| | PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: (Eliott) Dysfonctionnel. Mar 23 Aoû - 21:17 |
| Dysfonctionnel.feat. Eliott Morgenstern Ma lame glisse contre sa gorge, l’entaillant pour y laisser couler le sang qui faisait palpiter mon cœur bien plus vite. Voilà, ça c’est prendre son pied. Pas besoin de baiser pour ça ! Un petit groupe à étriper suite à une désobéissance quelconque, je n’avais pas demandé de détails. Moi tant que je pouvais tuer. Mais je n’étais pas seul pour cette mission, oh non, il y avait ce pti cul qui bougeait non loin de moi, tuant comme j’étais en train de le faire. Charmante vision hein. Je lâche le corps sans vie pour river mon regard sur mon autre proie, qui déjà, prenait ses jambes à son cou. « Oh mec, tu vas où ? Attends ! Non mais…rhan, j’aime pas courir. » Je tape du pied comme un gamin, du sang plein les vêtements et maintenant plein les chaussures. Chiure, c’était des nouvelles baskets. Je savais que j’aurais dû les acheter en noir et pas en blanc ! J’enjambe le corps et…je glisse, manquant de m’étaler dans la mare de sang de l’autre andouille. « Putain, ils savent pas crever proprement non. » Le fugueur ne pouvait pas aller bien loin, plus loin, c’était un cul de sac. Du coup, je n’avais pas besoin de courir si ? Essuyant ma lame sur la manche de ma veste en jeans, je me redresse en m’étirant par la même occasion, fouillant dans la poche de mon jeans. Mon Twix…où est mon twix ! J’ai la dalle moi. « Eliott t’as pas vu mon…ah non ça va je le vois. » Dans l’agitation le biscuit emballé était tombé près d’un corps, entouré de ce liquide rouge encore tiède. Me dirigeant vers celui-ci, j’enjambe le corps avec un. « Oups, navré ma chère madame…ou mademoiselle…dommage c’était un joli petit lot. » Une petite moue boudeuse s’affiche sur mon visage avant que je ne me redresse, ouvrant le paquet pour mordre dans la friandise préférée. Il faut savoir que le Twix chez moi c’est sacré, voir obsessionnel. Mais soit, le souci n’est pas là. Revenant sur mes pas, je joue avec ma lame sans trop me préoccuper de mon coéquipier du jour. Ben quoi, il a l’air de bien s’en sortir, il n’avait donc pas besoin de mon aide. Puis, j’avais également une proie à aller buter. « Attention, j’arrive… » C’est à peine si je ne sautille pas vers ma prochaine victime, qui rapidement, fit son apparition dans mon champ visuel, cherchant une issue de secours face à ce destin qui l’attendait. Pas de chance crétin, tu es condamné cherches pas, acceptes-le. Ma lame bougeait entre mes doigts alors que mon adversaire me faisait face. Son regard semble partager entre la peur et la surprise de me voir manger un biscuit en plein carnage. Quoi ? Il fallait que j’attende d’être à table pour manger ? Non mais, faut arrêter. Quand j’ai faim, j’ai faim hein. Haussant les épaules, je regarde le jeune homme sans grandes émotions. Quoi ? T’as jamais vu quelqu’un manger ? Tu veux un bout ? » Je tends le biscuit au moment même où je sens une présence près de moi. Tournant très doucement ma tête vers l’Obscur, je souris d’un air innocent et malsain. « Je proposais une petite gourmandise à notre invité…a moins que ce soit nous les invités vu que de base, c’est chez lui…ou chez un qu’on a déjà buter…j’en sais foutrement rien. Et toi ! C’est chez toi ici ? » Oui, me voilà de nouveau en pleine réflexion, le bras tendu dans le vide, proposant un morceau de mon Twix à ce crétin qui allait finir par se chier dessus. « Non mais c’est pas poli de ne pas répondre… »Je déteste ça…qu’on me laisse dans le vide, qu’on ne me réponde pas. D’un coup, ma lame fend l’air à une rapidité étonnante, venant s’enfoncer dans la jambe de ma cible. Un cri résonne dans la pièce et je souris. « Ben tu vois que tu sais parler…enfin, crier dans ce cas-là. » © MADE BY SEAWOLF. |
| PRO MUNDI BENEFICIOEliott Morgenstern Je suis à Chicago depuis le : 26/04/2016 et j'ai déjà payé : 126 factures et gagné : 10 gains. Il paraît que : Lucky Blue Smith On m'appelle : Wiise et pour mon profil je remercie : Moi même
Je suis : célibataire tentant d'oublier son véritable amour | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Mar 23 Aoû - 22:01 |
| Tu n’es pas la personne la plus heureuse du monde en cet instant. Pas vraiment à cause des types que tu découpes un peu trop violemment avec ton épée courte, mais bel et bien parce que tu penses sincèrement que ton acolyte du jour est un idiot. Un idiot diablement attirant, mais un idiot quand même. Heureusement pour toi, il a au moins le mérite d’être un très bon combattant. Entaillant les chairs avec une agilité et une maîtrise que tu n’as pu voir que chez ton père. Patriarche sanglant de ta branche Morgenstern. Tes cheveux platine, d’habitude immaculés sont désormais parsemés de tache de sang, tandis que tes yeux clairs se dessinent comme deux prunelles brillantes au milieu d’un visage teinté lui aussi de rouge. Vous ne lésinez pas sur les moyens mais à vrai dire, tu n’as jamais été du genre à faire dans la dentelle. Tu aimes entailler les chairs et observer tes ennemis tomber à terre, s’étouffant dans leur propre sang. Evidemment, très peu de gens connaissent cette facette de ta personnalité. Ce jeune homme à l’avenir si prometteur, si brillant, qui s’enfuit des De Lornet pour rejoindre les siens, les cruels Morgenstern qui font de lui ce qu’il est aujourd’hui. Ce que tu es aujourd’hui. Ce leader impitoyable qui cache ses travers derrière une apparence angélique et des airs charmeurs. Tu as beau être jeune, ton esprit lui, est bien plus mûr qu’il n’y paraît. Tu as su grandir vite, peut être trop vite, même si une part de toi est encore bien joueuse et provoquante. Ce désir de tirer encore un peu sur toi la couverture de l’adolescence. Ce côté impertinent, provoquant, par pur plaisir. Par pur désir.
Ton épée fend l’air de nouveau et tu observes ta victime tomber au sol, tandis que le sang coule le long de la lame. Vous n’avez pas fait de quartier ce soir-là et encore, quelques survivants tentent de fuir, se démène pour échapper à la violence punition. Au châtiment ultime qui abrégera leurs souffrances ou les fera durer un peu, suivant votre humeur. Mais tu ne sens pas spécialement joueur pour l’instant. Tu as juste envie de massacrer. L’esprit peut être encore troublé. Le désir de ne penser à rien, d’être le monstre que l’on décrit si bien. De faire honneur à ton nom et à ton père, qui applaudit chaque souffrance que tu infliges et l’accueilles avec un sourire mauvais. Tu l’entends non loin, l’autre idiot de Gabriel qui s’agite, qui parle à ses victimes, de sa nonchalance que tu juges comme faisant partie intégrante du personnage. En un sens il t’amuse, mais de là à la reconnaître publiquement. Tu as cette arrogance lorsque tu pars en mission, lorsque tu diriges un bout d’opération. Ta mine est froide et détachée, concentré sur la tâche à exécuter. Pourtant ce type semble tout prendre à la légère. Mais sa maitrise est déconcertante. Serait-il profondément mauvais ? Profondément malsain comme tu l’es parfois, refusant pourtant de l’admettre ? Tu préfères ne pas imaginer les réponses à ces questions.
Tu donnes un dernier coup, privant ton dernier adversaire de sa tête. Tu prends grand soin d’aiguiser ton épée à la perfection. Tu es réputé pour être tranchant, autant que ta lame. Tu as ce côté sociable, blagueur, détendu, mais ça, c’est seulement dans une certaine sphère privée. Le reste du monde connaît une facette bien plus sombre d’Eliott Morgenstern. Ta capuche, d’abord rabattue sur la tête a fini par totalement tomber en arrière, libérant ta crinière d’argent, tandis que tu t’approches de ton compagnon sanglant qui semble se délecter de sa dernière victime. Tu n’es plus sur tes gardes. Tu fais tourner ton épée dans ta main, d’un geste souple et parfaitement maîtriser en t’approchant encore. Lorsque tu remarques que Gabriel est en train de manger un twix tout en désignant du doigt sa victime en tenant des propos plus stupides les uns que les autres, tu esquisses un sourire, c’est plus fort que toi. Ce type te déconcerte totalement. Tout ce sang, toute cette violence semble être pour lui juste un vaste terrain d’un jeu, dans lequel il évolue comme un enfant dans un bac à sable. « T’es vraiment un idiot » Lâches-tu, comme une constatation amusée, après qu’il est planté son épée dans la jambe du pauvre type qui se met à hurler. Tu t’approches, d’un pas presque lent et lui coupe la tête, d’un geste sec, rapide et parfaitement maitrisé. Tu te retournes vers Gabriel tandis que tu essuies ta lame dans ton jean sombre. Ton habituel perfecto en cuir est désormais maculé de sang, mais tu n’y accordes pas trop d’importance. Le sang ne t’a jamais dérangé. « T’es toujours comme ça ? Où j’ai droit à un numéro spécial ? » Demandes-tu, un brin provoquant. Il réveille le joueur en toi. Qui peut se montrer aussi provoquant que tranchant. Tu arrives finalement à sa hauteur, s’arrêtant devant lui. Un nouveau sourire en coin se dessine sur ton visage tandis que tu lui prends son twix des mains pour en prendre une bouchée. Provocateur. Vil provocateur. Tu ne pourrais pas vraiment l’expliquer mais il te donne envie de jouer au con. Le type froid et trop sérieux en mission se transforme en l’Eliott que tu es de nature. Plus fin, plus joueur. Presque à chercher la merde finalement. Oh car au fond de toi tu le sais, ce seul geste va te valoir une vive réaction. Reste à savoir laquelle. -24h 916 mots |
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Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
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Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Mar 23 Aoû - 22:47 |
| Dysfonctionnel.feat. Eliott Morgenstern Ma lame fend l’air avec une rapidité que je n’avais pas vraiment contrôlée, faut dire que quand ça part ça part hein. C’est un peu comme dans la baise, quand ça sort on ne sait pas retenir. Les cris du jeune homme me firent sourire alors que, sincèrement, je me retenais de sautiller comme un gamin. Me contentant de prendre une autre bouchée de mon Twix, histoire d’avoir un semblant de dignité. J’ai bien dis un semblant. « T’es vraiment un idiot » Je tourne doucement la tête vers l’Obscur, un sourire niai sur les lèvres. Ce sourire tellement faux qui m’allait si bien. Ce sourire qui trompait beaucoup sur ma réelle personnalité. Moi, un idiot ? Bien sûr que non, quoi que, si un peu…d’accord beaucoup, mais il ne faut pas le dire. « Non, sérieux ? » Phrase complètement ironique qui sort de mes lèvres, alors que je ricane sournoisement en reportant mon attention sur ma victime qui tentait de se débarrasser de la lame. Ouai mec, elle est bien enfoncée. Je vois alors Eliott avancer vers MA victime et lui trancher la tête. Alors que j’allais reprendre une bouchée de mon twix, j’interrompt mon geste, la bouche grande ouverte, suivant des yeux la tête qui roule. « Ben mec, c’est ce qu’on appelle perdre la tête. » Non mais, il venait vraiment d’achever mon jouet ? C’est cruel là ! Je fais quoi maintenant ? Je me branle ? Non, j’ai un dicton, jamais en public. Une petite moue boudeuse s’affiche sur mon visage, tel un gamin, je me renfrogne sur moi-même. Je n’aime pas qu’on m’enlève mes jouets… Celui-là j’avais en tête de lui ouvrir le bide, de jouer avec ses boyaux et de m’en faire une corde à sauter. Pour l’heure, c’était clairement raté ! Il mériterait que je lui fasse bouffer la tête, en commençant par les dents. « T’es toujours comme ça ? Où j’ai droit à un numéro spécial ? » Je hausse légèrement les épaules, reprenant une bouchée de ma friandise, mâchant lentement en levant mon regard vers l’Obscur. « Non, ma mère m’a faite ainsi. Me demande pas comment autant de perfection peut avoir élu domicile dans une seule personne…moi-même je n’en ai aucune idée. » Je l’observe approcher, ayant récupérer un petit sourire amusé sur le visage. Ce regard, je le connais que trop bien pour l’adopter dans de régulières situations. Il s’arrête à ma hauteur et je ne le quitte pas des yeux, une main dans la poche, l’autre tenant mon Twix. Nous étions dans de sales états, enfin, hygiènement parlé. Autant couvert de sang l’un que l’autre, c’était foutrement sexy. C’est alors qu’il…prend mon twix. WHAT ! Ma bouche s’ouvre, mes yeux s’écarquille. Non mais…c’est mon Twix….il…il vient de bouffer mon twix là ! Il sait que je tuerais pour un Twix ? Que c’est genre, la prunelle de mes yeux ? Si je devais me marier avec quelqu’un ou notamment, quelque chose, ça serait avec un putain de Twix quoi. « Mon Twix. » Mes paroles étaient sorties dans un petit couinement plaintif, vibrant, alors que mon regard s’enflamme. Il me cherche ? Et bien soit, il va me trouver. On ne me vole pas ma friandise, mon âme sœur, impunément. Oh ça non. Je me redresse droit comme un I, ne le quittant pas des yeux. Il voulait jouer ? Jouons alors….sauf que là, il allait s’en prendre plein la gueule le petit. Je ne suis pas un foutu Osborn pour rien. Puis, tout ce sang ça me donne le feu au cul, que voulez-vous. Un sourire en coin s’empare de mes lèvres, alors que mon regard se fait plus sombre, plus adulte, mais surtout plus malsain. Je fais un pas en avant réduisant notre proximité. « On ne t’a jamais dit que prendre quelque chose qui n’est pas à toi c’est du vol ? » Un nouveau pas et cette fois, mon visage frôle le sien sans grandes gênes. Rien à foutre qu’on soit entouré de cadavre, que mes vêtements soient trempés de sang, que mon visage soit également pas mal tâché… Ce n’est pas ça qui va m’arrêter, que du contraire. Ma main se lève et viens se placer dans sa nuque, alors que rapidement, mes lèvres se déposent sur les siennes. Inutile de dire que j’avais une idée bien précise dans la tête. Ma langue force la barrière de ses lèvres et glisse dans sa bouche, touchant la sienne avant de trouver ce qu’elle cherchait. Le bout de Twix ! Avec agilité, je fais passer le bout dans ma bouche et le relâche enfin, lui reprenant mon Twix des mains en reculant de deux pas. Un sourire malsain sur les lèvres, je passe mon pouce sur celles-ci, le regard animé par cette flamme que j’aime tant. « Et voilà, merci beaucoup pour la récupération de mon bien. » Il a voulu me provoquer ? Pas de soucis, j’étais toujours prêt à pour l’attaque, sauf qu’il ne devait pas s’attendre à une telle chose. En-même temps, en volant mon Twix, il voulait que je fasse quoi ? Que je le laisse manger ? Non, non, ce n’est pas aussi facile que ça. Je porte la friandise à ma bouche et mord un bout avant de pointer mon doigt vers le jeune homme. « Puis, tu m’as volé mon jouet, rien que pour ça tu mériterais que je te fouette sur place…sisisi, je te jure… » D’ailleurs, j’aurais pas un fouet sur moi ? Je fais quelques pas sur ma gauche et sans le vouloir, je chotte dans la tête décapitée. « Oups, pardon jeune homme. » C’était sorti tellement naturellement, alors que j’enjambais celle-ci. « Il avait vraiment une tête de noeux…un peu comme toi quand j’ai fourré ma langue dans ta bouche…c’était terrible. » 972 mots -24h post'3 © MADE BY SEAWOLF. |
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Je suis : célibataire tentant d'oublier son véritable amour | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Lun 29 Aoû - 0:30 |
| Il t’agace ce type trop sur de lui, trop détendu, trop nonchalant. T’as envie de lui faire ravaler son arrogance, ses sourires niaient et son humour douteux. Mais une part de toi a envie de jouer avec ce type. De t’amuser de ses conneries et de les retourner contre lui. Parce que tu es comme ça, provocateur, provoquant, sans arrêts. Pourtant en mission tu es plus sérieux, plus froid, plus expéditif. Mais il a le don de t’agacer au point de vouloir faire naître chez toi cette envie de jeu. Cette envie de vouloir le faire sortir de ses gonds. De lui montrer que toi aussi tu peux te montrer con quand tu veux. Alors tu le provoques, un peu, gentiment, avec quelques remarques, quelques questions un peu piquantes. Sa réponse concernant son comportement te fait lever les yeux au ciel. Tu ne lui feras pas le plaisir de reconnaître à haute voix qu’il t’agace, pourtant c’est bel et bien le cas. Tu t’approches, tu le vois jouer avec sa victime, votre victime alors tu sautes sur l’occasion. C’est trop beau pour laisser passer ça, pour ne pas entrer dans son jeu. La tête de sa victime tranchée, tu t’approches et lui voles ton twix pour venir en prendre une bouchée et la mâcher lentement, longuement, juste pour observer son air dépité, surpris et probablement énervé. Il se montre plaintif et un sourire satisfait illumine ton visage tandis que tu continues de mâcher, prêt à prendre une nouvelle bouchée, à engloutir toute sa barre chocolatée s’il le faut. Juste attendant sa réaction. Tu es probablement un peu masochiste mais c’est ton côté joueur qui dicte tes gestes ou plutôt tes conneries. Oui car malgré tout, il n’a pas l’air du genre à épargner qui que ce soit, donc tu te doutes bien qu’il va se défendre d’une façon ou d’une autre. Ou en tout cas te faire payer tes deux gestes provoquants consécutifs.
Son regard s’assombrit, devient plus dur, tandis qu’un sourire mauvais éclaire son visage. Toi, tu restes de marbre, tu ne bouges pas, tu gardes ce sourire provoquant, trop fier, trop arrogant. Mais qu’importe ce qu’il compte entreprendre, tu répliqueras. Parce que tu es comme ça, une forte tête, qui ne se laisse jamais marcher sur les pieds. Quitte à se prendre des coups. Notamment par ton père, trop violent, trop impulsif. Probablement la seule personne devant laquelle tu as appris à te contenir. Tu ne réponds rien, continuant de mâcher. Impertinent. Mais sa réaction est bien loin de tout ce que tu pouvais imaginer. Il te plaque contre lui d’une main sur ta nuque et son baiser, qui aurait pu être agréable en devient dégoutant. Oui car tu mâches encore ce Twix et sa langue qui bouscule tes dents pour se frayer un chemin dans ta bouffe. Tu ouvres grands les yeux tandis qu’il récupère le morceau de Twix avant de se reculer et que toi, tu craches par terre les restes de biscuit mâché. « T’es taré putain ! » Craches-tu avant de t’essuyer la bouche. Tu avais beau le trouver con, tu le trouvais aussi mignon, jusqu’à ce geste qui te déséquilibre complètement. Tu le regardes, te redressant, tâchant de reprendre tes esprits tandis qu’il s’adresse à toi avec la même désinvolture qu’auparavant. Il est clairement déstabilisant. Tu ranges ton épée dans le fourreau que tu gardes dans ton dos, avant de le regarder de nouveau, toujours aussi déconcerté par son attitude. Il joue, constamment, d’une façon bien pire que toi, bien plus malsaine. Une partie de toi peut réellement être attirée par un type comme ça. Il faut croire que les années à fréquenter ton taré de père n’ont pas aidé. Mais d’un autre côté, il te fait un peu peur. Oui tu dois l’admettre, peur. Simplement car sa folie semble dépassée ce que tu as pu imaginer à son encontre. « T’as sérieusement des problèmes mon gars » Lâches-tu de nouveau par dépit. Il se moque de toi, s’amuse de la situation comme tu as tant l’habitude de le faire. Mais tes provocations semblent bien légères à côté de ce dont il est capable. « Faut dire que je ne m’attendais pas à un truc pareil, c’est quand même plutôt dégueu » Dis-tu en haussant les sourcils, avant de frotter son visage pour te rendre compte qu’il est maculé de gouttes de sang à la suite des nombreux meurtres violent que tu viens de commettre.
Tu constates le carnage autour de vous. Les membres découpés, les têtes roulant sur le sol et le sang jonchant la ruelle. Des flaques de sang. Tu dois bien admettre que même tu as pu effectuer un bon paquet de mission, celle-ci semble être une des plus sanglantes. Oui car toi, tu ne joues pas bien longtemps avec tes victimes. Tu n’es pas un grand sadique. Tu es simplement violent, abrégeant les souffrances rapidement, sauf si tu as besoin de quelques informations. Mais de manière générale tu tues, sans sommation. C’est exactement ce que tu as fait aujourd’hui mais ton partenaire lui, prenait bien davantage son pied. « J’pensais pas qu’en plus d’adorer les trucs sanglants, t’étais un adepte du viol buccal » Ok d’accord tu retrouves un peu le sourire, parce que tu ne restes pas déstabilisé bien longtemps. Tu sais rebondir, tu sais t’adapter, et même si tu as bien compris que tu dois te tenir un peu à l’écart de ce type, tu ne peux t’empêcher de rire de ta propre réaction. Il t’a bien eu, ce con. 926 mots |
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| Dysfonctionnel.feat. Eliott Morgenstern Il ne me connait pas le pti blondinet, enfin, blanchounet, je ne sais pas trop comment le nommer pour dire la vérité. Il ne sait pas de quoi je suis capable, jusqu’où je peux clairement aller. Ça m’amuse. Il est complètement inconscient, ça en est presque stupide mais quand même amusant. Du coup, autant le mettre directement au parfum non ? Genre, In Victus ou encore Millenium… vous voyiez le genre ? Je ne me gêne donc pas plus pour coller mes lèvres contre les siennes, sensation agréable qui pourtant avait pour but de récupérer ce qui était à moi. On ne vole pas mon Twix, même une simple bouchée. Ce n’est carrément pas possible hein, faut pas abuser ! C’est vraiment la dernière chose à faire avec moi. Ma langue se fraye un chemin à travers ses dents, forçant le passage, ne lui laissant clairement pas le choix. Ni une ni deux, je récupère mon twix mâché au préalable par Eliott, bof, au moins il m’aura facilité le boulot hein. Dégueulasse ? Moi ? Je n’ai jamais dit avoir été élevé chez les riches hein. Je finis par le relâcher, me doutant que sa réaction n’allait pas forcément être des plus joyeuse. « T’es taré putain ! » Je hausse les épaules alors qu’il crache sur le sol. « Non, c’est juste une image faussée de ma personnalité. » Je souris d’un air complètement amusé face à sa réaction. Pauvre petit bichon, l’aurais-je choqué ? Peut-être. En-même temps, il ne devait pas s’attendre à ce que j’aille récupérer mon Twix à moitié mâché, voir complètement, dans sa jolie petite bouche. Il apprendra à me connaître avec le temps, surtout si nous étions amenés à bosser de nouveau ensemble. Au moins, il saura dorénavant que mon Twix c’est sacré et qu’on ne touche pas à celui-ci…bon, c’est également un moyen de m’acheter, je ne le nie pas. « T’as sérieusement des problèmes mon gars » Je ricane avec amusement, tournant mon regard vers lui. Oui, j’ai de sérieux problèmes mentales, et alors, ça change quoi à ma vie ? En-même temps je suis quand même né dans une famille de tarés ! Mon père à quatre ans, me faisait tuer un petit chien tout mignon, il l’était moins quand j’en ai eu fini avec lui. « Mais non, c’est juste dans ton imagination tout ça. » J’ai toujours quelque chose à répondre, toujours une phrase à répliquer. C’est comme un automatique de provocation pur et dur, ne supportant pas ne pas avoir le dernier mot. Même Léa en pâtissait, enfin, avec elle c’était moins facile vu qu’elle a une aussi grande gueule que moi. « Faut dire que je ne m’attendais pas à un truc pareil, c’est quand même plutôt dégueu » Je souris avec un air foutrement arrogant et surtout fier de moi. Je l’avais eu par surprise et il semblait avoir du mal à s’en remettre. Ne connait-il pas la réputation des Osborn ? Je connais la sienne pourtant…Après tout, entres Obscurs il faut se connaître non. « Le mot dégueu est assez relatif mon cher. Beaucoup penseraient qu’être couvert de sang de la tête au pied est dégueu…moi je trouve ça charmant, voir sexy. Du coup, je ne sais pas si aller rechercher mon Twix dans ta bouche est véritablement dégueu, c’est juste…d’une grande banalité. » Me dirigeant vers un coin de la pièce, je finis par m’asseoir sur le dos d’une victime sans son bras gauche. Le pauvre, s’il était gaucher ç’était pas de bol…en même temps, il est mort, du coup, il n’avait pas réellement besoin de son bras si ? Mon regard glisse sagement sur Eliott, alors que je froissais le papier de mon Twix à présent terminé. Il semblait autant couvert de sang que moi, alors qu’il avait rangé son épée pour la laisser pendre à son dos. Penchant la tête sur le côté, je remarque qu’il reste à bonne distance de moi. Un sourire arrogant se fige sur mon visage. Voilà qui est intéressant, l’aurais-je vraiment pris au dépourvu ? Pensait-il que j’étais capable du pire ? Il avait raison, sauf qu’en restant loin, il me provoquait sans le comprendre. Plus il allait chercher la distance, plus j’allais la lui refuser. « J’pensais pas qu’en plus d’adorer les trucs sanglants, t’étais un adepte du viol buccal » Je pouffe de rire en me relevant d’un bon, approchant du jeune homme sans grandes précautions ni même discrétion. Ce n’est pas mon style, je suis in fonceur, je ne marche pas sur des œufs. « Arrête de chialer beau gosse, je suis sûr qu’au final, tu as adoré. » Je me stoppe juste en face de lui, plantant mon regard dans le sien, un sourire carnassier sur les lèvres. Je joue, j’adore ça. Puis, apparemment, il ne semblait pas contraire à me suivre dans cette partie qui pouvait rapidement prendre plusieurs tournant. Eliott et moi n’avions jamais eu l’occasion de travailler ensemble, c’était une première, mais je n’en étais pas déçu. Bien qu’il achève bien trop vite ses victimes, ce qui est dommage, le sang sur sa peau ne laissait aucuns doutes sur ses capacités. « Puis, si tu avais voulu me repousser, tu l’aurais fait. Tu es un Obscur, j’en suis également un, force égale Eliott…alors ne fais pas le prude, ça ne te va pas. » J’avais dit ses mots d’une façon plus suaves, plus charismatique. Oui, j’ai tendance à passer du noir au blanc avec une rapidité déconcertante. Contournant l’Obscur, je viens me positionner derrière lui. Mes lèvres approchent alors de son oreille, mon regard ne cessait de briller face à ce que j’avais en tête. Le chercher, le trouver, m’amuser. « Puis, saches que je ne demande jamais la permission quand je veux faire quelque chose… » Ce qui est totalement vrai en soi. Quand je veux quelque chose je l’obtiens, que ce soit par la force ou non. C’est comme ça, je suis mal élevé ! Je n’ai pas peur d’une telle proximité avec lui, après tout, s’il m’en colle une il s’en ramassera une également. Donnant donnant… 1019 mots -24h post'5 © MADE BY SEAWOLF. |
| PRO MUNDI BENEFICIOEliott Morgenstern Je suis à Chicago depuis le : 26/04/2016 et j'ai déjà payé : 126 factures et gagné : 10 gains. Il paraît que : Lucky Blue Smith On m'appelle : Wiise et pour mon profil je remercie : Moi même
Je suis : célibataire tentant d'oublier son véritable amour | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Sam 3 Sep - 22:53 |
| Sa nonchalance t’agace, sa désinvolture, encore plus. Pour lui, tout semble normal. Tout semble logique. Comme si sa folie n’a rien de choquant, comme si elle est parfaitement normale. Il t’exaspère autant qu’il te fascine. T’as une espèce de curiosité mal placée qui te pousse à le titiller, à le taquiner, mais tu sens aussi qu’une telle chose est absolument dangereuse, car il ne semble reculer devant rien. Rien qu’à voir cette espèce de baiser langoureux ragoutant. Même dans tout travers tu n’aurais pas osé. Cependant, lorsqu’il parle de ta perception de quelque chose de dégoûtant, il marque un point. Tu as tellement l’habitude, n’étant absolument pas choqué par la vue du sang et de morceaux de chair sur vos corps, que tu en as presque oublié qu’une telle vision peut dérouter bien du monde. Mais admettre qu’il a raison, admettre que la véritable chose dégoutante ici, ce sont vos deux corps couverts du sang de vos victimes bien trop vite déchiquetés, ca te paraît simplement impossible. Se serait lui donner raison et ça, tu ne veux pas. Tu ne veux surtout pas. « Moué » Lâches-tu simplement, comme acceptant à moitié son évidence bien qu’il marque un point. Surtout qu’il dit que lui, ça lui plaît cette vision et à dire vrai, toi aussi. Ce sentiment de toute-puissance, cette victoire d’avoir réduit vos ennemis à néant. La douce odeur du sang qui vient chatouiller tes narines. Oui, tu dois admettre que tu adores ça. Tu es devenu une machine à tuer grâce à ton père mais au delà de ça, tu aimes être devenu une telle arme. Avoir les aptitudes de te battre vite, bien, jusqu’en détruire littéralement tes ennemis. Toi-même ennemis de l’altruisme et de la pitié. Tu coupes les têtes, entailles les chairs et crache sur les cadavres. Sans honte, sans gêne, le regard éclairé d’une lueur malsaine. La toute-puissance d’avoir le droit de vie ou de mort. Alors oui finalement, son twix et ce baiser ne sont pas grand chose en vérité. Tu as envie de lui dire que le spectacle qui se dessine autour de vous te plaît à toi aussi. Que de le voir ainsi, aussi maculé de sang que toi, te plait bien plus que de raison. Mais tu préfères rester silencieux, balayant à la suite de sa réplique, les cadavres qui jonchent le sol, du regard, tandis que Gabriel s’assoit sur le dos d’une de vos victime, qui n’aura vraisemblablement plus besoin de son corps désormais privé de vie.
Cependant, tu restes à bonne distance de Gabriel qui semble se mettre à l’aise. Tu préfères être sur tes gardes. Ce type semble bien trop imprévisible pour que tu te permettes de te détendre complètement. Tu te doutes bien qu’il n’osera pas te tuer, ton nom, comme le sien, est bien trop connu pour que ton meurtre soit invisible et rapidement oublié. Surtout que la colère de ton père serait sans limites et qu’il n’est pas réputé pour sa douceur. Pour autant, tu ne sais pas à quoi t’attendre avec ce type qui te plaît autant qu’il t’exaspère. Un sentiment étrange. Tu t’adresses une nouvelle fois à lui. Plus joueur cette fois, parce que malgré tout, t’as envie de jouer un peu avec le feu. T’es peut-être masochiste dans le fond, à croire aux amours impossibles et à provoquer les psychopathes. Mais t’as ce désir malsain de le faire, de le tester. Il pouffe et se lève pour s’approcher de toi, tandis que tu ne bronches pas, attendant simplement de voir la suite. Il te cherche lui aussi et tu ne peux t’empêcher de répliquer « Adoré ? Peut être sans le twix » Impertinence. Foutue impertinence. Portant l’attirance de ce corps plus épais que le tien, mais tout aussi couvert de sang. Il s’arrête en face de lui et tu le dévisages, le dominant seulement de quelques centimètres et pourtant tu sais que s’il agit, il est bien capable de te maîtriser. Non sans que tu te défendes, toutefois. Son sourire est carnassier mais tes yeux brûlent de provocation. Foutu arrogance.
Ses paroles te provoquent, autant que les tiennes. Il marque un point, tu fais le choquer, l’outré, pourtant tu n’as rien d’un type prude, bien au contraire. Sans te considérer trop vulgaire ou trop fonceur, tu ne manques pas de confiance en toi. Tu ne manques pas de désir de jouer et de provoquer avant d’arriver à tes fins. Et dieu sait que tu aimes arriver à tes fins. « Tu m’as pris par surprise » Lâches-tu simplement, comme pour te défendre. Un léger sourire naissant à la commissure de tes lèvres. Vous vous provoquez, vous vous tatez l’un l’autre dans un simplement jeu de parole et de proximité. Tu le laisses te contourner sans rien dire. Ne bronchant pas, attendant de voir la suite. Bien trop curieux alors que tu devrais être inquiet. Ses lèvres viennent s’approcher de ton oreille et y murmurer quelques paroles. Tu frissonnes légèrement de cette proximité. « Ne t’attend pas à ce que je me laisse faire, cette fois- ci » Lâches-tu, probablement trop sur de toi, mais lui exprimant clairement que désormais, tu es prévenu, tu vas le voir venir et tu réagiras en fonction. Ta main se recule et vient saisir son entre-jambe que tu presses un peu violemment. « Tu m’as eu une fois, pas deux » Avertissement et provocation qui vont probablement se retourner contre toi. Mais tu es prêt à agir en conséquence. Pourtant partager entre une envie de davantage de proximité et au contraire celle de fuir loin de ce type un peu taré. Il commence à faire naître un désir malsain que tu as bien du mal à contrôler. 954 mots |
| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Dim 4 Sep - 1:08 |
| Dysfonctionnel.feat. Eliott Morgenstern Je pars dans un délire concernant le mot dégueulasse, un moment d’égarement dont j’ai le secret. Parfois, je pars dans des discours assez étranges, comme maintenant, sans vraiment réaliser ce que je dis. Pourtant, c’est des paroles censées et réalistes, c’est d’ailleurs sûrement pour cette raison que je ne comprenais pas trop mon tripe sur le coup. Je comprenais plus vite mes crises de psychopathe que de beaux discoures réalistes et complets. « Moué » Je souris face à ce comportement désinvolte qu’il avait, comme si mes paroles ne le touchaient pas plus que ça. Bon, je ne m’en offusque pas, personnellement son avis m’importe peu, j’ai ma manière de fonctionner et j’aime celle-ci. Puis, avouons que l’heure n’était pas vraiment aux débats, nous étions quand même entourés de cadavres, couvert de sang et en train de nous provoquer en quelque sorte. Qu’elle situation merveilleuse, c’est le genre de chose qui me met dans des états d’ouverture assez étrange. Je vais poser mon cul sur un cadavre, laissant mes paroles s’élever dans la pièce autrefois abritée par de nombreuses vies que nous avions sauvagement fauchées. C’est notre façon d’être, notre mission. Après tout, je savais qu’il avait aimé ça, je l’avais vu dans son regard. C’est un tueur, il est façonné ainsi, comme sa famille…comme moi je l’étais grâce à la mienne. Bon, j’avais toujours eu une case en moins également, mais ça c’est sûrement génétique hein. Surtout que Léa est la même, Adam aussi, Eve n’en parlons pas…bref, à part Marie qui fait sa prude, nous sommes tous des tueurs assez sauvages et psychopathes. D’accord, pour se taper sa jumelle faut pas être très net. Mais merde, Léa est franchement canon ! ca aussi c’est génétique non ? Tous des beaux gosses dans la famille, pas un pour rattraper l’autre… « Adoré ? Peut être sans le twix » Mais quel provocateur, il semble se lâcher le pti là. Je me lève pour approcher de lui, laissant mon sourire carnassier s’installer sur mes lèvres, alors que je pouvais lire toute l’arrogance du monde dans son regard. J’adore ça, c’est franchement drôle et assez excitant. Le voir comme ça me provoquer, s’attendre à tout de ma part sans pour autant savoir ce dont je suis capable. Et oui, c’est ça qui me rend fou, puis, tout ce sang sur lui aussi. Le rouge lui va tellement bien, j’ai envie de laisser mes doigts glisser sur son visage, rien que pour avoir le plaisir de ressentir le sang qui commence à sécher sur lui. Tu vas commencer à jouer, tu vas commencer à réellement le provoquer…parce que ça tu sais le faire aussi, tu veux voir jusqu’où il est prêt à aller dans ses provocations. Oui, tu veux voir s’il est capable d’aller aussi loin que toi ou alors, s’il allait tenter de faire sa prude. Le souci, c’est qu’une fois que tu es lancés et bien, tu veux obtenir l’objet de ton désir. Hors, Eliott est devenu cet objet, ce désir, malheureusement pour lui. « Tu m’as pris par surprise » Il sourit et tu hausses un sourcil l’air attentif à ce qu’il dit, comme amusé par ses paroles. « Tu ne devrais pas être surpris… tu n’as encore rien vu. » Oui, une simple attention, de simples mots qui veulent dire tellement de choses. Là, il n’avait eu qu’un simple aperçu de ce que tu étais capable de faire, de ce que tu allais faire. Car déjà, tu le contournais, t’arrêtant derrière lui pour laisser tes paroles se murmurer à son oreille. Toute cette tension tu peux la sentir, comme une bouffée de chaleur qui t’envahie. « Ne t’attend pas à ce que je me laisse faire, cette fois- ci » Heureusement, je n’aime pas quand je dois faire tout le boulot, quand c’est trop facile. J’aime les hommes farouches, les hommes qui se font de fausses idées en pensant pouvoir me résister bien longtemps. Un petit ricanement sort de mes lèvres, pourtant, je ne m’attendais pas à la suite. Je sens sa main attraper mon entre-jambe sans grande douceur, tant mieux, la douceur c’est pas mon fort. Un souffle s’échappe de mes lèvres alors que mes yeux se ferment légèrement sous cette pression, ce contact intime et plaisant. « Tu m’as eu une fois, pas deux » Je ricane de nouveau. « Tu crois ? » Et sans prévenir, je prends sa main dans la mienne et, sans gêne, je la glisse dans mon pantalon, passant sous mon boxer pour la placer contre mon intimité mais peau contre peau. « Si tu veux faire quelque chose, fais les choses bien Eliott, sinon, ne fais rien du tout. » J’avais murmuré ces mots, un sourire mauvais sur les lèvres. Il voulait jouer et bien, qu’il joue le jeu à fond parce que clairement, il avait lancé la machine et je n’allais pas m’arrêter. Avant même qu’il puisse réagir, j’approche mes lèvres de son cou, y déposant un baiser tout en laissant ma langue glisser sur sa peau couverte de sang. J’avais dégagé ma main pour juste y laisser la sienne. Mon pantalon n’était pas détaché, du coup, la pression de sa main était bien présente et cette sensation ne fit que m’exciter davantage. Allait-il jouer ou se dégager ? Allait-il prendre peur ou encore, allait-il me surprendre ? Je n’en avais pas la moindre idée, sauf que là, je n’en avais plus rien à foutre. J’étais chaud bouillant et l’environnement ne faisait qu’augmenter la chose. Il y avait tout ce sang, cette odeur métallique qui me rendait dingue. Sa peau sous ma langue, alors que je pouvais goûter à nos victimes… Je frisonne en soupirant légèrement, alors que je recule mes lèvres de son cou, un sourire arrogant sur le visage. 962 mots -24h post'7 © MADE BY SEAWOLF. |
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Je suis : célibataire tentant d'oublier son véritable amour | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Dim 4 Sep - 2:40 |
| Il te met en garde. Tu n’as encore rien vu. Oh ça, tu t’en doutes fortement. Mais il y a toujours cette fascination. Cette envie de jouer. Probablement un peu masochiste et pourtant. Tu n’es pas du genre à avoir peur. Tu n’es pas du genre à avoir froid aux yeux. Des limites, tu dois en avoir, pourtant en cet instant, alors que ta raison te crie de t’arrêter là dans les provocations et de simplement rentrer chez toi, tu n’arrives pas à faire autrement que de rentrer dans son jeu. Ou plutôt de relancer votre jeu, qui s’était un peu calmé après son baiser langoureux. C’est pour ça que tu n’hésites pas, à fixer ta main sur ses parties que tu serres fortement, presque violemment. Tu n’es pas connu par ta douceur ou ta tendresse, davantage pour ta passion. Un peu de passion et de sauvagerie ne font jamais de mal. Lorsque tu t’emportes, c’est totalement. Tu n’aimes pas retenir tes gestes, tu n’aimes pas faire dans la demi-mesure. On ne t’a pas appris à te modérer, mais plutôt à embrasser tes démons, à croire en ton instinct et en ta colère. Ton père t’a toujours incité à avoir le gout de tuer, d’agir, de répliquer avec plus ou moins de violence. Tu sais que tu devrais probablement avoir peur de ce type qui semble particulièrement dangereux et taré. Mais tu veux jouer avec le feu, tu veux le pousser à agir. Tu veux voir ce qu’il va faire tu veux la voir à l’œuvre. Peut-être la perspective de tester autre chose, de t’aventurer vers l’inconnu, loin de certaines relations insipides.
Saisissant ta main, après un rire mauvais, signifiant que tu n’as encore rien vu, il vient la glisser dans son pantalon, dans son caleçon, juste contre sa peau, juste contre sa virilité que tu sens durcir doucement. Toujours dos contre lui, tu souris en coin. Un sourire mauvais, un sourire lubrique. S’il te provoque de la sorte, pour sur que tu vas réagir. Tu n’es pas du genre à ne pas céder à des avances, quelle que soient leur forme. Sa voix grave vient murmurer quelques paroles à ton oreille une fois de plus et ton regard pétille, habillé désormais d’une lueur plus désireuse. Désireuse de plus. Malgré le sang, malgré les cadavres, malgré la scène apocalyptique qui en dégouterait plus d’un. Mais pas vous. Les tueurs sanguinaires. Pas vous et votre habitude du sang et des chairs découpés. Pas vous et votre aisance à ôter des vies. « Très bien… » Lâches-tu, un peu évasif, un peu lascif, tandis que ta main se montre aventureuse. Désireuse d’explorer cette partie si intime de sa personne malgré la gêne de l’espace réduit. Au contraire, ta pression est bien plus intense et tes doigts se montrent curieux. Tu as au moins le mérite de savoir ce que tu fais, étant tout sauf un débutant en matière de relation de ce genre. D’un naturel dominant, tu sens pourtant que tu ne l’emporteras pas au paradis avec Gabriel. Mais tu attends de voir, car tu ne te laisseras pas faire. Tu ne te laisseras pas dominer aussi facilement, mais tu es prêt à gouter à une autre forme de plaisir. Car ne nous mentons pas, tu n’en resteras pas à quelques caresses trop douces et suggérer. Pourquoi ne prendre qu’une cuillère de confiture lorsque tu veux dévorer le pot ? Ses lèvres se posent dans ton cou, embrassant, léchant ta peau et le sang qui la macule. Tu te mords la lèvre inférieure, fermant un instant les yeux, concentré sur tes gestes, sur ta main, mais aussi sur chaque sensation qui parcoure ton corps.
Il finit par reculer ses lèvres de ton cou, tu peux presque le sentir sourire tandis que tes yeux s’ouvrent de nouveau. Les battements de ton cœur s’accélèrent. Tu sens l’envie monter en toi. Ce type aura eu le pouvoir de te faire passer de la haine, de l’exaspération et du dégoût jusqu’à l’irrépressible désir qui risque très fortement de se transformer en plaisir. « Puis merde » Lâches-tu presque de dépit. Tant pis pour ta fierté et ton arrogance. Tu es forcé de reconnaitre que là tout de suite, t'en as envie. Tu finis alors par te retourner, d’un coup, peut être trop brusquement mais qu’importe. Tes lèvres viennent s’écraser sur les siennes, violemment, sauvagement, passionnément. Tandis que tes mains viennent défaire sa ceinture puis son pantalon. T’en veux plus, encore plus. Tu n’en a plus rien à foutre de la pièce dans laquelle vous vous trouvez. Des morceaux de cadavres sur lesquels vous risquez de trébucher dans votre fougue. Désormais, tu le veux-lui. Ta langue vient à la recherche de la sienne, dans un contexte bien plus agréable. Tu l’as provoqué un peu plus tôt et tu lui montres désormais ce que c’est que d’avoir droit à tes répliques, à tes véritables gestes, pas juste à un mouvement de recul et de dégoûts. T’attends de voir la suite, car tu te doutes bien qu’il ne va pas te laisser prendre les rênes aussi facilement, mas qu’importe. Tu t’abandonnes au moment, tu ne penses plus à rien. Juste à tes lèvres, brûlantes, dévorant les siennes. Profitant de toute sa bouche. -24h 878 mots |
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Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Dim 4 Sep - 20:57 |
| - Interdit aux âmes sensibles ça surchauffe:
Dysfonctionnel.feat. Eliott Morgenstern Je cherche à le faire réagir, le poussant plus que nécessaire. J’ai besoin de ça, de ce jeu qui me détourne l’espace d’un instant de ma folie perpétuelle. Et encore, pas vraiment sur, vu que du coup je restais légèrement cinglé…juste un peu hein…d’accord, je mens, je suis littéralement fou mais ce n’est pas un secret. Après tout, je ne suis pas connu pour ma stabilité mentale. Sans gêne, je prends la main de l’Obscur pour la mettre dans mon pantalon, appréciant directement ce contact chaud contre mon intimité déjà en train de durcir face à ce petit jeu. Ben quoi, je prends mon pied, je n’en peux rien. S’il voulait faire quelque chose qu’il le fasse bien, je lui fais d’ailleurs remarquer. Je n’aime pas quand les choses sont à moitiés faites, autant directement passé aux choses sérieuses. « Très bien… » Très bien ? Attends là…donc, il est choqué par un baiser et là, sa main dans mon boxer, il me réplique un très bien. Bon, d’accord, suis le coup je suis quand même perdu, j’avoues. Moi qui pensais le titiller et bien, certes j’avais réussis, mais d’une façon pas vraiment attendue. Pas que cela me dérange, oh que non, bien du contraire. Je sens ses doigts se faire entreprenants, aventureux et je frisonnes tout en laissant glisser ma langue sur sa peau. Le gout métallique me donne des pulsions bien plus violentes et je ne me gêne pas pour morde légèrement une parcelle de sa peau, ma main libre glissa sur sa hanche alors que je le sens explorer mon intimité qui réagissait à son touché. Que demander de plus ? Il sait s’y prendre, je sens que ses gestes sont sûr et bien calculés, ce n’est pas un débutant et je préfère. Déjà, je sais que je risque d’avoir de bonnes surprises. « Puis merde » Je le sens se retourner assez brusquement, me laissant avec un sourire amusé sur les lèvres. Ah ben voilà, quelques petites léchouilles dans le cou et monsieur est tout exister. Bon, je ne vais pas faire le malin, j’ai déjà envie qu’il replonge sa main dans mon boxer, voire davantage ! Sa bouche vient s’écraser contre la mienne et sans hésitations, je réponds à son baiser, m’attaquant également à son pantalon alors qu’il détachait ma ceinture ainsi que mon froc tout court. Ma langue rencontre la sienne avec une sauvagerie que j’apprécie, que j’exprime facilement, explorant cette bouche qui m’était inconnue. Les battements de mon cœur s’accélères, tambourinant dans ma poitrine avec une force incroyable. Détachant son pantalon, je fais en sorte d’enlever sa veste, lui arrachant pratiquement des épaules. Rien à foutre de la douceur, je crevais d’envie de l’obtenir tout entier et sans plus de cérémonies ! J’en profite pour lui enlever son fourreau où était rangée son épée, la balançant sur le sol accompagné de sa veste. Je souris avec amusement, venant mordre sa lèvre l’espace d’une seconde. Respiration saccadée, mes mains glissent sous son haut et mes lèvres se détachent des siennes, remontant son tee-shirt, le balançant également sur le sol avec le reste. Je ne compte absolument pas le laisser mener la danse, ici, le dominateur c’était moi et il allait rapidement le comprendre…. Je viens m’emparer de son cou, alors qu’une de mes mains se place dans sa nuque et l’autre descend son pantalon, agrippant son boxer avec au passage. Ben quoi, je suis pressé… Je n’aime pas la lenteur, c’est pas vraiment ma drogue, moi c’est plus la sauvagerie, surtout dans une atmosphère comme celle-ci. Utilisant ma force d’Obscur, je le pousse pour le plaquer contre un mur, sauf qu’au dernier moment, avant qu’il ne touche celui-ci, je le retourne pour qu’il se retrouve face contre celui-ci…. « J’espère que tu as une bonne condition physique… » J’avais murmuré ces mots dans un petit ricanement, tout en laissant ma main trouver le chemin vers son intimité. Je viens mordre le bas de sa nuque assez forte, j’ai du mal à me contrôler quand je mords, j’avoue…ma main de libre glissait déjà dans son dos, le griffant quelques fois mais pas trop fort non plus, juste assez pour y laisser une trace rouge. S’il tentait de se retourner j’allais le bloquer directement, ne souhaitant pas le voir prendre le contrôle. Ma main s’arrête sur ses fesses, lui signifiant bien ce que j’allais entreprendre par la suite. Et s’il me demandait d’arrêter ? Rien à foutre, quitte à le violer sur place, le prendre par la force et bien soit, je le ferais. 758 mots -24h post'9 © MADE BY SEAWOLF.
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Je suis : célibataire tentant d'oublier son véritable amour | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Lun 12 Sep - 19:28 |
| - C'est chaud, ça brule:
Définitivement, joué les prudes ne te va pas. Tu ne perds jamais une occasion de céder au vice de la luxure. Tu ne perds jamais une occasion de t’envoyer en l’air, aussi incongrue, soit-elle. Alors oui, quand ce type, ce fameux Gabriel te cherche, tu finis par craquer. Tu n’es pas connu pour ta fidélité ou pour ton abstinence, bien au contraire. Alors oui, tu avais bien remarqué qu’il est plutôt mignon dans ce genre, bien qu’un peu taré. Mais tu te sens attisé par son côté fou, imprévisible et encore plus violent que toi. T’as envie de ça, au fond de toi. Même si tu veux te donner des faux airs. Faire genre que tu es au-dessus de tout ça, que tu n’as pas besoin d’un type comme ça. Pourtant il est comme cette friandise interdite. Tu es gourmand, un peu trop peut-être. T’as envie d’essayer, à tes risques et périls. Témérité. Foutu témérité. Tu sais qu’il ne va pas dire non. Tu sais qu’il ne va pas tenter de freiner tes ardeurs. De stopper tes doigts agiles qui commencent à faire monter la tension, à réchauffer son bas-ventre comme le tien, tandis qu’il dévore ta peau. Alors tu te lâches, tu t’emportes, tu te jettes littéralement sur lui. Tu n’es pas connu pour ta patience. Tu aimes le jeu, tu aimes la provocation, mais tu n’es pas capable de faire ça éternellement. Tu es cette fougueuse jeunesse, cette fougueuse impatience.
Tu t’attaques à son pantalon comme il s’attaque au sien. Ton cœur s’accélère dangereusement, tandis que tu perds tes lèvres contre le siennes. Tu la sens la sauvagerie s’installer entre vous. Ce besoin irrépressible de l’autre. Cette envie d’aller plus loin, plus vite. Tu joues avec sa langue, tu lui montres que malgré ta jeunesse, tu n’es pas un petit gamin hésitant. Oh ça non, bien au contraire. Tu as sur te forger une expérience conséquente, adorant explorer les draps des uns et des autres. Désir de passion, fuite de l’attachement. Vous retirez mutuellement vos vêtements sans aucune douceur, sans aucune lenteur. Vous êtes rapides, peut être trop, mais vous brulez tous les deux de la même flamme. Dans son regard, tu peux lire le désir brulant, comme il peut le lire dans le tiens. L’envie de vous emporter dans une tornade de sensations. Vos armes finissent au sol, de même que le reste de vos vêtements. Vous vous dévoilez sans pudeur, sans gêne, malgré la scène macabre qui vous entoure. Comme deux démons au milieu des enfers. Il te pousse, te fait reculer et tu ne luttes pas vraiment, attendant que ton dos heurte violemment le mur. Attendant qu’un brin de douleur se mêle à cet échange torride. Sauf qu’au dernier moment, tu fini face au mur, le heurtant assez violemment. Tu comprends que tu n’auras pas le dernier mot. Qu’il ne te laissera pas faire, qu’il ne te laissera pas décider et qu’il s’imposera sans que tu réellement le choix. Tu essayes de te dégager, mais il est plus fort que toi, plus expérimenté. Plus âgé et plus entrainé, surtout. Alors tu sens bien que c’est peine perdu. Il te murmure qu’il espère que tu as une bonne condition physique et malgré tout tu souris « Ne me sous estime pas » Lâches tu simplement, un peu trop sur de toi, un peu trop provoquant, comme faisant encore monter d’un cran la pression. Ton cœur bat à tout rompre tandis que ses mains parcourent ton corps sans que tu puisses faire de même. Tu te mords la lèvre inférieure lorsque tu sens sa main se poser sur ta virilité et l’autre sur tes fesses. Tu ne sais pas tellement à quoi t’attendre. L’excitation du plaisir, du désir de la surprise, allié à un brin de crainte. « Je suppose que je n’ai pas le choix de la position » te hasardes tu quand même à demander bien que connaissant déjà la réponse. Un brin amusé. Jamais auparavant tu n’as été dominé de la sorte. Comme l’envie d’une nouvelle expérience, allié à la peur de l’inconnu. Peur, c’est un grand mot, tu n’as pas peur de grand chose, mais tu le sais si imprévisible qu’il t’est impossible d’envisager un scénario probable. Alors tu recules simplement un peu ton bassin pour te frotter au sien. Tes mains reculent pour venir presser ses hanches. Tu la sens la tension monter encore. Tu sens ton esprit s’arrêter de penser, de divaguer, juste pour te concentrer sur l’instant et sur les sensations à venir. Tes ongles, tes doigts se plante dans sa chair. S’il veut te griffer, te marquer, s’approprier ton corps, tu comptes bien faire de même, malgré ta faible liberté de mouvement. Malgré sa dominance. Malgré sa folie. Tu te feras ta place, tu laisseras ton souvenir.
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Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
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Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
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Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Mar 13 Sep - 14:00 |
| - Interdit aux âmes sensibles ça surchauffe:
Dysfonctionnel.feat. Eliott Morgenstern C’est grisant cette sensation qui s’empare de moi, alors que déjà, je connais la suite des évènements. Le dénouement de cette situation des plus excitantes. Il est là, à ma portée, face contre le mur. Je ne compte pas lui faire de cadeaux, encore moins le laisser s’amuser à me dominer. Pas aujourd’hui, pas maintenant. Bien que quelques fois j’aime jouer les soumis, l’heure n’était pas à cette folie. Eliott est plus jeune que moi et, de ce fait, je vais simplement m’imposer à lui. D’accord, c’est assez immature comme réaction, mais je m’en balance. « Ne me sous estime pas » Il semble tellement sûr de lui, ça en est amusant. Il ne sait pas de quoi je suis capable et, j’allais lui prouver que lui, se surestimait sûrement. Je peux déjà comprendre qu’il n’est pas un de ses gamins sans expériences, non. Sa façon de m’avoir enlevé mes vêtements, d’embrasser, de provoquer. Il a sûrement plusieurs conquêtes à son actif, comme moi, bien que je devais sûrement avoir un plus long tableau de chasse que lui. Mais bon, nous n’allions pas non plus jouer à qui a le plus baiser dans sa vie, après tout, j’avais un avantage, mon âge. Parce que oui, Eliott est bien plus jeune que moi, de plusieurs années, mais je n’en ai strictement rien à foutre. C’est un Obscur comme un autre, un jeune homme attirant qui avait éveillé bien des pulsions en moi. Qu’il soit jeune ou pas ça ne changeait rien à mes yeux, je comptais le prendre comme j’aurais pris un autre à sa place. Jeune ou vieux. Enfin, pas trop vieux quand même… Mes doigts glissent autour de sa virilité alors que mon autre main, elle, s’arrête au niveau de ses fesses. Mes dents s’enfoncent légèrement dans sa nuque, mon amusement se mélangeant à mon envie. « Je suppose que je n’ai pas le choix de la position » Je ricane légèrement, sauf que mon ricanement se change bien vite en un soupire de plaisir quand il vient frotter son bassin contre le miens. Ses ongles s’enfonçant dans ma peau, m’arrachant un frémissement de plaisir. La douleur est également une chose qui me met hors de moi, comme si on allumait une flamme bien plus dangereuse. « Là de suite…tu n’as pas de choix. » Mes doigts autour de sa virilité se mettent en action alors que j’accentues le frottement de nos bassins. Mes lèvres viennent se poser dans son cou, y mordillant quelques passerelles, le cœur battant à toute allure dans ma poitrine. J’en crève d’envie, ça ne laisse aucun doute, mon corps me trahi sans que je ne puisse le cacher. Il semble réellement impatient, sauf que moi, j’ai juste envie de le faire patienter sur le coup, l’emmerder, lui faire perdre la tête. J’accélères légèrement mes caresses, décollant mon bassin de ses fesses pour y avoir un accès plus facile. Relâchant sa virilité après quelques secondes, je passe une main dans ses cheveux pour qu’il tourne son visage vers moi. Ainsi, je pouvais aisément avoir accès à ses lèvres que je me mis à embrasser avec une fougue non contrôlée. Venant mordre sa lèvre inférieure par instant, ma main sur ses fesses se mit en mouvement, prenant soin de le glisser au passage. Oui, il allait se souvenir de moi, son corps du moins allait en garder des séquelles. J’aime imposer ma marque, pas que je faisais de lui ma propriété non, c’est juste pour qu’il ne m’oublie pas trop rapidement…ça serait con quand même. Je serre sa fesse droite tout en l’embrassant, laissant ma langue danser avec la sienne avant de détacher mes lèvres des siennes, le souffle court. « On va passer aux choses sérieuses. » Une phrase pleine de sous-entendus, un sourire amusé sur mon visage toujours proche du siens. Sans attendre sa réponse, réponse qui même si elle était négative n’aurait pas prise en compte, j’insère un doigt en lui, relâchant ses cheveux. Ma main libre vient se placer contre sa gorge pour avoir une meilleure prise sur lui. Je ne serre pas pour l’étrangler non, juste assez pour l’empêcher de s’enfuir s’il le souhaitait. Quoi que, il avait tenté de se débattre tout à l’heure et n’y était pas parvenu. Je commence des vas-et-viens au début lents et contrôlés, mon visage était venu se placer dans son cou ou je laissais y glisser ma langue, ne semblant pas rassasié de sa peau. Puis, au fur et à mesure j’accélérais le mouvement, enlevant ma main de sa gorge pour venir rechercher sa virilité entre mes doigts pour de nouvelles caresses. Son corps ne détrompe pas, je peux comprendre rapidement qu’il n’a pas l’habitude d’être soumis de la sorte. Réflexe naturel d’un corps mit à l’épreuve, je le sentais serré et étroit, mais plus pour très longtemps ça je peux clairement vous l’assurer ! 811 mots -24h post'11 © MADE BY SEAWOLF.
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| PRO MUNDI BENEFICIOEliott Morgenstern Je suis à Chicago depuis le : 26/04/2016 et j'ai déjà payé : 126 factures et gagné : 10 gains. Il paraît que : Lucky Blue Smith On m'appelle : Wiise et pour mon profil je remercie : Moi même
Je suis : célibataire tentant d'oublier son véritable amour | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Mar 13 Sep - 23:14 |
| - C'est chaud, ça brule:
Tu es un petit con quand tu le veux. Prêt à prendre des risques inconsidérés. Provocateur, juste pour le plaisir. Juste pour sentir le danger, le risque, l’adrénaline. C’est un peu ce que tu fais finalement, même si le résultat de cet échange sera torride. Tu joues avec Gabriel, tu titilles sa folie et le monstre imprévisible qui l’habite. Tu le pousses à agir, tu le pousses à prendre possession de toi. Parce que tu es curieux et que tu as beaucoup trop le goût du risque. Désir d’inconnu, désir de savoir, de connaître, d’expérimenter. Foutu impatience. Il te rétorque que tu n’as pas le choix, mais tu t’y attendais. Alors tu continu, tu insistes, tu donnes un coup de bassin, tu marques sa peau. Tu feras tout ce qu’il t’est possible de faire, malgré ton visage presque plaqué contre le mur. Tu lui montreras que rien ne t’arrête et que même s’il a l’avantage d’avoir plus de force et d’expérience, étant en mesure de te maîtriser, tu ne te laisseras pas faire. Tu te laisseras dominer parce que tu le veux bien. Quoi qu’il dise, quoi qu’il pense. Toi aussi tu es une tête brulée. Parfois trop fier, trop confiant. Il accentue le frottement de vos bassins et tu souris. Il faut croire que ton petit jeu fonctionne et qu’il y prend goût. Il faut croire que tu sais comment l’amadouer, surtout à mesure que ton désir augmente en sentant son corps nu contre le tiens. Ton corps s’accélère, tu ne peux pas voir, anticiper, tu es dans l’inconnu et tu sens la curiosité pulser dans tes veines. Aucune trace de peur, juste l’excitation du danger qui fait cogner ton palpitant plus fort.
Ses doigts descendent, se mette en position jusqu’à commencer quelques mouvements qui t’arraches un léger soupir de plaisir. Tu le sens monter, te dévorer, ce désir brulant et dévastateur. T’as envie, foutrement envie de lui. Ce jeu, ces provocations, ont le don de faire monter encore plus ton envie, de titiller ton impatience. Mais tu sens qu’il ne va pas juste te prendre, sans sommation. Oh non, tu le sens bien plus joueur, comme ayant senti que tu voulais passer à la vitesse supérieure. Mais il semble en avoir décidé autrement. Il décide de te faire languir, tourne ta tête pour voler un baiser, que tu lui rends, venant jouer avec sa langue. Ton cœur accélère encore. Il te tient en haleine. Sa main descend jusqu’à ce moment, où il te balance que vous allez passer aux choses sérieuses. Ce moment où tu n’as pas le temps de réagir de réaliser que déjà son doigt entre en toi, t’arrachant un râle. Fougueux, sauvage, rapide. Il s’amuse, il jubile alors que tu commences par serrer un peu les dents sous la violence de ses mouvements qui accélère sans crier garde. Il serre ta gorge, il te maintient et tu ne peux plus bouger. A sa merci, totalement livré, totalement offert. Sa langue goutte ta peau, comme se délectant d’une friandise. C’est ce que tu es finalement ce soir, là, dans cette pièce. Sa friandise. Tu n’as pas l’habitude d’une telle soumission, tu n’as pas l’habitude de te laisser dominer alors tu sens que tu as du mal à te détendre. À apprécier l’échange, les caresses, pourtant connues, déjà expérimenter, à leur juste valeur. C’est normalement toi le dominant, celui qui décide, qui guide, qui sourit, une lueur perverse voir malsaine dans le regard. Une lueur lubrique, d’un désir des plaisirs du chair rarement satisfait. Comme un besoin, viscéral.
Tu lâches un nouveau râle sous ses mouvements tandis que sa main descend sur ton membre. Tu le sens se plaisir qui te submerge peu à peu « Putain… » Finis tu par lâcher entre tes dents, de détendant davantage pour profiter de chacun de ses mouvements qui bien que légèrement douloureux au début, en deviennent agréable. Tes mains restent sur ses hanches, le tenant plus fermement. Tes doigts, tes ongles, s’ancrant plus violemment dans sa chair à mesure que le plaisir grandi et que tu grognes légèrement. Puis une de tes mains se montre aventureuse, allant chercher son membre à lui, venant le caresser, de haut, en bas, dans des mouvements intenses, qui gagnent eux aussi en rapidité. Tu veux l’entendre gémir contre ton oreille. Tu veux sentir son souffle saccadé contre ton cou. Tu veux qu’il reconnaisse que tu te débrouilles. Tu veux lui montrer que toi aussi tu peux avoir du pouvoir. Que malgré la position, malgré ta domination tu peux t’imposer, d’une façon ou d’une autre. Il essaye de te faire languir, soit, mais tu n’as pas dit ton dernier mot. Ta main libre se pose contre le mur, comme pour te retenir, tentant en vain de serrer la tapisserie défraichie à mesure que tu t’abandonnes à cet ébat nouveau, sauvage et passionné.
-24h 808 mots |
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Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
Je suis : Fiancé à Aurora Montgomery, amoureux de mon parabatai Florian. My Twin
Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
➤ My complication.
Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Mer 14 Sep - 10:49 |
| - Interdit aux âmes sensibles ça surchauffe:
Dysfonctionnel.feat. Eliott Morgenstern Si je ne m’étais pas attendu à un tel revirement de situation, je ne pouvais qu’en être complètement comblé. Ben oui quoi, je n’étais pas venu en mission dans l’optique de finir nu à sauter sur mon coéquipier du jour. Après tout, je ne connaissais pas grand-chose d’Eliott, juste sa réputation et celle de sa famille. Devais-je savoir des choses sur lui pour coucher avec ? Bien sûr que non, je n’allais pas le demander en mariage après hein. Je ne suis pas con, encore moins du genre à réclamer une quelconque suite après. Moi, ce qui m’intéresse c’est le sexe à l’état brute, ni plus, ni moins. Hors, le jeune homme semblait totalement disposé à m’offrir ce que je souhaite lui arracher. Ses râles de plaisir, ses gémissements se mélangeant aux miens ne détrompent pas. Douce mélodie qui laisse entrevoir des ébats qui en allaient être que plus agréable encore. Nos langues se trouvent, jouent à un jeu dangereux alors que je ne cesse mes caresses, mon corps contre le siens. Si je devais me foutre un thermomètre dans le cul je pense qu’il exploserait sous la température que je dégage. Il est impatient, je le sens, un peu comme moi d’ailleurs. Je n’ai jamais été d’une grande patience, sauf quand il s’agit de faire chier les autres, là, c’est une toute autre affaire. S’il veut passer à l’étape supérieure, moi, j’ai juste envie d’éloigner le moment crucial de quelques minutes encore. J’ai envie de jouer, d’une certaine façon, de découvrir son corps d’une autre. Ma main glisse sous son menton, maintenant sa gorge sous mon emprise alors que mon intrusion en lui lui arrache un râle. Un sourire s’affiche sur mes lèvres, enfuyant mon visage dans son cou que je ne pus m’empêcher de gouter une fois de plus. Je suis gourmand, peut-être un peu trop d’ailleurs. Mon emprise se relâche, m’occupant de lui de bien des façons, lui arrachant un second râle. Ma respiration est brulante, rapide sous l’envie qui me submerge, m’incendie de l’intérieur. J’aurais plongé tête baissée dans un volcan que ça aurait été pareil. Cette sensation je la connais que trop bien, me laissant complètement envahir par mes émotions alors que je ne cesse mes caresses, mes intrusions. Si je fais monter la pression chez lui, il en est également de même chez moi. « Putain… » J’entends son plaisir comme un léger murmure, bien trop perdu dans mon propre plaisir pour y prêter une quelconque réelle attention. J’ai l’impression d’être ailleurs, dans un autre univers. Le sang autour de nous n’existe plus, je pourrais m’y coucher que ça ne ferait pas la moindre différence. Il n’existait qu’Eliott et moi, nos corps nus bien trop proches, nos actes de débauches déclenchant la folie qui n’a jamais cessé de m’animer. Ses ongles s’enfoncèrent davantage dans ma peau, m’arrachant également un râle, les dents serrées alors que j’accentue en profondeur mes mouvements en lui. Il va finir par percer ma peau si ça continue mais ce n’était pas pour me déplaire, si c’était le cas, je me vengerais à ma manière simplement. S’il fait couler de mon sang, je ferais couler du siens. Un donné pour un rendu…Malheureusement, plus il joue à enfoncer ses ongles dans ma peau, plus je perds mes moyens, plus l’impatience se fraye un chemin en moi, briser, fissurant le peu de patience dont je faisais preuve. Je sens l’une de ses mains devenir bien plus entreprenante alors que ses doigts s’enroulent autour de ma virilité bien irriguée par l’afflux sanguin qu’il provoquait en moi. Mon corps se crispe alors que ses premières caresses se font ressentir, ma bouche s’entrouvrant légèrement contre son cou. Un soupire de plaisir s’échappe de mes lèvres, venant se répercuter contre sa peau alors que mon bassin se met en mouvement, accompagnant les siens. Je n’étais pas déçu de ce petit entretient intime, au moins, il ne faisant pas qu’attendre le moment où je m’occuperais fatalement de ses jolies petites fesses. Je sens le plaisir monter d’un cran alors que quelques gémissements accompagnaient les siens. Mes muscles se crispes, je ne tiens plus, je n’en peux plus. J’ai besoin de plus, de bien plus. « Ça suffit. » J’extirpe mon doigt pour récupérer l’usage de ma main, venant bloquer son poignet pour qu’il cesse ses caresses. L’obligeant à lâcher ma virilité, je lâche également la sienne, déposant ma main dans sa nuque alors que la seconde se posait au creux de ses reins. Au moins, je l’avais senti se détendre, logiquement, ça ne devrait pas être compliqué…d’accord, je mens, s’il n’est pas habitué à de tels débats, il ne risquait pas de prendre son pied les premières minutes. Ce que j’ai entre les jambes est quand même plus gros que mon doigt, voire beaucoup plus gros. Tant pis, je ne pouvais plus attendre. J’appuie davantage contre sa nuque, alors que ma main en bas de sa colonne l’oblige à se pencher davantage en avant. Une fois positionné plus ou moins convenablement, j’attrape ses hanches ne traînant plus pour obtenir ce que je désirais. Un râle de plaisir s’échappe de mes lèvres alors que j’entendrais en lui par graduation, provoquant une explosion de plaisir. « Bordel… » Malgré les petits préliminaires, il était toujours aussi serré ce qui, au final, m’offrait davantage de sensations. Mes mains sur ses hanches, ce fut à mon tour d’enfoncer mes ongles dans sa peau. De toute façon, j’avais en tête par la suite de le coucher gentiment – ou pas – sur le sol. Faire ça parmi les cadavres c’est le pied non ? Puis, j’aime pas baiser un dos trop longtemps, je préfère voir le visage des mecs avec qui je couche. 949 mots -24h post'13 © MADE BY SEAWOLF.
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| PRO MUNDI BENEFICIOEliott Morgenstern Je suis à Chicago depuis le : 26/04/2016 et j'ai déjà payé : 126 factures et gagné : 10 gains. Il paraît que : Lucky Blue Smith On m'appelle : Wiise et pour mon profil je remercie : Moi même
Je suis : célibataire tentant d'oublier son véritable amour | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Dim 18 Sep - 21:59 |
| - C'est chaud, ça brule:
Tu t’abandonnes à l’instant, ta main s’agite et rapidement, tu peux entendre ses gémissements, ses râles, se mêler aux tiens. T’as juste envie de continuer, de gagner encore en plaisir, de profiter encore de ses caresses et de son corps contre le tien. De cet instant hors du temps où plus rien ne compte, où plus rien n’existe. Tu fais gagner en intensité à tes caresses, alors qu’il gémit contre ton oreille accompagnant tes mouvements, tu en veux plus, encore et toujours plus. Insatiablement téméraire. Tu sais que tu prends un risque en t’aventurant aussi loin avec lui. Tu sais que tu ne pourras bientôt plus faire demi-tour, même s’il se montre violent, même si tu grimaces, même si tu serres les dents. Tu as fait ton choix, tu as désiré ce qui arrive. Mais rapidement, tu le sens se crisper sous tes doigts. Tu sens son plaisir et son désir augmenter bien trop vite, bien trop fort et il te fait cesser. Il s’immobilise et tu stoppes net tes gémissements et ton mouvement du poignet. Ton cœur bat la chamade, tandis que tu es toujours face au mur, ne pouvant profiter de l’expression troublée de son visage. Tu t’exécutes et fini par lâcher sa virilité, avant de reprendre ton souffle, de calmer cette respiration haletante part ses précédents gestes et tout le trouble qu’il a engendré en toi. Un trouble bien mérité. Il saisit tes fesses et tu te mords la lèvre inférieure, serrant un peu plus le mur défraichi de tes mains, ta deuxième main rejoint la première, ton cœur bat à tout rompre, prêt à encaisser, prêt à apprécier.
Tu te laisses guider par ses gestes, tu te penches, tu te cambres. Tu n’as pas l’habitude d’être le dominé dans l’histoire, mais avec ce type, tu avais bien du mal à imaginer autre chose. À t’imaginer prendre le dessus. Tu as envie pour une fois d’inverser, d’essayer, de subir, tout en lui montrant que tu es loin d’être un parfait petit soumis obéissant. Oh pour sur, tu es bien loin du compte. Tu es impertinent, provoquant, joueur et taquin. Un beau mélange qui t’a toujours fait obtenir gain de cause. Tu aimes jouer avec le feu, en toute situation et aujourd’hui tu acceptes d’être volontairement brûlé. Volontairement abusé, en un sens. Il entre en toi et tu commences par serrer les dents sous ce contact, le manque d’habitude, le manque d’expérience dans cette position et surtout dans ce rôle. Mais rapidement, sous ses mains qui saisissent ses hanches, sous le désir, plus fort que tout, tu te détends pour profiter pleinement de la situation. Pour apprécier chacun de ses mouvements de reins. Chacun de ses gestes qui te fait découvrir de nouvelles sensations. Tu le sens dur, désireux, brûlant. Il jure et toi, ça t’excite d’autant plus. A t-il vraiment cru que tu n’étais qu’un jeune homme insipide et incapable d’assumer totalement son petit jeu de provocation ? Si c’est ça il s’est trompé sur toute la ligne et tu comptes bien le lui prouver.
Il enfonce ses ongles dans ta chair et tu lâches un léger gémissement de douleur. Même si tu es loin de détester ce qu’il se passe, tu n’as pas l’habitude de souffrir de la sorte. Tu connais la passion, tu connais la sauvagerie, tu connais la fougue, mais la souffrance associée au plaisir est une nouveauté pour toi. Une nouveauté que tu pourrais commencer à apprécier avec de tels partenaires. Ton cœur accélère encore, battant si fort que tu le sens dans tes tempes, tambourinant fortement dans tout ton être. Finalement, il entame ses mouvements, doucement, il pénètre en toi plus profondément et tu ne peux contrôler un gémissement. Ca devient bon, ça devient appréciable à mesure que tu te détends, te concentrant sur le plaisir, sur ce cœur qui bat trop vite. Sur chaque nouvelle sensation, comme une découverte pour trop grand curieux. Appuyés contre le mur, tes doigts tentent d’attraper en vain la tapisserie tandis que tu te cambres un peu plus, pour accompagner ses mouvements. Tu fini par descendre une de tes mains pour t’aider, pour te caresser, pour faire augmenter ce plaisir et ce désir qui ne demande qu’à vous submerger. Peu importe où vous êtes, peu importe le sang, les cadavres et l’air à l’odeur métallique, sanglante, trace de votre violence passée. De votre rage, de votre déchaînement de force contre ses ennemis trop faibles, bien que plus nombreux. Tu as fait tes preuves, tu as montré que tu es à la hauteur de ta tâche d’obscur. Et là, tu comptes bien montrer à Gabriel que tu peux aussi ressortir triomphant de ta tâche d’amant. Même pour un type plus âgé, plus expérimenté et surtout plus fou que toi. Sans limites, sans barrière, juste l’envie folle de te prendre, qu’importe le contexte, qu’importe le sang, qu’importe tes protestations. Tu vas devoir, te laisser, faire, pour une fois.
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| PRO MUNDI BENEFICIOGabriel P. Osborn ◆Parabataï and more
Où que tu ailles, j'irai;Où tu mourras, puissé-je y mourir, qu'à tes côtés je sois enterré :Que l'Ange m'inflige son courroux, et plus encore,Si toi et moi étions séparé par quelque raison sinon la mort
Je suis à Chicago depuis le : 21/08/2016 et j'ai déjà payé : 250 factures et gagné : 1140 gains. Il paraît que : Nathaniel Buzolic On m'appelle : spf et pour mon profil je remercie : Amiante et Hunt
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Parce que tu es mon double, ma vie, mon tout. Pour toi je donnerais mon âme, je brûlerais cette terre. Oui, pour toi je tomberais sans remords, parce que ton coeur et le miens ne font qu'un. Deux êtres, une âme, un frisson à l'unisson.
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Tu es cette drogue qui me fait tomber, tu es cette femme qui me fait vibrer. Je me perds dans cette sensation étrange. Non, je ne le souhaites pas. Laisses-moi me détourner de l'aurore, laisses-moi m'échapper de ton regard. Plier n'est pas une option, pas pour toi, encore moins pour moi. Pars, va-t-en, abandonnes-moi, laisses-moi avant qu'on n'en crève mutuellement. | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. Lun 19 Sep - 22:08 |
| - Interdit aux âmes sensibles ça surchauffe:
Dysfonctionnel.feat. Eliott Morgenstern Pour l’instant il est docile, bien qu’entreprenant également. J’apprécies aussi bien un côté comme l’autre. Mon corps est tendu par l’envie, le désire. C’est une sensation horrible et pourtant enivrante, j’en veux plus et lui aussi, j’en ai conscience. Je ne peux plus patienter, pas en étant dans cet état de désir sexuel, c’est déjà un miracle que je n’aille pas cesser les préliminaires avant pour passer aux choses sérieuses. Je finis par lui indiquer ce que je désir, le penchant en avant alors qu’il s’exécute sans broncher. Bien vite, le plaisir se fit plus intense alors que j’entre en lui, poussant un juron pas très catholique, mais en-même temps, je suis loin d’être un ange. Il se crispe et j’adore ça, me mordant la lèvre douloureusement sous le plaisir. Si quelques fois j’aime me laisser aller à être dominé, la plupart du temps je ne le suis pas. Ça dépend vraiment de la personne ou encore du moment, de mes envies également. Personne ne me soumet si je ne le désir pas, c’est comme ça et pas autrement. Mais là n’est pas la question. Je le sens se détendre alors que mes mains agrippent sans délicatesses ses hanches, allant et venant en lui. Au début je suis plutôt calme, profitant de ce début, de cette étroitesse qui déjà se détendait sous mes coups de reins. Il gémit sous la pression de mes ongles dans sa peau, sous mes pénétrations de plus en plus profondes. Ses mains contre le mur le retiennent et ma tête se penche légèrement en arrière, alors que ma respiration s’accélère ainsi que les battements de mon cœur. C’est bon, terriblement bon. Je le sens se mettre en mouvement alors qu’une de ses mains descend entre ses jambes, se mettant à se caresser, ce qui ne pouvait que m’exciter davantage. J’accélères mes coups de bassins, devenant plus franc dans mes mouvements, y allant en profondeur alors qu’un gémissement sort de mes lèvres. Je ne compte pas m’arrêter là. La preuve, après quelques mouvements assez brutaux, je finis par me détacher de lui, l’attrapant par la nuque pour le redresser. Je le retourne pour qu’il me fasse face, posant directement mes lèvres sur les siennes. Un baiser fougueux, sauvage, passionné. Je recule et l’entraîne avec moi, finissant néanmoins par faire demi-tour pour que ce soit lui qui recule et non mois. Après plusieurs pas, sans avoir quitté ses lèvres, je m’amuse à lui faire un croche pied pour qu’il tombe en arrière, le retenant néanmoins par la nuque. Je me laisse aller sur le sol avec lui, ne me souciant pas du sang qui tâchait celui-ci. Rien à foutre. Mes lèvres glissent dans son cou, alors que ma main droite glisse sous sa cuisse pour la remonter et ainsi faire en sorte que son bassin se soulève. Je peux sentir que le sol est glissant alors que ma main de libre se pose dans le liquide froid, ne laissant aucuns doutes sur son origine. Du sang, encore et toujours du sang. Pas étonnant, un des cadavres se trouvait juste à côté de nous. Bof, il nous servira de cousin au pire. Cette fois je ne perds pas de temps et dès que son bassin est assez soulevé, je me replace convenablement, venant chercher de nouveau ses lèvres, revenant en lui. Néanmoins, je n’entre pas doucement, je n’en ai pas envie. J’entre avec une brusquerie non contrôlée et de tout mon long, étouffant un gémissement entre ses lèvres. Un coup sec et brute que je recommence rapidement. Mes lèvres se détaches des siennes légèrement, mon souffle se mélangeant au sien. Je lâche sa cuisse pour poser mes avant-bras sur le sol, pour ainsi, avoir un meilleur appuie alors que mes coups de reins se font bien plus rapide et sans plus aucunes délicatesses. Je ne saurais pas vraiment décrire ce moment, disons que là, de suite, c’était foutrement intense. Je viens mordre sa mâchoire, glissant dans son cou, comme si mes lèvres ne pouvaient plus réellement se passer de sa peau à l’heure actuelle. Sournoisement, l’une de mes mains, pleine de sang mais on s’en fou, glissa entre nous pour venir chercher sa virilité que je commence à caresser par la même occasion. Si mes gémissements commençaient à nettement retentir dans la pièce, je voulais que les siens accompagnes les miens. J’ai les muscles complètement tendus, je ne suis plus qu’une boule de plaisir. Je peux sentir mon souffle se répercuter contre sa peau alors que mes lèvres voyage contre celle-ci, enfuyant quelques fois mon visage dans le creux de son cou comme pour y trouver refuge, comme pour y étouffer mes gémissements. Ma mon bras glissa légèrement pour se rapprocher de lui, ma main libre glissant dans ses cheveux qui n’allaient plus être aussi propres après ça… 800 mots -24h post'15 © MADE BY SEAWOLF.
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| | Sujet: Re: (Eliott) Dysfonctionnel. |
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