YOU'RE GONNA BE THE END OF ME ✩ TIMPANDA

Obsessed by youUne question comme une autre. Que se passait-il entre nous ? J'en avais pas la moindre idée. Mais elle m'obsédait, comme une énigme infranchissable. Je n'arrivais pas à décrypter la jeune femme, ses états d'âme. Pourquoi m'avait-elle épargné ? A deux reprises en plus. J'avais été exécrable pourtant avec elle, ce qui aurait du justifier son choix que de me tuer. Mais non, rien de tout ça. Au lieu de ça, alors qu'on se voyait pour la troisième fois en l'espace de quelques semaines, je venais l'embrasser. Ouais, la retenant de force contre cette paroi de lieu de repos pour les morts, je l'embrassais, cherchant à provoquer chez elle cette envie dévorante qui me consumait peu à peu. J'avais envie de plus, envie d'elle. Envie de tout. Bordel j'avais envie de la prendre ici même et de ne faire gaffe à rien autour de nous. Je ne faisais même plus gaffe en fait. L'environnement se composait simplement de son corps, du mien, et du mur qui nous supportait. Puis elle quittait mes lèvres, chose que je ne comprenais pas dans un premier temps, mais sa respiration haletante, ses doigts découvrant mon visage, je comprenais qu'elle remettait juste ses idées en place et qu'elle allait recommencer de plus belle. Et c'était pas loupé. En effet, la Nephilim s'en remettait à moi, entièrement. Comportement différent, bien plus ouvert. L'envie la dévorait-elle également ? De par ses baisers fougueux, j'en comprenais que oui, et ça m'était bien profitable. Collant encore plus mon corps au sien, je parcourais sa bouche de long en large et en travers avec l'aide de ma langue qui jouait avec la sienne. Ouais, bordel que j'avais envie d'elle en ce moment précis. Mais je me contenais de découvrir son corps de ma main baladeuse, qui était remontée doucement sous sa robe, ma langue toujours occupée avec la sienne. Et si sa main restait dans mes cheveux, m'obligeant à rester contre ses lèvres, l'autre venait retrouver cette main baladeuse, l'emmenant où bon lui semblait. Un petit tour vers la poitrine de madame, quitte à la déshabiller un peu trop ? Pourquoi pas, après tout, ils n'étaient pas là pour faire joli, ces seins. Mon autre main venait faire sa petite visite aussi, alors qu'elle glissait quelques mots dans mon oreille, qui avaient le don de me tendre comme un bâton. Ouais, c'était parfaitement ce que je voulais entendre et je ne me faisais pas prier. Le démon en moi ne demandait qu'à sortir et c'était précisément ça qu'il attendait. Me baissant, je retirais son sous-vêtements qui serait bien trop gênant et je le balançais à nos pieds, me redressant pour me coller de nouveau à elle. Mais pas trop en fait, parce que je devais quand même défaire mon pantalon qui était aussi de trop de son côté. Ceinture, bouton, je le baissais légèrement, afin de laisser juste ce qu'il faut pour que le soldat prenne l'air. Et il était là, attendant simplement les ordres que je devais lui indiqué. Au garde à vous, il était bien prêt et c'était l'heure pour lui d'entrer en exercice.

Obsessed by youComment pouvait t'elle comprendre cette envie dévorante qui la tiraillé de toute part ? Oh, elle savait que c'était mal ce qu'elle était en train de faire. Il était du nouvel ordre, elle de la rébellion. Mais c'était comme avec Jeremiah, dans ces moments là, elle se fichait bien de savoir que la guerre faisait rage entre eux et qu'il n'y avait pas de place pour les plaisirs charnels. Tout ce qu'elle voulait, c'était le posséder lui. Furtivement, pour quelques minutes. Et peut être qu'après, il sortirait de son esprit pour de bon. Disons que c'était pour la bonne cause. Soigner le mal par le mal. La main de l'arrogant s'aventurait sur sa poitrine et elle gémissait une nouvelle fois, empreinte d'un désir sans nom. Peu importait que le lieu ne soit pas propice à leurs ébats, c'était sans grande importance tant qu'il lui donnait ce qu'elle désirait le plus à ce moment même. Les mains de l'obscur venait s'attaquer à son sous vêtement et peu de temps après, elle sentait celui glisser le long de ses jambes pour qu'il finisse sa course au sol. Une nouvelle fois, il se collait à elle et à travers son jean, elle sentait son envie mordante. Elle fermait les yeux, le laissant se libérer quelque peu et une fois fait ses mains venait s'accrocher au tee shirt qu'il portait tirant dessus pour le lui retirer. Peu importait qu'il soit à l'air libre, qu'il n'était pas convenable de finir nu. Elle le voulait entier, lui, ses baisers et sa peau. Ses doigts courraient le long du dos du Halloway, explorant chaque parcelle de celui et finalement, elle plaçait ses bras autour de sa nuque utilisant son agilité pour se surélever accrochant ses jambes autour de son bassin. Elle était légère la blonde, elle pouvait se le permettre. Ses pupilles azur s'étaient dilatés, déformés par l'envie qu'elle ressentait et doucement, elle venait frôler ses lèvres. Un simple frôlement pour s'amuser de lui, le titiller, lui donner envie de mettre bien plus de passion dans l'acte qu'ils allaient bientôt jouer. Elle libérait une de ses mains la faisant glisser jusqu'à son membre esquissant un sourire malicieux sans le lâcher du regard. S'il te plaît.. qu'elle le suppliait avide de pouvoir le sentir enfin en elle. La barrière entre la haine et la passion était bien minime, elle s'en rendait compte maintenant. Et peut être bien qu'une fois leur jeu terminé, la bataille reprendrait de plus belle entre les deux opposés mais pour l'instant, elle voulait simplement qu'il mette fin à son supplice, lui donnant le plaisir qu'elle cherchait tant à avoir. Sa main continuait doucement ses caresses et elle apprenait chacune des expressions qu'elle pouvait déclencher chez lui. Il avait envie d'elle d'une force peu croyable. Et elle savait pas réellement comment les choses avaient pu se détourner de la sorte, ni même pourquoi est ce que le désir avait soudainement prit le dessus. Elle embrassait sa bouche avec douceur, finissant par maltraiter ses lèvres pour quelques secondes de plus et la supplique reprenait s'il te plaît.

Obsessed by youDans la vie, il y avait des énigmes. Pandora était l'une d'elle. Si ses actes me permettaient d'être encore en vie, ils restaient quand même assez étranges dans le fond. Elle aurait pu me tuer, à plusieurs reprises, moi qui avait envie de la tuer. Normalement, on n'hésite pas, on le fait et on est débarrassé. Mais elle, elle avait décidé autrement. Et maintenant, je me trouvais comme obsédé par une Nephilim et je n'arrivais pas à m'en défaire. Preuve est que je l'avais traquée jusqu'ici, dans un cimetière de Chicago. Certes, de cette heure avancée, on ne trouverait personne pour nous embêter, ce qui était idéal vu ce que nous étions en train de faire. Si elle avait pu penser que j'avais -encore- envie de la tuer ce soir, la vérité était toute autre. J'avais juste pas su résister à l'envie de l'embrasser une nouvelle fois, laissant mes pulsions prendre le dessus sur le reste. Le pire dans tout ça ? Elle répondait à ce baiser, se laissant alors aller dans une danse effrénée de nos langues, nos deux corps prenant la forme de l'autre, suivant les courbes, interceptées par la droiture du mur derrière elle. Je comprenais pas pourquoi je me consumais autant pour elle. Peut-être sa façon de me tenir tête qui me faisait de l'effet ? Il y a des chances. Mais voilà, ça n'était question que d'une seule fois, puisque la prochaine, ce sera une lame qui transpercera sa peau. Je me devais de la tuer. Il le fallait. Mon t-shirt se retrouvait bien vite au sol, faisant découvrir à la jeune femme toutes mes runes rouges sang, qui arboraient mon torse et mes bras. Finalement, elle trouvait refuge un peu plus en hauteur. Tenue par le mur derrière, ses jambes s'étaient enroulées autour de mon bassin et ses bras autour de ma nuque, totalement prête et ouverte à l'acte qui allait se passer. Mais je sentais son impatience. “S'il te plait” Non. Pas tout de suite. Et voyant que je ne me pressais pas, préférant jouer la carte de la frustration, elle glissait une main sur mon membre déjà dressé et lui prodiguait quelques caresses bien maitrisées. Forcément que chaque sensation se retransmettait sur mon visage, ne pouvant même pas retenir quelques soupirs de plaisir. Je la collais alors un peu plus contre le mur, mes lèvres jouant avec les siennes. Se frôler, se mordiller, sans aller plus loin. Elle était là, ma proie. A ma merci et si je le voulais, je pouvais la tuer sans hésitation. Mais.. je n'en ai même plus envie. Pas là, pas maintenant. Je voulais la sentir tout autour de moi, l'entendre crier par ma faute. Je voulais la faire vibrer grâce à ce qu'elle tenait dans ses mains. Et la supplique recommençait, commençant par un baiser, finissant par un “S'il te plait” J'attrapais sa main, la retirant alors de mon membre alors que je tenais fermement sa hanche de l'autre. Et puis je me guidais à son entrée, au niveau du début du tunnel. Et, reposant ma main sur l'autre côté de sa hanche, je fixais son regard avant d'entrer en elle, soupirant de plaisir tant la sensation était parfaite. Me retirant, pas entièrement, je réitérais l'expérience. Et encore, et encore, augmentant au fur et à mesure le rythme mais aussi l'intensité. Les coups étaient de plus en plus forts, allant de plus en plus loin. Ce n'était pas calme, tendre. C'était bestial et sans aucun tact.

Obsessed by youElle avait envie, besoin, de passer à l'étape supérieur. C'était comme une obligation. A l'instant même où l'obscur avait posé ses lèvres sur les siennes, elle avait cessé de réfléchir le laissant la transporter. Comment pouvait t'on passer d'un extrême à l'autre de cette façon ? Il avait cherché à la tuer plus d'une fois. Il avait posé une arme sous son cou rêvant probablement de l'égorger et de faire couler son sang et puisque les tentatives de sa part avait été soldés par un échec, ils étaient maintenant l'un contre l'autre, faisant monter la température à travers des baisers et des caresses. Quelque part, la blonde, elle ne pouvait cesser de se dire qu'elle allait y laisser sa peau. Il faisait partit du nouvel ordre, il avait bu dans la coupe et avait salit son sang d'ange en le mélangeant au démon. Bien sûr qu'il était fourbe et mauvais, ça émanait de chaque parcelle de sa peau. Ses runes rouges le lui prouvait encore une fois et peut être qu'une fois la tension sexuelle redescendu, il sortirait la lame la plantant dans son corps frêle la laissant se vider de son sang dans ce lieu approprié. Ouais, ça pouvait se passer comme ça, elle le savait. Elle aurait du le repousser, le frapper plus fort et prendre la fuite encore une fois. Mais à quoi cela aurait-il servit ? Il ne cessait de revenir sur son chemin la traquant plus que de raison. Elle aurait juste gagné du temps. Quelques jours, quelques heures. Et le Halloway aurait finit une nouvelle fois sur son chemin. Tant qu'elle n'aurait pas le cran de l'achever, tant qu'elle serait dans l'incapacité de le laisser agoniser sur le sol, elle devrait s'habituer à le voir toujours revenir à l'assaut. Et à tenter de sauver sa peau. Ce n'était qu'un dérapage, un détournement de situation mais elle sentait la force avec laquelle il la maintenait et oui, il avait encore envie de la tuer. Parce qu'elle était une Nephilim refusant de se plier au nouvel ordre et que pour ça, elle méritait la mort de son point de vue. Et malgré tout ça, malgré tout ce qui aurait du les séparer, elle le suppliait une nouvelle fois de mettre fin à son supplice, de lui donner du plaisir, réellement. La prise de l'obscur se faisait plus ferme sur sa hanche, elle fermait les yeux et un râle de plaisir filtrait de ses lèvres quand il entrait finalement en elle. Une fois, deux fois. Il prenait plaisir à sortir presque entièrement avant de recommencer et la blonde, elle plantait ses doigts dans les épaules musclés du brun laissant le plaisir de l'action la submerger. Il intensifiait les coups de reins, toujours plus fort, toujours plus vite, ses gémissements venaient faire écho dans le pénombre de la nuit et doucement, quand le moment touchait à sa fin, elle relâchait la pression qu'excercait ses doigts, poussant un dernier soupir. Ses jambes venaient regagner le sol et après l'avoir repoussé elle plissait sa robe réajustant finalement ses cheveux. Tant pis pour le sous vêtement, il était de toute manière hors de question qu'elle le remette après qu'il ait trainé par terre. Inspirant lentement, elle reprenait le contrôle d'elle même posant finalement ses prunelles sur le brun qu'elle était censée détester au plus haut point. Tu vas me foutre la paix maintenant ? Oh, elle était pas bête Pandora, elle savait que la réponse serait probablement "non" mais ça valait toujours le coup de demander. La question était : quelle serait les circonstances de la prochaine fois ? Probablement qu'il la traquerait une nouvelle fois, la surprenant peu importait l'endroit où elle se trouverait. Mais essaierait-il de la tuer encore et encore ? Sûrement.

Obsessed by youC'était un besoin nécessaire à combler. Et forcément que j'étais un peu sadique sur les bords. Alors quand elle me suppliait presque, moi je ne faisais rien, je ne disais rien, et je me contentais de la laisser me caresser, comme elle le faisait si bien. Ouais, parce que les soupirs ne se faisaient pas prier. Elle faisait du bien et elle le faisait parfaitement bien. Mais il y avait un paradoxe dans toute cette situation. Je souhaitais la tuer avant tout, et ce depuis un moment. Elle m'avait épargné, à deux reprises, alors que les deux fois, ma volonté était très bien définie. Autant dire tout de suite, c'était assez bizarre. Mais je m'en fichais, j'avais cédé, je l'avais pénétrée d'un coup d'un seul, ressortant et la pénétrant de nouveau. Et je continuais ainsi de suite, cherchant à aller plus loin, plus vite, plus fort. De la bestialité se dégageait de ce moment en tête à tête. Rien de plus, rien de moins. Juste un moyen de faire partir la frustration de ne pas pouvoir la tuer. Si je ne pouvais pas lui ôter la vie, autant la baiser au point de la faire crier. Ses ongles avaient trouvé place dans ma peau dans mon dos, me pénétrant aussi d'une toute autre façon. C'était signe qu'elle appréciait grandement ce que je faisais et ça me satisfaisait de bien des manières. Elle était esclave de mes mouvements. Mais le sadisme s'était arrêté juste au début de l'acte. Bien trop demandeur de sensations, je n'avais pas pu m'arrêter dans mon élan juste pour créer une frustration énorme chez elle. Non, je n'avais pas pu et quand finalement l'orgasme arrivait, j'avais glissé mon visage dans son cou, faisant encore quelques va-et-viens en elle pour aller au plus loin. Toujours plus. Et voilà qu'elle retrouvait le sol. Enfin, j'étais pas certain de savoir comment elle pouvait encore marcher après ce moment, mais bon. Me reculant, elle se remettait bien, omettant bien de remettre sa culotte qui restait jonchée au sol. De mon côté, je remontais simplement mes vêtements, le boxer et le pantalon. Et puis j'attrapais mon t-shirt au sol, sans forcément le remettre de suite. Le glissant sur mon épaule, je posais mes yeux sur elle, les cheveux encore un peu ébouriffé sur l'arrière, à force des vas-et-viens puissants qui l'ont poussée à caler sa tête contre le mur du caveau. “Pas vraiment non, c'est pas dans mes plans.”  Après tout, je venais de prendre mon pied, bien plus que les jours précédents avec les midinettes rencontrées dans les bars de la ville. Alors non, je n'allais pas la laisser tranquille. J'allais en redemander encore et encore. Peut-être qu'un jour, l'envie de la tuer me reprendra, quand je me serai lassé de son corps, très certainement. “Comment veux-tu que je laisse tomber une meuf qui me transporte à des années lumières rien qu'en baisant avec moi ?” Ouais, moi et mon tact légendaire. “Crois moi que l'envie de recommencer ne fait qu'augmenter de secondes en secondes… Et comme je sais te traquer, sache que tu auras de mes nouvelles assez vite, Nephilim.” Quand bien même elle en était une, ça ne m'empêcherait pas de prendre mon pied, insatiable que je suis. D'ailleurs, j'étais pas contre un deuxième round. Où elle veut, dans la position qu'elle veut. Dans le caveau ? Pourquoi pas, on avait tout un tas d'opportunités en réalité, dans cet endroit si glauque et si calme à la fois. Après tout, c'est pas comme si on pouvait réveiller les morts, alors bon.