les ennuis ? Jamais…Puis, je n’en peux rien si c’est les ennuis qui me colle au cul. Comme je l’ai toujours dit, je ne porte pas le nom d’un ange pour rien. D’ailleurs, je me demande pourquoi mes parents avaient fait ce choix…Ils ont été cons sur ce coup-là. Entre Joshua, Adam, Marie, Gabriel…A croire qu’ils avaient envie de faire chier le paradis en leur faisant un gros fuck. Ce qui, potentiellement est le cas et c’est également ce que j’aurais fait également. Ouai, Osborn un jour, Osborn toujours. « Si tu crois que ça me plait ... » « Je sais, je sais… » Ça ne me plais pas, mais ça ne l’enchante pas non plus, c’est pourtant comme ça que ça fonctionne. Déjà que quand on couchait ensemble chez moi, c’était limite vu que nous étions entourés de vampires, mais si jamais nous nous faisions prendre, là, c’était la merde. Pas sûr que mes parents acceptent cette relation. Je le sens me retourner brusquement et je ricane avec amusement, ayant compris que je l’avais encore énervé. Je l’énerve souvent mon frère d’arme, c’est presque habituel. Il est le calme, je suis la tempête. Il est la glace, je suis le feu. Deux opposés qui pourtant sont foutrement complémentaires. Sans la glace, le feu dévasterait tous sur son passage. Sans le feu, la glace gèlerait le monde. Il me tempère et moi, je le pousse dans ses limites, ses retranchements, je l’enflamme. Il s’active à me frotter le dos et je le laisse faire, plongeant mon regard sur le carrelage de la douche en restant silencieux. Je m’enfonce dans les méandres de ma conscience tordue et tourmentée, alors que mon corps frissonnait sous ses doigts. Finalement, je me retourne une nouvelle fois, faisant face à Florian. Mon regard se plonge doucement dans le sien, le fixant, me noyant. « Non, je n'ai rien de mieux à faire, et tu le sais. Maintenant, si tu tiens à ce que je reste ce soir, si on évitait d'aborder les sujets qui fâchent ? Puisque pour une fois on peut passer la nuit complète tous les deux, ça serait bête de tout gâcher. » Je soupir légèrement, secouant la tête affirmativement. Oui, même moi je n’avais pas envie de gâcher cette soirée avec lui, pourtant, quand il s’agit de gâcher des trucs j’étais le premier ! « Voilà de sages paroles…pas étonnant que tu sois mon prabatai, t’es un peu ma raison et moi je suis…tes muscles. Pas que tu n’en aies pas hein, tu as de très jolis muscles…oh et puis merde. » Je ris légèrement en venant l’embrasser à plusieurs reprises avant de de lui ébouriffer les cheveux et de sortir de la douche, manquant également de me casser la gueule à cause de l’eau ayant atterri sur le sol de la salle de bain. « Grouilles toi de te laver tiens, sinon j’allume le robinet et je déclenche l’eau froide. » Sauf que…l’idée est franchement tentante. Du coup, je hausse les épaules, enroule ma serviette autour de ma taille et j’allumes effectivement le robinet, faisant en sorte que l’eau de la douche soit gelée. « C’EST PAS MOI ! » Et me voilà en train de me barrer dans la chambre, laissant d’ailleurs l’eau de l’évier couler pour que l’eau reste froide hein. Faut rester sadique jusqu’au bout s’il vous plait. Je me laisse aller dans le lit en ricanant avec un certain sadisme. Ben là, si il était pas refroidit le pauvre. Il a dû se croire en Alaska. D’ailleurs, je m’enfuis sous les couvertures, parce que bon, je sens que je vais m’en ramasser une. 822 mots - post 19 - © MADE BY SEAWOLF. |
| | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Mer 21 Déc - 0:06 |
| Florian & Gabriel Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. Alors que je le malmenais un peu sous la douche, bien que pas trop par égard à ses blessures, il me sembla l’entendre ricaner, mais je fis mine de ne pas avoir entendu. De toute façon je n’étais pas d’humeur à ce moment-là pour m’amuser avec lui – surtout que je riais rarement avec lui quand il avait ce rire-là. Sans doute était-il en train de se moquer de moi, un de ses passe-temps favoris. L’inverse était vrai aussi à l’occasion. Mais l’insouciance était absente de notre conversation, c’était un moment trop sérieux. Plus tard peut-être, avec le prisme du recul, l’instant semblerait trop solennel pour ce qu’il représentait, mais j’en doutais. Nos regards s’accrochèrent alors que je mettais les points sur les i, mon rôle tout indiqué dans notre couple – parce qu’on pouvait prétendre ce qu’on voulait, nous étions un couple, malgré tout. Un soupir et un signe affirmatif me répondirent à ma tirade, et je sentis mes épaules s’affaisser quelque peu sous l’effet de l’apaisement. Ses paroles suivantes faillirent me faire rire, mais je me contins. Inutile de le pousser dans ses conneries, il se débrouillait très bien tout seul ! Je le laissais m’embrasser, savourer la pression de ses lèvres sur les miennes, son goût sur ma langue. C’était un moment à mi-chemin entre la tendresse, une légère sensualité et de l’amusement. J’enregistrai les moindres détails de ces quelques minutes, trop conscient qu’elles feraient partie de mes souvenirs les plus précieux. Bien trop vite Gabriel arrêta ses baisers et essaya de m’ébouriffer les cheveux – pas évident sous la douche. Il sortit de la douche alors que j’attrapai le savon pour me laver. Je le vis manquer de s’écraser par terre et j’émis un petit ricanement. J’ignorai s’il m’entendit, mais ce qu’il me dit ensuite me laissa entendre que oui. « Grouilles toi de te laver tiens, sinon j’allume le robinet et je déclenche l’eau froide. » Le sachant capable de mettre ses paroles à exécution, j’accélérai le rythme, frottant rapidement ma peau, enlevant ce que le jet d’eau n’avait pas déjà fait disparaitre. Mais avant d’avoir pu enlever le reste de la mousse je sentis de l’eau glacial dévaler le long de mon épiderme et je poussai un cri d’indignation. J’entendis le mensonge de Gabriel me répondre, et je grogner d’exaspération. Bordel, mais quand allait-il grandir ? Mais au fond de moi, je savais que je ne voulais pas le voir devenir sérieux. Ce ne serait plus lui s’il gardait pour lui ses conneries, s’il ne faisait plus de bêtises, s’il se contenait. Et puis s’il y parvenait, s’il arrivait à être calme de lui-même, alors aurait-il encore besoin de moi dans sa vie ?
M’étant posé suffisamment de questions existentielles à mon goût pour une seule journée, j’arrêtai là mes pensées, et me dépêchais de finir de me nettoyer tout en frissonnant, car non, monsieur n’avait pas fermé le robinet et l’eau qui sortait du pommeau de douche était glaciale. Une fois sorti de la douche, j’arrêtai l’eau du robinet, et me frottai énergiquement la peau avec la serviette, me réchauffant quelque peu. Mon regard se posa sur le miroir embué dont j’ôtai machinalement la buée. Mon reflet m’observa, identique à celui de ce matin, mais aussi différent, montrant moins d’inquiétude, moins d’agitation. Ascenseur émotionnel. Ces deux mots résumaient bien ces dernières minutes, voire toute ma journée. En fait, ils résumaient ma relation avec Gabriel. Avec lui je passais par une multitude d’émotions, parfois en quelques minutes. Jamais je ne m’ennuyais avec lui, il ne m’en laissait pas le temps. Et étrangement je ne me laissais pas de ces changements subits de sentiments, qui au lieu de me fatiguer, me rendait plus alerte. Ma vie serait sans doute bien vide sans Gabriel. Trop vide même.
Secouant la tête, j’enroulai la serviette autour de ma taille, me dirigeant vers le lit. Me plantant au bord du matelas, je lui jetai un regard agacé. « En théorie, je devrais t’en mettre une. Parce que le coup de la douche froide, c’est toi qui l’aurais mérité. Mais j’ai la flemme, alors pour aujourd’hui ça ira. Je me vengerai une autre fois. » Puis, malgré moi, un sourire vicieux éclaira mon visage et je me glissai prestement entre les couvertures, m’assurant de coller mon corps froid contre le sien. « Puis finalement, je me venge maintenant, autant que je ne sois pas le seul à avoir froid. » Certes l’encourager dans ce genre d’enfantillages était une mauvaise idée, mon rôle étant plutôt de faire l’inverse. Mais pour une fois nous n’avions pas à nous soucier du monde extérieur, il n’y avait que nous deux, alors au diable le calme et la maturité. Pour une fois, je voulais juste me laisser complètement aller avec Gabriel. Puis j’avais froid, et comme c’était sa faute, il fallait bien qu’il me réchauffe. Post 20 -24h 807 mots |
| | Sujet: Re: (Floriel) Je fais le serment de te suivre jusqu'en enfers. |
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